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ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l'épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités,
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Que tu es heureux, Israël ! Qui est comme toi, Un peuple sauvé par l'Eternel, Le bouclier de ton secours Et l'épée de ta gloire ? Tes ennemis feront défaut devant toi, Et tu fouleras leurs lieux élevés.
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Puis Saül et tout le peuple qui était avec lui se rassemblèrent, et ils s'avancèrent jusqu'au lieu du combat; et voici, les Philistins tournèrent l'épée les uns contre les autres, et la confusion était extrême.
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Ils la prirent le même jour, et la frappèrent du tranchant de l'épée, elle et tous ceux qui s'y trouvaient; Josué la dévoua par interdit le jour même, comme il avait traité Lakis.
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l'épée que vous redoutez vous atteindra là au pays d'Egypte, la famine que vous craignez s'attachera à vous là en Egypte, et vous y mourrez.
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Celle qui avait enfanté sept fils est désolée, Elle rend l'âme; Son soleil se couche quand il est encore jour; Elle est confuse, couverte de honte. Ceux qui restent, je les livre à l'épée devant leurs ennemis, Dit l'Eternel.
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Il tuera par l'épée tes filles sur ton territoire; il fera contre toi des retranchements, il élèvera contre toi des terrasses, et il dressera contre toi le bouclier.
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Maintenant, l'épée ne s'éloignera jamais de ta maison, parce que tu m'as méprisé, et parce que tu as pris la femme d'Urie, le Héthien, pour en faire ta femme.
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Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgeassent les uns les autres; et une grande épée lui fut donnée.
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Il se leva, et frappa les Philistins jusqu'à ce que sa main fût lasse et qu'elle restât attachée à son épée. L'Eternel opéra une grande délivrance ce jour-là. Le peuple revint après Eléazar, Seulement pour prendre les dépouilles.
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Et toute cette multitude saura que ce n'est ni par l'épée ni par la lance que l'Eternel sauve. Car la victoire appartient à l'Eternel. Et il vous livre entre nos mains.
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Fils de l'homme, trace deux chemins pour servir de passage à l'épée du roi de Babylone; tous les deux doivent sortir du même pays; marque un signe, marque-le à l'entrée du chemin qui conduit à une ville.
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De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant.
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Voici, je veillerai sur eux pour faire du mal et non du bien; et tous les hommes de Juda qui sont dans le pays d'Egypte seront consumés par l'épée et par la famine, jusqu'à ce qu'ils soient anéantis.
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Je fortifierai les bras du roi de Babylone, Et je mettrai mon épée dans sa main; Je romprai les bras de Pharaon, Et il gémira devant lui comme gémissent les mourants.
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Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, Comme un rameau qu'on dédaigne, Comme une dépouille de gens tués à coups d'épée, Et précipités sur les pierres d'une fosse, Comme un cadavre foulé aux pieds.
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Je frapperai de stupeur beaucoup de peuples à cause de toi, Et leurs rois seront saisis d'épouvante à cause de toi, Quand j'agiterai mon épée devant leur face; Ils trembleront à tout instant chacun pour sa vie, Au jour de ta chute.
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Il leur dit : Ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël : Que chacun de vous mette son épée au côté; traversez et parcourez le camp d'une porte à l'autre, et que chacun tue son frère, son parent.
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Epée, lève-toi sur mon pasteur Et sur l'homme qui est mon compagnon ! Dit l'Eternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent ! Et je tournerai ma main vers les faibles.
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J'ai envoyé parmi vous la peste, comme en Egypte; J'ai tué vos jeunes gens par l'épée, Et laissé prendre vos chevaux; J'ai fait monter à vos narines l'infection de votre camp. Malgré cela, vous n'êtes pas revenus à moi, dit l'Eternel.