Victoire sur la peur

La peur est un instrument utilisé par l'ennemi pour mettre en déroute les chrétiens qui doivent être victorieux à tout prix, par la grâce de Jésus qui nous permet de dire :

Si vous avez des peurs, c'est que vous avez laissé s'établir, avec le temps et les situations, des forteresses en vous pour vous retarder à tous les niveaux.

Personne ne peut aller dans une direction de victoire ou de défaite, une direction de foi ou de peur, sans être convaincu que la victoire des chrétiens est assurée.

Pour les chrétiens qui marchent sur les traces de Christ et qui se livrent entièrement à son service, ils doivent savoir que :

Pourquoi Moïse avait-il cette foi ? Parce qu'il avait reçu une parole de l'Éternel.

Ce que nous devons comprendre, c'est que la peur est le fruit de la désobéissance. Les versets du livre de Genèse 3 expliquent de fond en comble le résultat de la désobéissance.

C'est la désobéissance qui est à la base de la peur dans ce monde, c'est pour cela que les chrétiens doivent lutter avec l'aide du Saint- Esprit pour obéir à Dieu en toutes circonstances, favorables ou non.

Quelle est la volonté de Dieu pour notre vie ?

Dieu désire que nous soyons des champions et non des perdants, des dominants et non des dominés. Lisez :

Il faut dire qu'il y a une grande différence entre un champion et un perdant. Le premier a vaincu tandis que l'autre a été vaincu. Le plus grand pouvoir que nous avons, c'est la liberté de choisir face aux différentes situations dans lesquelles nous nous trouvons.

Nous pouvons faire comme bon nous semble : choisir de vivre dans la peur ou dans la foi. Il s'agit d'un choix, mais nous ne devons jamais oublier que Jésus, qui est notre modèle parfait est le consommateur de notre foi.

La Bible déclare :

La peur est une forteresse

« 4 Dans notre combat, les armes que nous utilisons ne sont pas d'origine humaine : ce sont les armes puissantes de Dieu qui permettent de détruire des forteresses. Nous détruisons les faux raisonnements. » Version Bible Français Courant

1.   La peur est un faux raisonnement.

2.   Une des solutions se trouve à la fin du v. 5 : « nous faisons prisonnière toute pensée pour l'amener à obéir au Christ. »

3.   Si nous n'amenons pas nos pensées à obéir à Christ, nous serons constamment vaincus.

Le pasteur Michael Player, originaire de l'Afrique du Sud, nous a parlé du rugissement qu'un lion fait et que l'on entend à 5 kilomètres. Le lion effraie les animaux pour les envoyer dans la gueule des femelles et c'est lui qui mange en premier.

Dans le naturel un animal va se sauver, mais c'est le contraire qu'il devrait faire, il aurait dû courir vers le lion...

De quoi NOUS inquiétons-nous?  (H. Norman Wright)

1. 40% du temps on s'inquiète pour des choses qui n'arriveront jamais (bruit dans la maison).
2. 30% du temps on s'inquiète pour des choses qu'on ne peut changer (la grêle qui tombe sur ton jardin).
3. 12% du temps on s'inquiète et on se morfond car on se sent inférieur.
4. 10% du temps on s'inquiète pour sa santé, mais ce que nous devons savoir, c'est que notre mauvaise santé est, la plupart du temps, le résultat de nos inquiétudes.
5. 8% du temps on s'inquiète pour des situations où l'on pourrait faire quelque chose et où l'on ne fait rien.

Comment attraper un singe

On raconte que dans la forêt équatoriale, un chasseur traquait le singe. 

Il connaissait bien une de ses faiblesses, ce qui lui permettait de l'attraper vivant et sans la moindre blessure. 
Après avoir coupé le bout d'une grosse courge, après l'avoir vidée de son contenu et remplie d'une poignée de riz, il la fixait solidement à un arbre.

Le singe, attiré par la nourriture, arrivait et y plongeait la main pour saisir le riz.

L'ouverture, juste assez grande pour laisser entrer sa main vide, ne lui permettait plus de retirer sa main gonflée par le riz. Refusant de renoncer à son butin, il restait là, prisonnier, assez longtemps pour permettre au chasseur de le prendre tout doucement. 

Pourtant, direz-vous, il n'avait qu'à laisser la nourriture là et préserver ainsi sa liberté.

Cet exemple illustre bien toute la difficulté du lâcher prise de nos peurs.