Victoire sur les démons, la maladie et la mort (Page 13 / 14)
L'intégrité du peuple de Dieu (Chapitre 13)
« Revenons à Christ » ! C'est un slogan qui a été adopté en ce moment par tous les vrais chrétiens, partout dans le monde. Dans un de ses récents sermons, W. J. Bryan a parlé des conséquences de l'incrédulité qui était inculquée par nos établissements d'enseignement. Tout son sermon se résumait en cette phrase : « Quand j'ai envoyé mon fils à l'université, il était chrétien. Quand il en est sorti, il était devenu athée » ! Cette expérience est devenue si commune que cela ne surprend plus personne. Le résultat, c'est que le monde pense maintenant que ceux qui croient en la vérité de Dieu, telle qu'elle est exprimée dans Sa Parole, sont des retardés mentaux ! Ils ne sont pas à la page !
La Science de l'Evangile
Depuis de nombreuses années, je défends, dans des débats et partout ailleurs, qu'il y a une Science de l'Evangile de Jésus-Christ, science si profonde qu'aucun de ceux qui n'ont qu'une simple connaissance de la science matérielle ne peut ni découvrir ni comprendre. Elle se situe bien au-delà de ses capacités. Mais l'âme des hommes peut, par la foi toute simple, entrer en relation avec Dieu, là où Dieu leur révèle dans leur conscience Sa Présence, Son amour, Sa puissance, Son salut incontestable, car ce qui vient manifestement du ciel ne peut être contesté.
Lorsqu'un chrétien est véritablement né de Dieu, et qu'il a réellement reçu de Dieu le témoignage de son salut, il vous est impossible de le faire douter, ou de lui faire mettre en question son salut, s'il vit dans la lumière de Dieu. Vous pouvez lui présenter tous les arguments scientifiques pour l'impressionner, ils n'auront aucune influence sur lui. C'est la raison pour laquelle un chrétien qui ne connaît même pas la signification des mots psychologie, ou science, traverse la vie l'âme joyeuse et l'esprit triomphant, parce qu'il a dans son coeur quelque chose dont les autres hommes ne connaissent absolument rien.
Un concierge sauvé à l'université
J'aime beaucoup raconter cette histoire, parce qu'elle illustre cette splendide vérité. Je donnais une conférence à la Faculté de Médecine de l'Université de Dublin, à l'initiative de W. T. Stead, et je parlais de la puissance de Dieu dans la vie des hommes, pour leur apporter le salut, la guérison, et leur donner une claire conscience de la présence de Dieu dans leur vie. Le concierge et sa femme faisaient quelques travaux au fond de l'amphithéâtre. Le vieil homme était perclus de rhumatismes. A un moment donné, je dis : « Approchez-vous, monsieur ». Puis je lui demandai : « Quel est votre problème » ? Il répondit : « J'ai des rhumatismes ». Il me dit qu'il les avait depuis dix ans. J'ai prié pour lui, demandant au Seigneur de le guérir. Pendant ma prière, cette chère âme toute simple s'éleva jusqu'à Dieu. La foi de Dieu dans mon coeur s'éleva aussi vers Dieu pour lui, et le vieil homme fut guéri. J'ai su, avant même d'avoir fini ma prière, qu'il était guéri.
S'adressant à l'un des professeurs, le président dit : « Expliquez ce qui vient de se passer » ! Celui-ci entreprit de faire une longue déclaration technique. La femme du concierge, toute à sa joie, l'interrompit en disant, avec un fort accent allemand : « Ach, c'est tout simplement Yésous » !
Avant-hier soir, j'ai prié pour un homme à Carlton, dans l'Oregon. Il avait une vertèbre déplacée, à la suite d'un accident. Il souffrait terriblement. Je lui imposai les mains et je priai. Avant d'avoir fini ma prière, je sus qu'il était guéri. Mais lui ne le savait pas. On peut savoir par l'Esprit de Dieu ce que le Seigneur a fait. Aussi, lorsque j'eus fini de prier, je plaçai ma main sur son estomac, et je lui dis : « Courbez-vous, et faites-le rapidement » ! Le pauvre homme fut très surpris, il se mit à transpirer, parce qu'il s'attendait à éprouver ses douleurs habituelles. Mais Dieu l'avait guéri.
Rassemblez tous les hommes de science de la terre, et demandez-leur de définir cette puissance qui guérit instantanément, et de dire ce qui se passe, et comment. L'âme d'un chrétien apprend certaines choses dont les autres ne peuvent rien connaître !
Un jour, je parlais avec le Professeur James, un Psychologue de l'Université de Harvard, un homme splendide. Nous discutions des livres de Harold Bixbee Des hommes deux fois nés et Vases de terre brisés. Il me fit cette remarque caustique : « Lake, c'est quand même triste de constater que si nous voulons voir un bon exemple de ce que vous chrétiens appelez une réelle conversion, nous soyons obligés d'aller dans les taudis de Londres et dans les centres de l'Armée du Salut »! Je lui répondis : « James, il me semble que ce sont les gens comme vous, et comme toutes ces autres grosses têtes, qui sont responsables de cette situation » ! Il fut un temps où chaque Méthodiste pieux avait reçu du ciel le témoignage qu'il était un enfant de Dieu. S'il n'avait pas ce témoignage, il n'était pas Méthodiste. C'était ce qui caractérisait le Méthodisme.
Le vainqueur
Je voudrais vous parler un peu des vainqueurs. Dans l'Ancien Testament, Job est le plus bel exemple du véritable vainqueur de la Bible. En étudiant la Parole de Dieu, je vois de merveilleux exemples de vainqueurs dans l'Ancien Testament. Hénoc, le modèle de ceux qui seront enlevés. Hénoc ne savait pas à quel moment il allait partir. Il est allé si loin avec Dieu qu'il ne pouvait plus revenir en arrière ! Il s'est produit un détachement. Il a laissé derrière lui tout son environnement terrestre, et le ciel l'a attiré. Hénoc n'est jamais revenu. Hénoc marcha avec Dieu ; puis il ne fut plus, parce Dieu le prit (Genèse 5 : 24).
Elie offre un autre modèle d'enlèvement. Mais Elie savait qu'il allait partir. Tous les fils des prophètes le savaient. Elie est allé à Jéricho, et quand il fut à Jéricho, les prophètes qui étaient là dirent à Elisée : « Sais-tu que l'Eternel enlève aujourd'hui ton maître au-dessus de ta tête » ? (2 Rois 2 : 5). Comment l'avaient-ils appris ? C'est le ciel qui le leur avait dit.
La persévérance d'Elisée
Oh, la Bible contient des leçons si précieuses ! En voici une : Elisée persévéra à vouloir rester avec Elie. A plusieurs reprises, Elie tenta de le renvoyer, mais sans succès. Elisée lui répondait : « L'Eternel est vivant et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point ». Elie n'a pas pu se débarrasser de lui. Lorsqu'ils eurent traversé à sec le Jourdain, Elie lui demanda : « Demande ce que tu veux que je fasse pour toi, avant que je sois enlevé d'avec toi. Elisée répondit : Qu'il y ait sur moi, je te prie, une double portion de ton esprit » ! (2 Rois 2 : 9). Elie répondit : « Tu demandes une chose difficile. Mais si tu me vois pendant que je serai enlevé d'avec toi, cela t'arrivera ainsi ; sinon, cela n'arrivera pas » (verset 10).
Ils poursuivirent donc leur chemin, et, pendant qu'ils parlaient oh, vous, bien-aimés qui quittez le Seigneur des yeux pour rechercher des phénomènes, apprenez cette leçon ! Vous dites : « As-tu vu comment la puissance de Dieu est venue sur ce gars ? Quelle puissance de Dieu est venue sur lui pendant que je priais » ! Et la puissance de Dieu vous a tellement distraits que vous n'avez plus regardé au Seigneur. Vous vous étonnez après que rien ne se passe !
« Comme ils continuaient à marcher en parlant, voici, un char de feu et des chevaux de feu les séparèrent l'un de l'autre, et Elie monta au ciel dans un tourbillon » (verset 11).
Un char de feu et des chevaux de feu les ont séparés, mais Elisée eut la présence d'esprit de garder les yeux fixés sur le prophète. Même un char et des chars de feu, descendant du ciel, n'ont pas été assez puissants pour détourner le regard d'Elisée, fixés sur Elie ! Il le fixait des yeux et attendait quelque chose. Rien ne pouvait distraire son attention de l'objet de son désir, même si cela venait du ciel ! Ce fut un test qui fut prévu par Dieu Lui-même. Si un char et des chevaux de feu venaient vous visiter aujourd'hui, en faisant voler en éclats votre fenêtre, est-ce que vous seriez tellement intéressés par le phénomène que vous en oublieriez le Seigneur ?
Une cause d'échec
L'un de nos jeunes prédicateurs avait une merveilleuse puissance de l'Esprit qui reposait sur lui. Un jour, j'ai assisté à une réunion où il a prié pour 150 personnes environ. Pendant qu'il priait, je crois qu'au moins cent personnes tombèrent à terre. Je me rendis compte que les vingt premières personnes furent vraiment guéries, mais que les autres tombèrent simplement à terre. Je l'invitai chez moi, et je lui demandai : « Dites-moi pourquoi seulement les vingt premières personnes ont été guéries » ? Il répondit : « Je ne sais pas. D'après vous, pourquoi les autres n'ont-elles pas été guéries ? Mais les vingt premières guérisons n'ont-elles pas été merveilleuses » ? Je répondis : « J'ai examiné ces personnes. Elles n'ont pas été toutes guéries. Mais je vais vous dire ce qui s'est passé . Quand vous avez commencé à prier pour ces gens, votre âme était complètement absorbée par le Fils de Dieu, et vous avez à peine remarqué ceux qui tombaient. Mais quand vous les avez vus éparpillés autour de vous, vous avez oublié la face de Jésus, et vous avez été absorbé par le phénomène. C'est pour cela qu'ils n'ont rien reçu. Vous avez oublié de connecter la foi à la puissance ». Bien-aimés, la foi est plus importante que la puissance. C'est la foi qui contrôle la puissance et qui la vivifie.
Job, un type de vainqueur
Pour moi, Job entre dans une autre catégorie. Celle des vainqueurs qui ont dû passer au travers de l'épreuve la plus terrible. Job est le type parfait du vainqueur de l'Ancien Testament. Il a franchi en vainqueur la tribulation la plus épouvantable. Son histoire nous donne l'une des plus belles révélations de la Parole de Dieu de ce qui se passe dans les coulisses.
Un jour, là où se trouvait Dieu, les fils de Dieu s'assemblèrent devant le Seigneur, sans doute pour rendre des comptes, ou pour tenir conseil. Satan se présenta aussi au milieux d'eux (Job 1). L'Eternel dit à Satan : « D'où viens-tu » ? Et Satan répondit à l'Eternel : « De parcourir la terre et de m'y promener ». L'Eternel dit à Satan : « As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'y a personne comme lui sur la terre ; c'est un homme intègre et droit, craignant Dieu, et se détournant du mal » (Job 1 : 7-8). Nous voyons aussi une fine distinction entre le caractère de Dieu et celui de Satan. Satan ne pouvait comprendre que son propre égoïsme. Il a dit : « Est-ce d'une manière désintéressée que Job craint Dieu ? Ne l'as-tu pas protégé, lui, sa maison, et tout ce qui est à lui » ? (Versets 9-10). Ce vieux serpent a sans doute tourné mille fois autour de ce mur de protection, essayant d'y trouver la moindre fissure. Il n'avait jamais rien pu trouver. Mais le Seigneur lui répondit : « Voici, tout ce qui lui appartient, je te le livre ; seulement, ne porte pas la main sur lui » (verset 12). Dieu connaissait Son serviteur Job. Il savait qu'il pouvait passer le test. Aussi l'épreuve de Job commença-t-elle. Il perdit ses ânesses, il perdit ses chameaux et, pour couronner le tout, un serviteur vint lui dire qu'un cyclone avait frappé la maison où ses fils et ses filles buvaient du vin, les faisant tous périr. Et il s'était échappé lui seul, pour lui en apporter la nouvelle. Mais ses souffrances n'étaient pas encore parvenues à leur maximum. Et Satan se retira de devant la face de l'Eternel. Puis il frappa Job d'un ulcère malin, depuis la plante du pied jusqu'au sommet de la tête (Job 2 : 7).
La nouvelle de cette affreuse calamité se répandit. Ses amis se rassemblèrent pour le secourir. C'était un homme juste, l'un des hommes les plus riches de l'orient, un prince. Ce n'était pas seulement un homme juste et bon, mais un homme renommé, influent, riche et pieux.
Il y a ami et ami. Les consolateurs de Job étaient du genre négatif. Ne soyons pas comme un pot de tristesse ou un pinceau de goudron ! Si vous êtes mon ami, et si vous venez me voir, dites-moi quelque chose qui me donne foi en Dieu !
Quand j'étais à Spokane, dans l'Etat de Washington, et que je m'occupais de cette grande oeuvre de guérison, j'avais l'habitude de m'occuper de 100 à 150 malades par jour. Des dizaines de fois chaque jour, le Seigneur me permettait de voir tout ce qu'il y avait dans l'âme de ces gens. Pourquoi le faisait-Il ? Pour que je coure le dire à tout le monde, ou même que je le dise au malade ? Quel bien cela lui aurait fait de le lui dire ? Conduisez-le au Seigneur et laissez le sang de Jésus agir, si vous voulez vous débarrasser du problème. Je pense que celui qui raconte ces révélations à quelqu'un, ou même à l'intéressé, trahit le Dieu Tout-Puissant, à moins que Dieu ne lui demande de le faire. Je n'ai jamais vu dans le Nouveau-Testament quelqu'un dire : « Frère Paul, ou Frère Pierre, dis-moi ce qui ne va pas en moi » ! Ceci est l'affaire du Saint-Esprit.
Les amis de Job
Les amis de Job sont donc venus. C'étaient des hommes merveilleux. Lisez les discours de ces quatre hommes, et vous verrez qu'ils sont inégalés dans toute l'histoire de la Bible. Mais la base de leur raisonnement, c'était que la calamité ne peut pas s'abattre sur le juste, qu'elle n'a rien à voir avec le juste. Ils revenaient constamment sur ces paroles : « Job, tu as péché. Cela ne fait aucun doute, tu as péché » !
Les amis de Job ont essayé de le convaincre de péché, de lui prouver qu'il y avait quelque péché secret dans sa vie, mais ils ont échoué. Il leur affirma que ce n'était pas le cas. Mais cela le découragea profondément et le plongea dans une affreuse confusion. Il ne pouvait pas comprendre pourquoi cette calamité s'était abattue sur lui, mais il continua à affirmer son intégrité devant Dieu.
Bien-aimés, c'est l'une des armes les plus puissantes dont dispose le diable. Pendant neuf mois, j'ai cherché Dieu pour avoir le Baptême du Saint-Esprit. J'ai rampé face contre terre, j'ai inondé mon chemin de larmes, et le diable m'a presque anéanti en employant les mêmes arguments. Chaque fois que je m'approchais assez de Dieu pour penser que je devais recevoir le Baptême, je voyais défiler sous mes yeux tous les misérables péchés que j'avais commis dans ma vie, jusqu'à ce que mon âme se décourage complètement. Et je me disais : « Mais Dieu ne pourra jamais me baptiser dans le Saint-Esprit ! Je suis un trop grand pécheur » ! En disant cela, je sous-estimais la puissance du Sang de Jésus-Christ, qui avait recouvert mes péchés et effacé mes transgressions depuis longtemps.
Ces hommes aimaient Job. Ils étaient venus le trouver alors qu'il était étendu sur son lit de cendres, en train de se gratter avec un morceau de poterie. Ils sont restés assis sept jours et sept nuits sans mot dire. Ils cherchaient une solution. Leur âme tentait de trouver une raison. Mais ils se sont trompés.
Un des plus beaux passages de l'histoire de Job concerne le moment où il déversait son âme devant Dieu, maudissant même le jour de sa naissance. Dieu lui donna alors une merveilleuse révélation. (Remarquez qu'il n'a jamais maudit Dieu. Il n'a pas prononcé un seul mot, une seule phrase, qui aurait exprimé un manque de foi en Dieu). Oh, Dieu l'aidait à être un vainqueur !
Job a dit : « Mais je sais que mon rédempteur est vivant, et qu'il se lèvera le dernier sur la terre. Quand ma peau sera détruite, il se lèvera ; Quand je n'aurai plus de chair, je verrai Dieu. Je le verrai, et il me sera favorable ; mes yeux le verront, et non ceux d'un autre ; mon âme languit d'attente au dedans de moi » (Job 19 : 25-27).
Job connaissait Dieu. Ils étaient des amis intimes !
Dieu répond à Job
Finalement, Dieu Se manifeste Lui-même. La tempête annonce Sa venue, et le Seigneur commence à parler à Job. Pendant quatre chapitres, le Dieu Tout-Puissant parle à Job. Il lui dit : « Qui est celui qui obscurcit mes desseins par des discours sans intelligence ? Ceins tes reins comme un vaillant homme ; je t'interrogerai, et tu m'instruiras » (Job 38 : 2-3).
Dieu était trop grand pour lui. Il ne L'avait pas compris. Ses voies et Ses buts étaient trop élevés pour que Job puisse les comprendre. Bien-aimés, n'est-ce pas là notre difficulté ? Quand vous parcourez le monde et que vous rencontrez des chrétiens, vous vous rendez compte qu'ils essayent de réduire Dieu à leur propre mesure. Je connais un groupe d'une vingtaine de saints qui ont enfermé Dieu dans leurs limites, et qui prétendent que personne ne peut entrer dans le Royaume de Dieu à moins de se joindre à eux. Un soir que je les visitais, je me suis dit : « Si le Seigneur vous avait tous autour de Lui, Il n'aurait que des problèmes » ! Leur esprit était devenu tellement étroit qu'il n'était pas plus gros que celui d'un poulet ! Ce n'est pas l'Esprit de Jésus-Christ ! L'attrait particulier du Fils de Dieu est qu'Il est absolument universel. Il est aussi vaste que la lumière du soleil, bénissant tous les hommes. Il est le Sauveur de toute l'humanité ! Approchez-vous avec vos péchés d'ignorance, comme Job, approchez-vous avec votre maladie. Que le monde entier s'approche avec son péché, et le Sang de Jésus les effacera tous !
Un jour, je visitais une vieille dame allemande. Elle avait été merveilleusement ointe par le Seigneur quelques années auparavant. Dieu lui avait donné un grand ministère de guérison. Le gouverneur de l'Etat avait une soeur mourante. Ils amenèrent la soeur mourante à cette chère vieille dame, et elle fut instantanément guérie. Puis le maire B. lui amena sa belle-soeur mourante, et elle aussi fut guérie. D'autres furent instantanément guéris. Par la suite, elle fut tellement jalouse de la gloire de Dieu qu'elle refusa de prier pour quiconque, de peur que l'on ne rende pas gloire à Dieu.
Bien-aimés, laissez le Seigneur S'occuper Lui-même de Sa gloire ! Si Son amour et Son Esprit sont dans votre coeur, laissez-les se répandre sur les autres, et offrez une occasion au Seigneur d'en recevoir la gloire ! Il en recevra toute la gloire, quand une âme est rachetée et guérie.
Le Seigneur encouragea donc Job à s'oublier lui-même et à prier pour ses amis. Lorsqu'il l'eut fait, le Seigneur transforma sa captivité en bénédiction. Le Seigneur restaura son corps, et lui donna le double de tout ce qu'il possédait auparavant.