Les rêves que Dieu met dans notre cœur nous conduisent à accomplir notre destinée. Je vous pose alors cette question : quel était votre rêve lorsque vous aviez dix-sept ans ? Votre entourage vous encourageait-il à poursuivre votre rêve ? Ou au contraire, vous décourageait-il en vous disant que cela n'était pas raisonnable ? J'ai souvent vu des jeunes gens avoir des rêves et être découragés par leur entourage qui leur répétait : « Fais attention, ce n'est pas raisonnable, tu ferais mieux de faire cela car tu dois t'assurer un avenir professionnel et un certain confort de vie ».

Mais aujourd'hui, je voudrais vous encourager à rêver ! Je voudrais vous encourager à cela car souvent, dans vos rêves, se cachent en réalité les desseins de Dieu pour votre vie. Beaucoup de personnes ont réalisé de grandes choses en poursuivant leurs rêves ; beaucoup d'autres vivent avec le regret de ne pas les avoir accomplis.

Votre rêve doit être le fil conducteur de votre vie qui vous amène à atteindre les sommets et à accomplir la vision de Dieu.

Joseph avait dix-sept ans lorsqu'il reçut des songes de la part de Dieu. Dix-sept ans est un âge où l'on rêve, où nous ne sommes pas encore prisonniers des pensées de l'âge adulte ni de la réalité de la société. Les songes que recevaient Joseph étaient grands, extravagants et cela irritait ses frères. La Bible dit que chaque fois qu'il leur racontait un songe, ses frères devenaient de plus en plus furieux contre lui parce qu'ils n'aimaient pas ses rêves.

Joseph osait rêver ! Et je vous encourage tous à faire des rêves.

La révélation divine structure notre vie : elle nous fait aller de l'avant et nous évite l'égarement.

Le potentiel que Dieu met en nous périt si nous n'avons pas de rêve. Il est d'ailleurs facile de voir combien un rêve anime un enfant et le fait courir avec entrain vers l'avenir. Il lui donne la motivation nécessaire pour faire des sacrifices, pour supporter les coups, pour donner de son temps.

Alors, j'aimerais vous faire partager cet entrain, cette motivation que donne le rêve. Mon désir est que tous ensemble, nous entrions dans la vision de Dieu ; que nous ne regardions plus à nous ni à notre vie, mais qu'ensemble, la famille de Dieu, nous regardions au Seigneur et à ce qu'il nous propose pour notre ville et notre pays. Non, Dieu n'a pas abandonné votre pays ! Il l'aime ainsi que tous ses habitants qui sont tous ses créatures.

Votre rêve est un moteur pour votre avenir

Lorsqu'un leader n'a plus de rêve, il ne peut plus transmettre de vision à ses coéquipiers. Mais s'il a encore un rêve et qu'il sait comment le vivre de façon constructive, alors il verra d'autres se lever et se mettre à sa disposition pour qu'ensemble, ils puissent vivre ce rêve. Ils diront : « Me voici ! Je suis là pour vivre cette vision et accomplir le rêve que Dieu a mis dans ton cœur. Je me lève pour rentrer dans ce destin auquel je sais que Dieu m'appelle ».

Cette vision peut être extravagante et déranger, comme ce fut le cas pour Joseph, mais sachez que la vision de Dieu est toujours extraordinaire. Le problème est lorsque nous abordons cette vision avec des yeux humains : nous n'en saisissons pas la grandeur et nous pouvons la dénigrer. C'est ce qui s'est passé lorsque les frères de Joseph ont entendu son songe : ils ne comprirent pas la dimension divine qu'elle revêtait, et le considérèrent avec des yeux humains. « Comment ? Nous devrons nous mettre à genoux devant toi ? Mais quel orgueil ! ». Leur chair a aveuglé les frères de Joseph et ils ne purent comprendre que ce songe venait de Dieu.

Même dans votre famille, dans votre couple, soyez des hommes et des femmes animés par un rêve. Ne laissez pas votre vie devenir banale, c'est-à-dire une vie dans laquelle vous recherchez davantage des bonheurs éphémères et un confort minimum, mais où vous oubliez vos rêves. Même si vous avez traversé des difficultés et des déceptions dans votre relation de couple, n'abandonnez pas vos désirs d'idéal qui vous animaient lorsque vous vous êtes mariés. Même si votre vie professionnelle s'avère plus compliquée que prévu, ne laissez pas tomber vos ambitions qui vous motivaient tant quand vous avez commencé à travailler. Je voudrais que vous fassiez revivre ces rêves que vous aviez avant mais que la vie vous a poussé à abandonner.

L'idéal de vie pour une famille chrétienne se retrouve dans Josué 24 v.15 :

Sachez que le rêve ne se limite pas à un âge. Vous pouvez rêver à vingt ans comme à soixante, jusqu'à votre dernier souffle même. Alors n'étouffez pas vos rêves sous prétexte de l'âge. Ne vous mettez pas en retrait de la vision de Dieu en vous disant que vous êtes trop âgés ; cela est faux car la vision de Dieu dure toute votre vie.

Aujourd'hui, nous aimons davantage parler de football que de foi. Même les chrétiens préfèrent raconter le match qu'ils ont vu la veille à la télévision plutôt que de parler du rêve du royaume de Dieu. Mais lorsque nous vivons la vision de Dieu, la passion de son royaume nous dévore et l'amour de Christ pour les âmes nous anime.

C'est vrai que le monde est attirant. Mais s'il attire autant certains chrétiens, c'est parce qu'ils ont été déçus par la vision de Dieu. Ils y ont cru, ils se sont investis, ils ont donné de leur temps, mais les difficultés rencontrées leur ont fait oublier le rêve de Dieu en leur faisant croire qu'il était inaccessible. D'une certaine manière, ils deviennent désabusés et leurs regards se tournent à nouveau vers le monde et ses distractions beaucoup plus confortables. Mais ce confort est un leurre car il mène à la mort.

Alors, ne vous mettez pas en retrait de la vision mais tenez fermes : les rêves de Dieu sont immuables et sont appelés à se réaliser. Regardez ce qui se passe dans le monde et vous comprendrez combien l'œuvre de Dieu est grande et concrète. Dans certains pays, des églises rassemblent jusqu'à cent mille membres chaque dimanche pour annoncer l'Evangile et des prédicateurs attirent plus d'un million de personnes lors de conférences. Cette ouverture d'esprit vous permet de voir ce que Dieu réalise ailleurs sur terre et de croire que ce que l'Eternel fait dans ces pays, il peut également le faire dans le vôtre car il est le même partout.

Quel que soit votre rêve, conservez-le ou ranimez-le ! Même s'il est extravagant, protégez-le car Dieu parle dans une extravagance que la chair humaine ne peut pas comprendre. Nous allons voir trois points qui vous permettront d'accomplir votre rêve, votre destin.

Votre rêve va effrayer certaines personnes

Le rêve de Joseph a effrayé les personnes qui lui étaient les plus proches : sa famille. Même son père Israël l'a réprimandé pour son rêve.

« Ses frères le haïrent », « ils le prirent en haine », ce passage nous parle de haine ! Ce n'est pas un sentiment anodin ! Quelqu'un qui éprouve de la haine pour une personne est capable de lui souhaiter le pire !

Ainsi, votre rêve peut susciter de la haine autour de vous et cela peut même atteindre votre famille. D'ailleurs, vous remarquerez que bien souvent, l'opposition à votre rêve vient des plus proches : votre frère ou votre sœur, vos parents, votre époux ou votre épouse. Ils vous disent de ne pas faire cela, elles pensent que vous êtes dans l'erreur et elles vous le font savoir. Mais à force de détruire leurs rêves, les personnes deviennent des machines : elles n'avancent plus par conviction mais par obligation, elles ne sont plus motivées par ce que l'avenir peut leur offrir mais par un confort programmé. Sans les rêves et leur dose d'extraordinaire, le monde devient trop cartésien ; et cela peut même détruire l'amour.

Soyez vigilants et protégez les rêves que Dieu met dans votre cœur. Ces rêves sont précieux pour votre vie car ils vous amènent à vous battre et à vous surpasser, à développer vos capacités. Le rêve que Dieu met dans votre cœur est aussi la direction à suivre pour entrer dans votre appel.

Vous aurez des oppositions, mais vous devrez tenir fermes.

N'étouffez pas la vision de Dieu. Même si cela irrite autour de vous, ce n'est pas grave ! Vous devez vivre votre vie et accomplir ce que Dieu vous met à cœur. Si vous perdez votre vision, automatiquement, vous retournez en arrière. Votre vision est votre motivation ! Elle vous fait avancer. Si vous la perdez, vous allez automatiquement stagner puis repartir en arrière.

Les rêveurs ne cessent jamais de rêver

Les rêveurs aiment rêver. Regardez Joseph : il a eu un premier songe qui a irrité ses frères. Malgré cela, il a eu un second puis un troisième songe qu'il raconta chaque fois à sa famille.

Quelle témérité ! Malgré l'opposition que rencontrait Joseph, il ne cessait de raconter les songes que Dieu lui donnait. Certes, il devait éprouver de la fierté car ses songes le mettaient en valeur, mais c'est aussi un choix qu'il fit de ne pas taire ce que Dieu lui montrait. Même s'il savait que ce qu'il disait ne plaisait pas, il ne se taisait pas pour autant ; il n'a pas cessé de rêver pour plaire à sa famille.

La Bible nous prévient : nous aurons des rêves.

Nous ne devons pas avoir peur des rêves de Dieu car ce sont des temps où nous sommes en communion avec l'Eternel. Même si le monde trouve cela étrange, nous devons écouter ce que nous montre le Saint-Esprit.

L'Eglise de Jésus-Christ doit se laisser conduire par le Saint-Esprit, même si cela déplait à l'esprit du monde. Notre priorité n'est pas de plaire au monde mais à Dieu ! Une Eglise qui veut être efficace pour le royaume doit se laisser guider par l'Esprit de Dieu car c'est le Saint-Esprit qui touche les cœurs et qui convainc de pécher. C'est le Saint-Esprit qui interpelle les personnes et transforme leur vie, et non pas nous qui bien souvent, désirons briller aux yeux des hommes plutôt qu'accomplir l'œuvre de Dieu. Peu importe la beauté de ma prédication, si l'Esprit Saint ne m'accompagne pas, cela demeure inutile.

L'œuvre de Dieu doit être considérée comme une œuvre extraordinaire, et travailler pour son royaume est quelque chose de fantastique.

Joseph n'a jamais cessé de rêver, et mon désir est que vous aussi, vous ne cessiez pas de rêver.

Il y a quelques temps, j'étais dans mon bureau à l'église, et j'ai commencé à rêver pour notre église. Ce n'était pas un songe ni une vision, c'était un rêve éveillé. Je voyais un groupe de personnes qui travaillait pour le royaume, pour que l'église grandisse et dont le souci principal était que les âmes viennent à Dieu et ne repartent pas dans le monde. Car je suis conscient que c'est bien de demander à Dieu la croissance, mais il faut également que l'église soit prête à accueillir tous les nouveaux convertis, à prendre soin d'eux sinon ils risquent de repartir dans le monde.

Je voyais donc toute une infrastructure se mettre en place et se coordonner pour pouvoir entrer dans la volonté de Dieu. Et le Seigneur me montrait que l'église était tournée vers ce pays de France, mais aussi vers les nations.

Ce rêve était très audacieux car ce que me montrait Dieu était très grand ! C'était d'autant plus étonnant que nous sommes une petite église. C'est peut-être trop audacieux, mais c'est ce que me montrait le Seigneur. Peut-être que d'autres membres de l'église ont le même rêve que moi et prient pour voir la salle se remplir. Peut-être que d'autres se sont laissés aveugler par ce que leurs yeux voyaient et ont arrêté de rêver.

C'est même embarrassant pour moi de vous parler de ce rêve car il est grand et j'en ai conscience. Mais j'ose faire ce rêve. Je vois une nouvelle église où chaque membre se bat pour prendre soin des nouvelles âmes et empêcher qu'elles repartent dans le monde. Chaque membre s'investit pour que les âmes puissent s'ancrer dans la Parole de Dieu et grandir. Le lieu que Dieu me montrait était peut-être vingt ou trente fois plus grand que notre église actuelle, et chacun des membres de la Mission Chrétienne Française étaientt présent.

Trop souvent, les rêves que nous faisons sont influencés par le monde et se rétrécissent avec le temps ; ils finissent par s'éteindre. Mais les rêves que Dieu met dans notre cœur sont grands et audacieux. Dieu a une destinée audacieuse pour chacun de nous, et nous sommes tous appelés à la vivre.

Nous avons sur un mur de notre église une carte du monde et ce n'est pas un hasard ! C'est parce que nous devons avoir un regard sur le monde. Ce n'est pas voir les choses en grand, mais seulement répondre à l'appel de Christ qui nous envoie prêcher sa Parole au monde entier. Cette carte nous rappelle également qu'une église ne doit pas être centrée sur elle-même mais tournée vers le monde. Une église ne doit pas se focaliser sur ses problèmes quotidiens, mais elle doit considérer en priorité la vision de Dieu. Cette vision est notre priorité !

Le rêveur ne doit jamais cesser de rêver. Parfois, le rêve parait tellement grand qu'il pourrait s'apparenter à un délire. Mais sachez que rien n'est trop grand aux yeux de Dieu. Songez que Noé a construit une arche dans un endroit où il n'avait jamais plu. De plus, il n'avait jamais construit de bateau auparavant. Et pourtant, lorsque Dieu lui demande de construire cette arche pour sauver l'humanité, il le fait.

Les gens se laissent trop impacter par la réalité de la vie et cessent de rêver. Ils parlent de leurs difficultés d'argent, des problèmes avec leurs enfants ou avec leurs collègues de travail. Ils vivent au travers de leurs soucis alors que Dieu nous appelle à rêver au meilleur. Lorsqu'une personne se marie, ce n'est pas pour vivre une galère ! C'est au contraire, pour vivre le bonheur et bâtir une vie qui lui permette de réaliser ses rêves.

Le rêve doit faire partie intégrante de votre vie car il vous pousse à aller plus loin, il vous donne la motivation d'avancer, et dans votre sillage, vous entraînez votre entourage. Oui, le rêveur entraine avec lui les personnes qui l'entourent. Je sais que lorsque je me mets à rêver des projets de Dieu, toute l'équipe qui m'entoure dans mon ministère se met à rêver avec moi. Et cela les motive pour donner de leur temps et à s'investir pour voir l'œuvre avancer.

Réveillez les rêves que vous aviez à dix-sept ans, cet âge où vous rêviez encore. Je ne veux pas que vous soyez des personnes à la pensée trop cartésienne, marquées par les désillusions de la vie et qui se contentent d'un quotidien acceptable. Je veux parler à vos rêves d'adolescent, ces rêves qui faisaient pétiller vos yeux et les remplissaient d'espoir en l'avenir. Le rêve, c'est la motivation, c'est ce qui vous pousse à aller plus loin.

Vos rêves vous pousseront peut-être à vivre une vie extravagante ou audacieuse ; les personnes qui vous regarderont de l'extérieur ne vous comprendront pas. Mais vous, vous serez dans la vision de Dieu.

Songez à l'émerveillement que vous ressentez lorsque vous voyez quelqu'un aller jusqu'au bout de ses rêves. Il est passé par des hauts et par des bas, mais il a toujours cru en son rêve. J'aime cette vie d'aventure ! Mettre au point un projet, le réaliser puis passer à un autre projet. Aller toujours de l'avant pour accomplir ce que Dieu me met sur le cœur, car c'est là le véritable objectif de nos rêves : accomplir la vision de Dieu.

Même si vous étouffez le rêve que Dieu met dans votre cœur, sachez qu'il demeure en vous et qu'il n'est pas mort : les rêves de Dieu ne meurent pas ! Alors réveillez-les ! Ces rêves font partie de votre personnalité. C'est pour cela que ceux qui ne rêvent plus vivent des malaises : ils abandonnent une partie d'eux-mêmes.

En quelque sorte, une personne qui ne rêve plus est meurtrie, elle a oublié l'extraordinaire de Dieu. Elle se plie à la réalité et devient conformiste. Sa vie devient terne. Le rêve comporte des risques et des embûches, mais c'est la vie qui veut cela.

L'expérience m'a montré que Dieu faisait en sorte que les rêves qu'il dépose dans notre cœur se réalisent. C'est pour cela que je ne cesse jamais de rêver. La vision de Dieu m'anime.

Combien, sous prétexte que la vie est difficile, ont abandonné leurs rêves ? Combien considèrent qu'ils font partie de leur passé ? Mais un enfant de Dieu ne range pas ses rêves au placard ! Il croit en la vision divine et il persévère !

Oui, je crois que lorsque Dieu dépose un rêve dans le cœur d'une personne, il peut l'accomplir. Je ne parle pas de n'importe quel rêve, mais bien du rêve de Dieu ; celui qui n'est pas le fruit de nos désirs, mais de la volonté de Dieu. Et lorsque Dieu veut quelque chose, aucune embûche, aucune difficulté n'est trop grande. La seule limite est : jusqu'où sommes-nous prêts à aller ?

La vision de Dieu unit son peuple. Lorsque nous partageons la même passion et que nous avons le même objectif, alors nous avançons main dans la main.

Lorsque vous avez un rêve et que vous le partagez autour de vous, certains vous prendront pour un orgueilleux. Mais un rêve est toujours quelque chose de grand ! Et lorsque vous le racontez, les gens prennent cela pour de l'orgueil, mais il n'en est rien ! C'est la vision de Dieu qui est grande, elle va bien au-delà de ce que nos yeux voient. C'est justement cette grandeur qui nous pousse à aller de l'avant.

Certains essaieront de vous détourner : « Pourquoi perds-tu ton temps ? Tu ferais mieux de faire autre chose, de penser davantage à toi… ». Mais, vous ne perdrez jamais votre temps en poursuivant la vision de Dieu ; au contraire, vous aurez choisi la meilleure part.

Les circonstances peuvent aussi vous décourager et vous faire croire que finalement, vous n'êtes pas fait pour cela. Les difficultés vous font douter de vos propres compétences : « Je ne suis pas à la hauteur, je n'y arriverai jamais ». Mais ne vous laissez pas abattre : lorsque Dieu vous appelle à une mission, il vous donne en même temps les compétences nécessaires pour la mener à bien.

Cessez également de vous comparer car plus vous vous comparez, plus vous vous focalisez sur vos défauts et vous finissez par ne même plus voir vos qualités : « Tu t'imagines ! Il y a tellement de personnes qui sont plus qualifiées que moi que je ne pourrai jamais être à la hauteur ». La comparaison a ce méfait destructeur de vous faire croire que vous n'êtes pas capables alors qu'en réalité, vous l'êtes car Dieu vous a choisis. En plus, l'histoire regorge d'exemples de personnes qui ont fait de grandes choses alors même qu'elles n'avaient aucun diplôme ; elles ont simplement cru en leur rêve.

Ainsi, même si ce qu'il a dans leur cœur effraie, un rêveur ne cesse de rêver.