Heureux les affligés

Quelle étrange parole ! Peut-on appeler « heureux » celui qui pleure car il a perdu un être cher ou son travail ou la santé, qui vit un drame, un malheur, une déception ?
Le « heureux » se rapporte au fait de la « consolation » qui suivra, non à l'affliction qui, elle, fait verser des larmes.

Il y a bien des vallées de larmes.
Cependant, il y a de nombreuses consolations auprès de Dieu. Jésus, au cours de son ministère, a essuyé bien des larmes, il a consolé bien des coeurs – Jaïrus et sa fillette entre la vie et la mort – La veuve de Naïn envers son fils - Lazare et ses soeurs Marthe et Marie.
A la résurrection, est-il écrit:

3 Et j'entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. 4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.


Seul Jésus peut vous consoler véritablement et durablement, dès ici-bas et plus encore dans le ciel de gloire.

« Pleurer », c'est parfois tout ce qu'on peut faire. Il est aussi écrit:

 
35 Jésus pleura.


faisant de cette parole le verset le plus court du Nouveau Testament.
Ce n'est pas un long discours ! Jésus a compris la douleur, il l'a partagée. Et, plus encore, il a consolé.

« Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés ».

Au matin de Pâques, au sépulcre, ceux qui ont pleuré la mort de Jésus ont été consolé par sa résurrection.
En ces jours, proches de Pâques, voici ce que nous vous disons :

« Ses compassions ne sont pas à leur termes : elles se renouvellent chaque matin ».

Comme Jérémie en son temps dites :

22 Les bontés de l'Eternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme; 23 Elles se renouvellent chaque matin. Oh ! que ta fidélité est grande ! Lire la suite

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