Karin: pas de péché trop grand à pardonner
Il n'y a pas de péché trop grand que Dieu ne puisse pardonner.
Quand j'étais adolescente, j'ai mené une vie de pécheresse, et en quatre mois j'ai fait deux avortements. Plus tard, lorsque j'ai commencé à regretter mon péché, je ne savais que faire pour trouver la paix.
Je voulais devenir catholique, et j'ai commencé deux fois le processus qui mène à la conversion, mais je n'ai jamais terminé à cause des problèmes que cela causait entre mon mari et moi, car lui n'aime pas du tout le catholicisme.
Je me suis rendue à l'église catholique de la ville la plus proche, et j'ai pu avoir des contacts avec le prêtre et les religieuses. Nous avons discuté et étudié ensemble. Le prêtre m'a alors parlé de la grande confession qui devait précéder ma conversion, et du péché en mentionnant qu'il y avait deux sortes de péchés : le péché véniel et le péché mortel. Il a ajouté que même si je le confessais, ce péché d'avortement laisserait une cicatrice dans mon âme, et que je ne pourrais jamais en être libérée.
J'avais l'impression d'être, moi pécheresse, devant une glace, et eux (tous les justes) de l'autre côté.
En octobre 1996, nous nous sommes abonnés à Internet, et j'ai commencé à chercher des correspondants, de préférence chrétiens. J'ai alors trouvé une liste de chrétiens de l'Université d'Harding à Arkansas (Etats-Unis). Ces soeurs et frères en Christ faisaient partie de l'Eglise de Jésus-Christ, un mouvement de la restauration, dont le but est de trouver comment vivaient les premiers chrétiens; de savoir ce que dit la Bible; de s'efforcer de trouver des réponses bibliques aux questions de tous les jours, et de s'y soumettre.
J'ai commencé à étudier la Bible avec une soeur aux Etats-Unis, et j'ai trouvé en étudiant qu'il y avait une grâce par laquelle, moi aussi, j'étais pardonnée, car Jésus est mort pour moi. Cela, c'était ma conversion, et comme j'ai pleuré cette nuit-là. C'était comme si j'étais née une nouvelle fois, et à genoux devant mon Créateur si puissant et si tendre, je Lui ai donné ma vie.
Sept mois plus tard, après beaucoup d'études, mon mari et moi, nous nous sommes fait baptiser dans le lac le plus proche, en présence de nos enfants. Cela était un baptême biblique.
Quand j'étais adolescente, j'ai mené une vie de pécheresse, et en quatre mois j'ai fait deux avortements. Plus tard, lorsque j'ai commencé à regretter mon péché, je ne savais que faire pour trouver la paix.
Je voulais devenir catholique, et j'ai commencé deux fois le processus qui mène à la conversion, mais je n'ai jamais terminé à cause des problèmes que cela causait entre mon mari et moi, car lui n'aime pas du tout le catholicisme.
Je me suis rendue à l'église catholique de la ville la plus proche, et j'ai pu avoir des contacts avec le prêtre et les religieuses. Nous avons discuté et étudié ensemble. Le prêtre m'a alors parlé de la grande confession qui devait précéder ma conversion, et du péché en mentionnant qu'il y avait deux sortes de péchés : le péché véniel et le péché mortel. Il a ajouté que même si je le confessais, ce péché d'avortement laisserait une cicatrice dans mon âme, et que je ne pourrais jamais en être libérée.
J'avais l'impression d'être, moi pécheresse, devant une glace, et eux (tous les justes) de l'autre côté.
En octobre 1996, nous nous sommes abonnés à Internet, et j'ai commencé à chercher des correspondants, de préférence chrétiens. J'ai alors trouvé une liste de chrétiens de l'Université d'Harding à Arkansas (Etats-Unis). Ces soeurs et frères en Christ faisaient partie de l'Eglise de Jésus-Christ, un mouvement de la restauration, dont le but est de trouver comment vivaient les premiers chrétiens; de savoir ce que dit la Bible; de s'efforcer de trouver des réponses bibliques aux questions de tous les jours, et de s'y soumettre.
J'ai commencé à étudier la Bible avec une soeur aux Etats-Unis, et j'ai trouvé en étudiant qu'il y avait une grâce par laquelle, moi aussi, j'étais pardonnée, car Jésus est mort pour moi. Cela, c'était ma conversion, et comme j'ai pleuré cette nuit-là. C'était comme si j'étais née une nouvelle fois, et à genoux devant mon Créateur si puissant et si tendre, je Lui ai donné ma vie.
Sept mois plus tard, après beaucoup d'études, mon mari et moi, nous nous sommes fait baptiser dans le lac le plus proche, en présence de nos enfants. Cela était un baptême biblique.