Je suis content (Page 1 / 2)

Une étude de Bernard Emkeyes

Bannissez le mécontentement - Partie 1

« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous ».
Philippiens 4 v.4

J'avais préparé ce message durant la semaine précédant le déroulement des terribles attentats du 13 novembre à Paris, et j'ai ensuite hésité. Au vu des circonstances, je me suis demandé si je devais apporter ce message ou pas car il est difficile de parler et d'entendre parler de joie après avoir vécu de près ou de loin des événements aussi dramatiques.

Mais face à l'épreuve, nous avons beaucoup de leçons à apprendre pour grandir spirituellement et nous rapprocher toujours plus de la Parole de Dieu. Quoiqu'il arrive, nous devons mettre en pratique la Bible car elle est la Parole de vie. Notre foi doit être ambitieuse et inébranlable. Même si aujourd'hui, nous avons l'impression que les choses vont mal, Dieu nous appelle à vivre ! Il est le chemin de la vie et nous appelle à nous confier en lui.

Il y a toujours un temps d'attente avant la réalisation des promesses de Dieu dans notre vie personnelle, professionnelle ou spirituelle. Et l'attitude que nous adoptons durant cette période est déterminante quant à la suite des événements. Si nous persévérons dans la foi, alors nous verrons les promesses s'accomplir ; mais si nous nous décourageons, alors nous pouvons passer à côté de nos bénédictions. Une des clés de notre avancement est donc la patience.

Notre nature humaine voudrait que les choses changent tout de suite, sans attendre, de la manière que nous avons prévue. Mais, ce n'est pas ainsi que Dieu agit et nous devons apprendre à ne pas être impatients ! Non seulement Dieu nous demande la patience, mais il nous dit également de rester dans la joie pendant ce temps d'attente. Ce deuxième point n'est pas facile quand on sait combien notre impatience nous conduit souvent au mécontentement.

Soyez joyeux quelles que soient les circonstances

Certains recherchent un emploi, d'autres désirent se marier ou acheter une maison ; tout cela est très bien mais demande du temps ! Les choses ne se font pas du jour au lendemain et c'est normal. Vous devez donc prendre chacun de ces événements avec patience et surtout, vous devez veiller à ne pas tomber dans le mécontentement. Même si vous désirez plus et que vous demandez plus à Dieu, vous devez apprendre à vous réjouir de ce que Dieu vous donne aujourd'hui en attendant le meilleur du lendemain. Soyeux heureux de ce que vous vivez dans votre quotidien.

Si je vous dis cela, c'est parce que notre mécontentement déshonore Dieu. C'est-à-dire que nous sommes tellement focalisés sur ce que nous n'avons pas que nous oublions même tout ce que Dieu nous donne déjà.

Cela ne signifie pas que nous devons abandonner nos rêves ! Au contraire, nous devons continuer à demander à Dieu de manifester sa bénédiction ; mais dans l'attente, Dieu veut que nous soyons contents de ce que nous vivons. Durant cette attente, Dieu nous dit : « Tu veux une maison plus grande, c'est bien. Mais apprends d'abord à être heureux dans celle où tu vis aujourd'hui. Sois content dans toutes les situations ».

12 Je sais vivre dans l'humiliation, et je sais vivre dans l'abondance. En tout et partout j'ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l'abondance et à être dans la disette. 13 Je puis tout par celui qui me fortifie.

L'apôtre Paul nous livre ici une clé essentielle pour accomplir notre destinée : s'adapter aux circonstances et être heureux quoiqu'il arrive. Sa joie ne dépendait plus de la situation qu'il vivait, mais de Christ.

Remarquez que dans cet extrait, Paul nous dit qu'il a appris à être content dans toutes les situations. Autrement dit, ce n'est pas automatique ! Cela ne se fait pas tout seul mais demande un apprentissage. Paul a fait ce travail sur lui-même : il a appris à se réjouir de ce qu'il vivait, même dans la difficulté, car sa joie était d'avoir Christ à ses côtés et de le servir. D'ailleurs, Paul a beaucoup souffert pour annoncer l'Evangile ; il a écrit certaines épîtres alors qu'il était en prison. Pourtant, jamais il ne s'est plaint de sa condition mais il se réjouissait toujours de l'œuvre que Dieu faisait dans sa vie.

Etre contents de ce que nous vivons ne signifie pas que nous ne voulons pas le changement ni que nous nous résignons ; cela montre que nous lâchons prise et que nous laissons Dieu décider pour nous et diriger notre vie à notre place. Nous laissons Dieu nous bénir quand il veut ; nous sommes contents car nous avons confiance en lui et nous savons qu'il désire toujours le meilleur pour nous. Si Dieu ne nous donne pas quelque chose, c'est que ce n'est pas bon pour nous.

De plus, certaines situations ne changent pas à cause de nos mécontentements. Je vous l'ai déjà dit, notre mécontentement traduit un manque de reconnaissance envers Dieu. Ainsi, comment Dieu pourrait nous donner plus si déjà, nous n'arrivons pas à nous satisfaire de ce que nous avons ?

Nous vivons actuellement un temps de transition dans notre église car nous nous posons beaucoup de questions pour savoir comment toucher les âmes extérieures ; nous sommes conscients que nous devons trouver la bonne façon de leur parler afin qu'elles soient touchées par la Parole de Dieu ; nous devons trouver un moyen de communication qui les interpelle. Nous savons que Dieu va agir pour amener des âmes dans son Eglise, et nous sommes dans cette attente.

Ce temps est également un temps de transformation pendant lequel Dieu travaille notre cœur, façonne notre personnalité pour nous préparer à une œuvre plus grande encore. Mais ce n'est pas facile de ne pas se décourager car nous voyons des chaises vides et nous voyons combien il est difficile d'évangéliser dans notre ville. Malgré tout, nous continuons d'avancer par la foi. Et tant que nous demeurons dans la joie, Dieu nous fera grandir et évoluer.

Dieu utilise ces temps d'attente pour transformer notre caractère, pour façonner notre personnalité et pour fortifier notre foi.

Durant notre vie chrétienne, Dieu nous fait passer des tests ; il nous met face à une situation et il voit quelle foi nous avons. Si nous réussissons, alors nous avançons et Dieu peut nous donner de nouveaux défis à relever. Mais si nous bloquons, nous devons travailler avec Dieu afin de grandir et de passer l'épreuve. Les difficultés sont utilisées par Dieu pour nous façonner et nous affermir.

Quand, malgré la pression et les difficultés, vous choisissez d'être heureux, c'est alors que Dieu vous transforme et vous fait grandir. Plutôt que de vous plaindre et de demander à Dieu pourquoi il vous arrive cela, remerciez Dieu pour votre journée. Ainsi, vous décidez de profiter de ce que Dieu vous donne au jour le jour. Voilà la bonne attitude qui vous permet de passer le test de Dieu.

Le mécontentement bloque votre destinée

Notre foi se manifeste lorsque nous nous abandonnons à Dieu et que nous lui disons : « Je te fais confiance, je m'abandonne à toi. Désormais, je te laisse agir et ce n'est plus moi qui vais chercher à forcer les circonstances ». Ces étapes sont difficiles mais très importantes ! Car plus nous laissons Dieu libre d'agir, plus nous accomplissons sa volonté et nous sommes efficaces pour son œuvre.

Dans l'attente de la victoire, Dieu sonde véritablement notre cœur et il peut voir si nous sommes fermes dans notre foi. Une attitude joyeuse traduit une confiance totale en Dieu et une foi inébranlable ; le mécontentement traduit au contraire un manque de foi.

Si nous regardons à notre société actuelle, nous pouvons voir combien le mécontentement est grand : «J'aimerais vivre dans une plus grande maison, j'aimerais avoir plus d'argent pour partir en vacances et faire plus de sport, j'aimerais avoir un travail plus épanouissant… ». De plus en plus de personnes se plaignent. Et cela ne dépend pas de l'âge ! Tout le monde se plaint.

Ne nous conformons pas à cet état d'esprit car c'est un piège de l'ennemi ! Tant que nous nous plaignons, Dieu n'agit pas et cela bloque notre vie chrétienne. Le mécontentement nous empêche d'entrer dans la destinée de Dieu, et c'est exactement ce que veut faire l'ennemi.

Un chrétien est appelé à grandir et à murir tout au long de sa vie, de sorte que Dieu puisse déverser chaque fois davantage de bénédictions dans sa vie. Alors laissons Dieu nous transformer et ne bloquons pas son action dans notre vie par notre impatience ou notre mécontentement.

David est l'exemple des merveilles que Dieu peut faire dans notre vie si nous savons être patients et confiants dans le Seigneur.

1 L'Eternel dit à Samuel : Quand cesseras-tu de pleurer sur Saül ? Je l'ai rejeté, afin qu'il ne règne plus sur Israël. Remplis ta corne d'huile, et va; je t'enverrai chez Isaï, Bethléhémite, car j'ai vu parmi ses fils celui que je désire pour roi.

David était berger et a passé sa jeunesse dans les champs, à garder le troupeau de son père. Il était le plus jeune de sa famille. Et c'est pourtant lui que l'Eternel a choisi pour devenir roi d'Israël. Alors, le prophète Samuel, obéissant à Dieu, est allé oindre David roi d'Israël.

Mais David n'est pas pour autant devenu roi le jour même. Il est retourné dans les champs pour garder le troupeau de son père. Quelle a été son attitude ? A-t-il réclamé à Dieu de devenir roi dès le lendemain ? S'est-il plaint de devoir retourner au champ ? Non. David savait que Dieu était au contrôle de sa vie et qu'il exécuterait sa parole en son temps. Il est donc retourné au champ et a continué à vivre dans l'épanouissement et dans l'attente de la promesse de l'Eternel.

C'est grâce à ce temps de préparation que David est devenu un grand roi ! Dieu a utilisé la période pendant laquelle David était berger pour le façonner et le préparer à être roi. Pendant tout ce temps, David s'est laissé travailler en profondeur et a compris ce que Dieu attendait de lui. C'est pendant cette attente que David est devenu ce grand roi que nous connaissons.

Si vous aussi vous passez par un temps d'attente, vous devez réussir ce test en vous réjouissant de ce que vous vivez. Rejetez toute parole de plainte ou de mécontentement car elles vous empêchent d'avancer et de saisir la bénédiction que Dieu garde en réserve pour vous. Même si la société aime le mécontentement vis-à-vis des institutions politiques, vis-à-vis de la hiérarchie au travail, vis-à-vis de la vie de famille, ne participez pas à cela. Pensez différemment de ce que pense le monde et ne le suivez pas dans le jeu de l'ennemi. Soyez des enfants de Dieu, heureux quelles que soient les circonstances. Alors vous grandirez et vous vous épanouirez.

Un jour, alors que je rentrais chez moi, j'entendis comme une sonnerie qui émettait un bip de temps en temps. J'ai commencé à faire le tour de la maison pour savoir d'où cela venait et je n'arrivai pas à comprendre, le bruit me suivait. Puis au bout d'un moment, j'ai posé mon téléphone portable sur mon chevet et en m'éloignant, j'ai de nouveau entendu le bip et j'ai compris que c'était le signal de batterie faible de mon téléphone. Je ne l'avais pas reconnu avant car je venais de changer de portable. Comme il était dans la poche de ma veste, le bruit me suivait partout où j'allais. C'est la même chose avec le mécontentement : il nous colle à la peau ; partout où nous allons, il nous suit.

Comme le bip, il y a constamment une pensée négative qui persiste pour vous rappeler d'être mécontents. Où que vous alliez et quoique vous fassiez, la voix du mécontentement vous parle. Elle devient tellement omniprésente que même en allant boire un verre avec vos amis, vous allez trouver quelque chose qui ne vous plaira pas : la couleur du verre ou la chaise qui n'est pas assez confortable. Petit à petit, le mécontentement ôte votre joie du quotidien et vous gâche la vie ; vous ne vous épanouissez pas, et cela empêche Dieu d'agir et de vous bénir.

Le mécontent voit les situations sous un mauvais angle : il ne veut pas prendre de responsabilité, il ne veut pas travailler dur de peur de se fatiguer… quelle que soit la situation, il n'est jamais content. Il voit le négatif partout et il ne cesse de se plaindre.

L'apprentissage de la joie

Nous devons lutter contre le mécontentement, et cela commence par notre mentalité. Je vous rappelle ces paroles de Paul : « J'ai appris à être rassasié et à avoir faim ». Il a « appris », c'est-à-dire qu'il a fait un effort pour vaincre le mécontentement.

Cela fait maintenant quatre ans que je vis à Paris pour mon travail et que je fais les allers retours Paris-Marseille, chaque semaine, pour être présent à l'église le dimanche. Cela a changé beaucoup de choses dans ma vie. Avant, je vivais à la campagne, dans une belle maison en pierre, avec les chiens qui couraient dans le jardin. Puis, il a fallu quitter tout cela pour démarrer une nouvelle aventure. Mais cela ne m'a pas empêché d'être heureux ; lorsque je suis arrivé à Paris et que j'ai loué un appartement, j'étais content. Je ne me suis pas demandé : « Mais qu'est-ce que je fais ? Pourquoi ai-je dû quitter ma maison, mes chiens ? ». Je ne me suis pas posé de question mais j'ai avancé. J'ai considéré cela comme une nouvelle saison dans ma vie et j'ai repensé à l'apôtre Paul lorsqu'il disait qu'il avait appris à être heureux quelles que soient les circonstances car Christ vivait en lui.

Mon cadre de vie à Marseille était bien plus agréable qu'à Paris, mais peu importe : je ne me suis pas plaint. J'ai appris à ne pas me révolter, à ne pas être mécontent mais à être heureux et reconnaissant envers Dieu car je sais que là où je me trouve, c'est sa volonté.

Comprenez que Dieu ne fait rien pour rien. Lorsqu'il vous fait vivre une situation, même difficile, c'est parce qu'il a un objectif bien précis pour vous. Il peut vous enlever de l'endroit où vous vivez pour vous placer ailleurs pour mieux vous travailler, ou pour vous restaurer, pour qu'ensuite, vous puissiez revenir plus forts. Ces temps de changement ou de difficulté sont utilisés par Dieu pour vous amener plus loin. Ils sont donc bénéfiques et vous devez apprendre à être heureux.

La vie devient tellement plus agréable lorsque nous sommes contents de ce que nous vivons. Mon désir pour vous est que vous puissiez être heureux de la saison que vous vivez, que vous vous réjouissiez de ce que Dieu fait pour vous. Plutôt que de vous plaindre, profitez de la grâce de Dieu ; et si vos rêves ne se réalisent pas de suite, prenez patience car cela signifie que vous passez par le test de Dieu. Ne vous apitoyez pas mais remerciez Dieu pour la prochaine victoire ; car derrière chaque épreuve se trouve une bénédiction.

Se morfondre dans l'épreuve ne mène à rien ! C'est du sentimentalisme inutile : « Oh lala, je traverse une difficulté et c'est dur ! Je dois lutter pour garder la tête hors de l'eau, cela me demande beaucoup d'énergie… ».

Est-ce que cela règle quelque chose ? Non. Alors, inutile de sortir les mouchoirs juste pour sortir les mouchoirs et pour que rien ne change. Au contraire, ces personnes se font du mal car elles développent une mentalité de captivité.

Le danger face à la difficulté est de s'en prendre à Dieu et de le rendre responsable de nos soucis. Nous nous braquons vite contre Dieu et nous pouvons même aller jusqu'à éprouver de l'amertume vis-à-vis de Dieu. Mais nous devons comprendre que la plupart du temps, c'est nous-mêmes qui nous créons les problèmes ! Si nous écoutions Dieu et que nous agissions davantage selon sa Parole, beaucoup de nos soucis pourraient être évités. Nous sommes, bien souvent, les premiers responsables de ce que nous vivons. Alors assumons nos responsabilités ! Ne rejetons pas sur Dieu la responsabilité qui nous incombe. De plus, je vous rappelle qu'à l'image de l'apôtre Paul, nous devons toujours être dans la joie, indépendamment des circonstances. Lorsque nous changerons de comportement, alors Dieu agira.

Un frère de l'église me racontait ce que Dieu lui avait fait comprendre récemment. Un dimanche, comme chaque semaine avant le culte, nous nous saluons et je lui demande comment s'est passée sa semaine et il me répond : « C'était très difficile, mon chef m'a épuisé, je n'en peux plus ». Pour l'encourager, je lui dis : « Ne t'inquiète pas, le Seigneur est avec toi et il est ta force ! ». Il me répond : « Oui, oui », mais une fois la conversation finie, il se dit en lui-même : « Le pasteur ne comprend pas ce que je vis. Au lieu de compatir à ma fatigue, il me dit que Dieu est avec moi ».

Mais ce jour-là, l'Esprit de Dieu l'interpelle et lui dit : « Arrête de te plaindre ! ». Ce frère rentre en lui-même et comprend que ce n'est pas bien de se plaindre, surtout le jour du seigneur. Pourtant, il avait des raisons de s'apitoyer : son travail est dur, il passe les week-ends à se reposer de sa semaine, parfois il commence très tôt ou il finit très tard. Mais le Saint-Esprit l'a touché : il a immédiatement demandé pardon à Dieu et a pris la décision de ne plus se plaindre.

La semaine suivante, lorsque nous nous saluons, il me dit de lui-même : « Je vais très bien, je suis en pleine forme ! ». Les premières semaines, cette réponse était davantage une réponse de foi qu'une réponse réelle. Mais très rapidement, il a vu la main de Dieu agir dans son travail : ce qu'il faisait avant et qui lui paraissait difficile était devenu facile. En adoptant simplement un regard positif, la situation avait évolué en sa faveur et tous ses collègues de travail ont commencé à vouloir travailler avec lui car il était de bonne humeur.

Dès que nous arrêtons de nous plaindre, d'être mécontents mais que nous regardons à Dieu, les situations s'améliorent. La vie devient plus agréable quand nous ne sommes plus sous l'emprise de la plainte ni de la frustration. Voilà pourquoi nous devons toujours être heureux en dépit de ce que nous vivons ; nous devons être contents de notre vie.

Je suis bien conscient que le quotidien n'est pas facile et que nous devons tous faire face à des difficultés, certains même plus que d'autres. Mais la clé de votre épanouissement est d'apprendre à être contents dans la situation dans laquelle vous vous trouvez, favorable comme défavorable. Sachez que Dieu est aux commandes et qu'il vous bénit. N'oubliez pas que tout ce que vous avez, c'est Dieu qui vous l'a donné et vous devez lui être reconnaissants pour cela.

7 Car qui est-ce qui te distingue ? Qu'as-tu que tu n'aies reçu ? Et si tu l'as reçu, pourquoi te glorifies-tu, comme si tu ne l'avais pas reçu ?

Tout ce que nous avons vient de Dieu. Même les choses pour lesquelles nous devons travailler, si nous les obtenons, c'est grâce à Dieu. Comprendre cela nous conduit à une grande humilité.

Photo de Bernard Emkeyes
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