Manifestations contre la pièce de théatre Sur le concept du visage du fils de Dieu (Page 1 / 2)
Manifestations contre la pièce de théatre Sur le concept du visage du fils de Dieu
Après "la croix de Christ baignant dans l'urine", les évènements "artistiques christianophobes" continuent... Voici des communiqués suite aux manifestions qui se sont déroulées ces derniers jours contre la pièce "Sur le concept du visage du fils de Dieu" jouée à Paris :
Communiqué du Renouveau Français
Jeudi 20 octobre avait lieu au Théâtre de la ville, la première représentation à Paris de la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu ».
L'auteur de la pièce, Roméo Castellucci, y met en scène un vieillard déféquant sur scène et son fils venant le nettoyer, avec pour arrière-plan le portrait du Christ. Les excréments récoltés par le fils étant destinés à être lancés par des enfants sur le portrait du Christ à la fin de la pièce.
La haine antichrétienne se montre ici sous son aspect le plus primaire et le plus immonde, comme avec l'affaire du « Piss Christ » à Avignon où cette fois-ci, il était question de représenter le Christ dans de l'urine.
Pour l'auteur, interrogé lors du festival d'Avignon, il ne s'agit pas d'une oeuvre christianophobe mais « d'une pièce faisant appel à l'intelligence et la sensibilité de chacun des spectateurs.
A la fin du spectacle, un voile noir d'excréments coule sur le portrait du fils de Dieu : Dieu se retire dans le brouillard du fond de la scène, depuis lequel il avait fait son apparition »
Aurait-il osé s'en prendre de la même façon à l'islam ou au judaïsme ? Certainement pas.
Dès septembre, les recours légaux avaient été utilisés pour faire interdire ce spectacle scandaleux... Sans succès.
En France, nation façonnée par le Christianisme, il est toléré de s'en prendre à cette religion de toutes les façons possibles ; c'est même encouragé par les autorités, puisque le spectacle en question a bénéficié de subventions publiques... Mais la réaction s'est organisée.
Les militants du Renouveau français ont eu l'honneur d'inaugurer la chaîne de protestation contre ces blasphèmes !
C'est ainsi que les spectateurs outrés (et plus encore les responsables du théâtre) ont eu la mauvaise surprise de voir leur représentation interrompue durant plus d'une demi heure.
Face aux 400 bobos venus se délecter de pseudo « art » scatologique, les militants du Renouveau français sont montés sur la scène aux cris de « Christianohobie, ça suffit ! »
Avec ce slogan, parfaitement visible sur la banderole qui fut déployée, tous devraient avoir saisi la raison de notre action, mais surtout, avoir compris que les défenseurs de la Chrétienté ne tolèreront désormais plus que l'on s'en prenne ainsi à la religion, colonne vertébrale de notre civilisation.
Après une dizaine de minutes plutôt animées, nos militants ont entamé le chapelet d'abord face aux spectateurs en guise de réponse à leurs insultes, puis face à la sainte image du Christ, désarçonnant ainsi la sécurité des lieux, avant d'être finalement délogés par la police.
Ils s'en sont tirés avec près de vingt-quatre heures de garde-à-vue : une répression ahurissante et scandaleuse alors qu'aucune violence n'avait été commise.
Le Comité directeur du Renouveau français félicite la dizaine de jeunes militants qui se sont illustrés ce jeudi et sait qu'ils feront des émules, au service de la dignité, de notre civilisation et de la chrétienté.
Il invite les Français las du climat actuel à le rejoindre, ou du moins le soutenir, et à travers lui soutenir les jeunes Français qui ont sauvé l'honneur ce jeudi.
Note importante :
Le Maire de Paris, Monsieur Bertrand Delanoë, déclare : " Depuis une semaine, chaque soir, des militants fanatisés tentent d'empêcher la tenue du spectacle de Roméo Castellucci, « Sur le concept du visage du fils de Dieu », au Théâtre de la Ville. Je tiens à exprimer ma consternation face à ces faits inacceptables qui se reproduisent chaque soir ".
Lorsque des caricatures sur Mohamed avaient été publiées et que plusieurs jeunes avaient semé la pagaille, incendié des voitures, et fracassé des vitrines, le Maire de Paris avait eu un discours très différent. Il avait déclaré : « Je me sens proche des musulmans qui ont ressenti la caricature du prophète Mahomet « comme une profanation ». « Aucun amalgame ne peut être toléré, ni même suggéré entre une grande religion porteuse d'une part de l'universel et les quelques fanatiques qui sèment la barbarie en son nom »
L'institut Civitas face aux christianophobes sur France 5
Samedi 29 octobre, France5, télévision du service public, avait invité François-Xavier Peron (Pour Civitas) et Maître Jérôme Triomphe (Pour l'Agrif) à un débat – en direct - face à l'abbé de La Morandais (Très "introduit" dans le milieu bobo-artistique parisien) et Jean-Michel Ribes (Directeur de théâtre).
Le prêtre du diocèse de Paris a fini par se confondre dans un silence total face à deux intervenants qui avaient pour eux la jeunesse, la gentillesse et la force de conviction d'une foi confessée publiquement.
Quant à Jean-Michel Ribes, il a déclaré qu'il accepterait que le visage de sa mère soit barbouillé de merde (sic) si c'était Andy Warhol (artistique américain très côté) qui le faisait..
Contrairement à Jean-Michel Ribes qui a été - toute conviction mise à part - très correct et qui a salué ses contradicteurs, l'abbé de La Morandais a refusé de leur serrer la main après l'émission. Chacun comprendra où se trouve la violence et où se trouve la charité.
Soutien aux Militants
Bertrand Delanoë, le maire de Paris, et Emmanuel Demarcy-Mota, le directeur du théâtre de la ville, viennent de porter plainte contre des dizaines de jeunes chrétiens.
Leur crime ? Ils n'ont pas voulu laisser une représentation du Christ être souillée d'excréments puis lacérée sous les applaudissements d'une foule sans rien faire. Pour avoir manifesté, tenu une banderole ou prié à l'entrée du théâtre ou sur la scène, sous des insultes et des invectives obscènes, plusieurs catholiques sont actuellement poursuivis par la justice.
Accusés d'avoir entravés la liberté d'expression, chacun d'entre eux est passible, aux termes de l'article 431-1 du code pénal, de peines allant d'un à trois ans de prison et d'amendes de 15.000 à 45.000 euros. A cela s'ajouteront d'importants frais de justice.
C'est une répression scandaleuse à l'encontre de tous ces chrétiens. Blessés dans leur foi, leur insoumission fut traitée avec une violence disproportionnée et totalement injuste.
Ces jeunes gens ont agi avec humilité et bravoure. Ils se retrouvent aujourd'hui cloués au pilori médiatique : le Monde, Libération, l'Humanité, Rue89, le Nouvel Observateur, Télérama et la Croix les dénoncent conjointement et indistinctement. Il n'est jusqu'au gouvernement, en la personne du ministre de la culture Frédéric Mitterrand, qui n'y aille de sa condamnation.
Ils ont tous subit des gardes à vue. Une vingtaine d'heures pour certains ; quarante-huit heures - le maximum légal - pour d'autres. Il est évident que cela n'est pas sans conséquences sur leur situation professionnelle. Plusieurs ont déjà perdu leur emploi. Un autre, jeune père de famille, a reçu un avertissement de son employeur et risque aussi d'être licencié. Des manifestants ont été blessés par les CRS ; particulièrement un dont la jambe a été écrasée par un car de police.
La jeunesse de France ne doit pas fléchir. Pour cela, elle a besoin de votre aide pour que, demain, elle puisse encore porter haut ses convictions et défendre ses valeurs.
Violences policières du 20 octobre :
Montée de la christianophobie en France le jeudi 20 octobre la pièce de théâtre de Roméo Castelluci:" le concept du visage du fils de Dieu" était programmée au Théâtre de la ville à Paris.De jeunes catholiques militants étaient venu manifester contre cette attaque directe à leur religion.Violences policières. Après un tabassage en règle les manifestants furent mis à terre et menottés sans ménagement. Scène particulièrement choquante:
alors qu'il était maintenu au sol un militant a eu la jambe écrasée par un car de police. Il a été conduit par les pompiers écoeurés, en urgence à l'hôtel Dieu.
Sources des articles :
Communiqué du Renouveau Français