Les finances du royaume (Page 1 / 5)
La résistance religieuse contre l'abondance financière
Lors des grandes campagnes d'évangélisation, alors que la bonne nouvelle est apportée à ceux qui ne connaissent pas encore Jésus comme Sauveur, il faut penser à la location des structures, à la sécurité, à l'équipement sonore etc. Tout cela a un coût !
Il y a des frais quand on prêche l'évangile !
De nos jours, il faut même payer, dans certains aéroports, pour utiliser les salles de bains. L'argent nous sert pour acquérir ce qu'il nous faut, pour répondre à nos besoins.
Dieu ne veut pas que nous soyons dans la pauvreté. Seule la parole de Dieu, en produisant en nous le renouvellement de l'intéligence, va nous éclairer sur la volonté de Dieu en ce qui concerne les finances.
L'Église a le mandat divin d'aller prêcher la bonne nouvelle et cela implique toujours des frais. C'est bien l'ennemi qui veut garder l'Église pauvre, car ainsi elle n'aura plus les moyens d'aller vers les nations.
Acceptons l'enseignement
Ce sont nos traditions qui nous empêchent souvent de croire ce que dit la parole de Dieu au sujet des finances.
Il est vrai que certains hommes de Dieu ont dénaturé le message de la prospérité et parfois même, en ont abusé. Il n'en reste pas moins vrai que Dieu, comme un père aimant et attentionné, désire que ses enfants ne manquent de rien.
Dieu ne nous bouscule pas, il nous donne le choix de croire ou non à sa parole. Et c'est seulement ce que Dieu dit qui est vrai. Restons enseignables, humbles et écoutons ce que Dieu dit réellement sur les finances.
Le renouvellement de notre intelligence va nous amener à décrocher des bénédictions que nous aurions loupées si nous ne nous étions pas remis en question.
Dieu nous bénit pour que nous bénissions
Dieu nous bénit afin que nous soyons des sources de bénédictions à notre tour, pas pour que nous soyons des réservoirs. Dieu cherche des cœurs purs, il bénit ceux qui ont une vision pour son royaume.
S'appuyer sur Dieu nous demande de renoncer à nos pensées et de marcher par la foi.