Publié il y a 8 ans
Le diable a peur de nous, il nous craint car celui qui vit en nous est plus grand que lui. En réalisant cela, nous abattons la barrière de la peur.
« Et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles.». Nombres 13.33
Si nous nous voyons comme des rachetés, des vainqueurs, des victorieux, nous sommes en accord avec ce que la parole de Dieu dit des enfants de Dieu. La foi ne nie pas les problèmes, elle les reconnait et proclame la puissance salvatrice de Dieu.
«Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent : Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous. ». Nombres 13.31 Le peuple d'Israël a oublié ce que Dieu a fait et tremble devant les ennemis qui occupent le territoire que Dieu a prévu pour lui. La façon dont ce peuple s'est perçu a déterminé l'issue de la conquête de la terre promise. Il a échoué.
Nous sommes ce que Dieu peut faire à travers nous. C'est seulement à cause de Dieu que nous sommes forts en réalité.
« Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit : Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs ». Nombres 13.30 Josué et Caleb se souviennent de qui est Dieu et ils veulent avancer avec sa parole. Leur regard était sur Dieu et pas sur les circonstances. Caleb pour sa part, fit taire le peuple. Des fois nous n'avons pas d'autre choix que de faire taire les voix autour de nous, celles qui vont à l'encontre de la foi. Caleb a décrit la promesse de Dieu, pas ce que lui était capable de faire. Dieu ne va pas nous envoyer dans une situation impossible, Il nous donne la capacité au moment qu'il faut pour remporter la victoire.
Même lors de la sortie d'Égypte Dieu a eu une issue pour son peuple, il a ouvert la mer. Dieu manifeste sa faveur envers son peuple et le sauve toujours. Josué et Caleb s'en sont souvenus. Ils ont vu la même chose que les autres mais ils ont décidé de ne pas regarder à la montagne. La route est parfois sinueuse parce que nous devons apprendre à compter sur Dieu. Tout dépend donc de notre décision de nous voir comme Dieu nous voit, de croire en ses promesses et en ses capacités.
À cause de la décision prise sur la peur de ne pas affronter les ennemis présents dans la terre promise, le peuple a perdu quarante ans à errer. Seules deux personnes ont pu rentrer dans cette terre de bénédiction. Nous ne pouvons pas marcher sans croire, ni parler sans croire. Nos paroles peuvent annuler notre destinée pour de bon. Nous devons retenir la promesse quelle que soit la montagne qui se présente à nous.
Dieu nous fera selon notre foi :
«Puis Jésus dit au centenier : Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Et à l'heure même le serviteur fut guéri. » Matthieu 8. 13 À cette époque le centenier qui est allé vers Jésus pour la guérison de son serviteur a cru avant tout. Il a cru que Jésus est capable d'intervenir.
« Le centenier répondit : Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit; mais dis seulement un mot, et mon serviteur sera guéri. Car, moi qui suis soumis à des supérieurs, j'ai des soldats sous mes ordres; et je dis à l'un : Va ! Et il va; à l'autre : Viens ! Et il vient; et à mon serviteur : Fais cela ! Et il le fait» Matthieu 8. 8-9
Le centenier a compris que ce que Jésus dit est ce qui arrive. Sa foi était grande et exprimée dans ses paroles et dans ses actes. Pour saisir l'héritage de Dieu, il faut prendre la décision de le faire et la manifester concrètement. Nos actes comptent et déterminent notre futur.
Qu'il en soit fait selon ta foi :
« Puis Jésus dit au centenier : Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Et à l'heure même le serviteur fut guéri. » Matthieu 8. 13
Notre foi doit être nourrie, préservée, grandie. En continuant à écouter les messages de Dieu, en passant du temps avec lui, en ne renonçant pas à notre église, en continuant à chercher Dieu. La parole va nous aider à nous voir comme Dieu nous voit et à connaitre sa volonté et sa vision pour nous.
« Et nous y avons vu les géants, enfants d'Anak, de la race des géants : nous étions à nos yeux et aux leurs comme des sauterelles.». Nombres 13.33
Si nous nous voyons comme des rachetés, des vainqueurs, des victorieux, nous sommes en accord avec ce que la parole de Dieu dit des enfants de Dieu. La foi ne nie pas les problèmes, elle les reconnait et proclame la puissance salvatrice de Dieu.
«Mais les hommes qui y étaient allés avec lui dirent : Nous ne pouvons pas monter contre ce peuple, car il est plus fort que nous. ». Nombres 13.31 Le peuple d'Israël a oublié ce que Dieu a fait et tremble devant les ennemis qui occupent le territoire que Dieu a prévu pour lui. La façon dont ce peuple s'est perçu a déterminé l'issue de la conquête de la terre promise. Il a échoué.
Nous sommes ce que Dieu peut faire à travers nous. C'est seulement à cause de Dieu que nous sommes forts en réalité.
« Caleb fit taire le peuple, qui murmurait contre Moïse. Il dit : Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs ». Nombres 13.30 Josué et Caleb se souviennent de qui est Dieu et ils veulent avancer avec sa parole. Leur regard était sur Dieu et pas sur les circonstances. Caleb pour sa part, fit taire le peuple. Des fois nous n'avons pas d'autre choix que de faire taire les voix autour de nous, celles qui vont à l'encontre de la foi. Caleb a décrit la promesse de Dieu, pas ce que lui était capable de faire. Dieu ne va pas nous envoyer dans une situation impossible, Il nous donne la capacité au moment qu'il faut pour remporter la victoire.
Même lors de la sortie d'Égypte Dieu a eu une issue pour son peuple, il a ouvert la mer. Dieu manifeste sa faveur envers son peuple et le sauve toujours. Josué et Caleb s'en sont souvenus. Ils ont vu la même chose que les autres mais ils ont décidé de ne pas regarder à la montagne. La route est parfois sinueuse parce que nous devons apprendre à compter sur Dieu. Tout dépend donc de notre décision de nous voir comme Dieu nous voit, de croire en ses promesses et en ses capacités.
À cause de la décision prise sur la peur de ne pas affronter les ennemis présents dans la terre promise, le peuple a perdu quarante ans à errer. Seules deux personnes ont pu rentrer dans cette terre de bénédiction. Nous ne pouvons pas marcher sans croire, ni parler sans croire. Nos paroles peuvent annuler notre destinée pour de bon. Nous devons retenir la promesse quelle que soit la montagne qui se présente à nous.
Dieu nous fera selon notre foi :
«Puis Jésus dit au centenier : Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Et à l'heure même le serviteur fut guéri. » Matthieu 8. 13 À cette époque le centenier qui est allé vers Jésus pour la guérison de son serviteur a cru avant tout. Il a cru que Jésus est capable d'intervenir.
« Le centenier répondit : Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit; mais dis seulement un mot, et mon serviteur sera guéri. Car, moi qui suis soumis à des supérieurs, j'ai des soldats sous mes ordres; et je dis à l'un : Va ! Et il va; à l'autre : Viens ! Et il vient; et à mon serviteur : Fais cela ! Et il le fait» Matthieu 8. 8-9
Le centenier a compris que ce que Jésus dit est ce qui arrive. Sa foi était grande et exprimée dans ses paroles et dans ses actes. Pour saisir l'héritage de Dieu, il faut prendre la décision de le faire et la manifester concrètement. Nos actes comptent et déterminent notre futur.
Qu'il en soit fait selon ta foi :
« Puis Jésus dit au centenier : Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Et à l'heure même le serviteur fut guéri. » Matthieu 8. 13
Notre foi doit être nourrie, préservée, grandie. En continuant à écouter les messages de Dieu, en passant du temps avec lui, en ne renonçant pas à notre église, en continuant à chercher Dieu. La parole va nous aider à nous voir comme Dieu nous voit et à connaitre sa volonté et sa vision pour nous.
Avec Phathana et Gladys Hatboulom
© Émission produite par EMCI TV