Les agonisants célèbres.

De grands hommes et leurs derniers mots

Les déclarations que font les agonisants sont toujours dignes de confiance. Même les menteurs font des aveux honnêtes, quand ils en arrivent là. Un coup d'oeil sur leur lit de mort nous en apprend plus sur les gens que tout ce qu'ils ont pu dire ou faire de leur vivant. Quand les hommes se voient confrontés avec la mort, ils laissent tomber leur masque, et se montrent enfin tels qu'ils sont et tels qu'ils furent. On en a vu reconnaître qu'ils avaient vécu de façon vaine et superficielle, d'autres qu'ils avaient poursuivi une illusion, d'autres encore qu'ils s'étaient laissés entraîner par une idée fallacieuse. Aldous Huxley, dans la préface de son livre « Le meilleur des mondes », nous exhorte à juger les gens et les choses, comme nous les jugerions si nous nous trouvions sur notre lit de mort.
 
12 Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse.


VOLTAIRE, le célèbre écrivain satirique, eut une fin épouvantable. L'infirmière qui se trouvait à son chevet déclara : « Pour tout l'or du monde, je ne voudrais assister encore une fois à l'agonie d'un incroyant ». Il implora le pardon en criant toute la nuit.

DAVID HUME, qui était athée, cria : « Je suis dans les flammes l », et son désespoir semblait terrible.

HENRI HEINE, qui fut un persifleur, fit plus tard pénitence, et vers la fin de sa vie écrivit le poème suivant : « La vieille lyre s'est rompue sur ce roc qu'on nomme Jésus l La lyre, par le mauvais esprit inspirée, chantait des fêtes damnées. Cette lyre, c'est pour la révolte qu'elle résonnait, pour le doute, la moquerie et la chute qu'elle chantait. Seigneur, Seigneur, pour ces chansons humblement j'implore ton pardon ! ».

NAPOLEON eut une agonie effroyable, déclara le médecin qui se trouvait près de lui. II écrivit : « L'empereur meurt solitaire et abandonné ».

CESAR BORGIA, l'homme d'état : « Dans toutes les circonstances de ma vie, j'ai été prévoyant, et j'ai toujours pris toutes les dispositions nécessaires. Et voilà que maintenant je dois mourir sans y être préparé ».

TALLEYRAND : " Je subis les tortures des damnés ».

CHARLES IX (roi de France) : « Je suis perdu, je n'en doute pas ».

MAZARIN : « Mon âme, qu'adviendra-t-il de toi ? ».

HOBBES, le philosophe anglais : « Je dois franchir ce pas redoutable, qui me conduira dans les ténèbres ».

SIR THOMAS SCOTT, l'ancien président de la chambre haute anglaise : « Jusqu'à présent, je ne croyais ni en Dieu ni au Diable. Maintenant, je sais et je sens qu'il existe les deux, et le jugement équitable du Tout-Puissant me damnera pour l'éternité ».

GOETHE : « De la lumière ! ».

NIETZSCHE mourut dans la démence.

LENINE mourut dans un état d'aliénation mentale. II implorait ses meubles de lui accorder le pardon de ses péchés. Les jeunes révolutionnaires affirmeront certainement avec véhémence que cela est faux. II faut reconnaître que c'est déplaisant de devoir admettre que l'idole de plusieurs millions d'hommes s'est reniée elle-même et de cette façon.

SINOWJEW, le président de l'Internationale Communiste, fut fusillé par Staline. Il avait dit : « Ecoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est l'unique Dieu ».

CHURCHILL : « Quel fou ai-je été ! ».

JAGODA, qui fut le chef de police secrète russe : « Il doit y avoir un Dieu. Il me punit de mes péchés : « 

BOUDDHA : « Je n'y suis pas arrivé ».

Voltaire, David Hume et d'autres se seraient certainement moqués, si on leur avait dit de leur vivant que sans Jésus ils couraient à leur perte. Malgré tout, ils ont été amenés à constater que la Bible a raison quand elle dit:
 
27 Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement,


Comment allez-vous mourir ? Sera-t-il aussi trop tard pour vous ? Quels seront vos derniers mots ?

Cher lecteur, il est de notre devoir de vous le dire, que vous veuilliez l'entendre ou non : Sans Jésus qui a racheté vos péchés de son sang, vous êtes perdu. C'est le Dieu Saint qui vous condamne irrémédiablement à la perte éternelle. Si vous pensez que tout est fini avec la mort, vous vous trompez. Il n'y a qu'une personne qui puisse vous sauver, c'est Jésus-Christ. Pensez-vous vraiment que les hommes, que nous avons cités plus haut, aient pu simuler la piété quand ils sentirent leur fin venir ? Privée de la paix de Dieu, la mort devient une effrayante réalité que le monde feint d'ignorer. On préfère ne pas en entendre parler, et on refoule son image au plus profond de sa conscience. Cette politique de l'autruche est-elle une bonne solution ?

Un communiste chinois, qui avait livré beaucoup de chrétiens à l'exécution, vint un jour trouver un pasteur, et lui dit : « J'ai vu mourir beaucoup de gens. Mais les chrétiens meurent autrement. Quel est votre secret ? ».

Voulez-vous le connaître ?

Si vous désirez du fond du coeur venir à Jésus-Christ, si vous voulez vraiment recevoir la paix de Dieu, vous pouvez dire cette prière :

« Seigneur Jésus, je T'en prie, pardonne-moi mes fautes et mes péchés, ma rébellion et mon égoïsme. Je sais que Tu es mort pour moi, et que Tu as payé de Ton sang la rémission de mes péchés. Je T'en remercie. Je Te prie de venir maintenant dans ma vie. Je T'ouvre la porte de mon coeur, et Te demande d'être à présent mon Seigneur. Merci de m'écouter et de m'accepter ». Ce ne sont pas les mots qui sont importants, c'est l'intention. Car Jésus dit : « Celui qui vient à Moi, Je ne le repousserai pas ». C'est Jésus, et lui seul, qui a vaincu le pouvoir de la mort.

Vous pouvez maintenant partir en souriant, et, plein de confiance en vous, effacer de votre mémoire ce que vous venez de lire. Ce n'est pourtant pas de cette façon que vous échapperez à la mort. Que reste-t-il alors ?
 
5 Eternel ! dis-moi quel est le terme de ma vie, Quelle est la mesure de mes jours; Que je sache combien je suis fragile. 6 Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle. -Pause.


C'est pourquoi le prophète Amos nous dit :

12 C'est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël; Et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, O Israël !
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