Lorsque l'homme désirant travailler pour Dieu, bloque le travail de Dieu
Si vous trouvez ce texte trop long, il est cependant dommage de faire le choix de ne pas le lire ou d'en remettre sa lecture à demain... Nous voulons tous servir Dieu et lui être agréable. Nous désirons voir Dieu agir, nous cherchons son Royaume, nous voulons....toucher le ciel..
Nous voulons tous servir Dieu et lui être agréable. Nous désirons voir Dieu agir, nous cherchons son Royaume, nous voulons....toucher le ciel, sans réaliser qu'il existe un grand danger : à force de chercher le ciel, nous pouvons en oublier celui qui était l'objet même de notre recherche première : Dieu.
N'avez-vous jamais eu l'impression de tourner en rond ? Êtes-vous fatigué par le ministère, ou par votre recherche du Royaume de Dieu ? Vous sentez-vous découragé face à des prières non-exaucées, à des situations qui ne changent pas ?
La Bible nous promet que si nous nous confions véritablement dans le Seigneur, de tout notre coeur, alors il sera impossible pour nous de nous fatiguer. Le fait est que, très souvent, nous sommes convaincus de nous confier en Dieu de tout notre coeur, mais ce n'est pas la réalité. Nous pouvons prier jour et nuit sans pourtant chercher Dieu de tout notre coeur. Nous pouvons dire : "Je me confie en toi de tout mon coeur", sans se confier réellement.
1 - Se confier en Dieu
a - Que veut dire : "Se confier en Dieu" ?
Se confier en Dieu, ce n'est pas exprimer à Dieu toute notre situation. Ce n'est pas non plus désirer que Dieu nous parle. Ce n'est pas non plus prier de longues heures, ou d'une manière régulière.
Beaucoup désirent perdre du poids, arrêter de faire ceci ou cela, et pourtant, ils font le contraire de ce qu'ils désirent. Le désir n'amène rien à la réalité. Le désir est une belle espérance, c'est un beau souhait, comme celui de dire "Bonne Année" à quelqu'un. Cela ne produit rien. Un désir, c'est un beau souhait : on a envie de cette chose, on croit la vouloir réellement, mais on se trompe soi-même.
Beaucoup de pasteurs et de croyants prient régulièrement pour des choses, et ont l'impression de se confier en Dieu. Cependant, ils ne comprennent pas ce que veut dire "Se confier en Dieu" dans la pensée de Dieu.
Se confier en Dieu, c'est renoncer à nos propres façons de penser. C'est accepter le fait que, si nous ne voyons pas encore un changement, ce n'est pas de la faute de Dieu, ni celle des autres : c'est la notre, et nous devons changer. Si nous pensons "bien faire les choses", alors Dieu ne pourra rien nous dire. Dieu ne nous parlera pas, car nous sommes encore plein de nous-même. Nous sommes remplis de nos propres pensées. Si nous pensons que nous exerçons le ministère comme il le faut, mais qu'il faut changer quelques petites choses, et que ces petites choses amèneront un changement, alors nous nous trompons. Nous sommes en train de donner à Dieu la mesure avec laquelle il pourra agir. Nous lui donnons les 20% que nous pensons mal faire, alors qu'il aimerait changer 90%.
Se confier en Dieu, c'est s'humilier sous la puissante main de Dieu, c'est se soumettre en toute sincérité et profondément à Lui.
b - Humilie-toi sous la puissante main de Dieu
Tant que nous ne nous serons pas humiliés réellement, en toute sincérité, sous la puissante main de Dieu, nous ne verrons pas de changement dans la situation pour laquelle nous prions.
S'humilier régulièrement, c'est la clé d'un ministère et d'une vie chrétienne réussie. S'humilier, c'est marcher humblement devant Dieu. S'humilier, c'est laisser Christ vivre en nous.
Il nous faut arriver à ce stade.
Je ressens la pensée du Seigneur, qui dit à plusieurs croyants : "Pourquoi ne me laisses-tu pas agir ? Pourquoi cherches-tu à contrôler les choses ? Si tu t'humilies réellement, je vais souffler sur ta vie, je vais souffler sur ton ministère, je vais souffler sur ton église, et tu ne seras plus jamais la même personne".
2 - Après la résurrection :
Après la résurrection, Jésus a fait naître de nouveau ses disciples en soufflant en eux (Jn 20:22). Il les a enseigné pendant 40 jours et est apparu à plusieurs centaines de personnes. Jésus a allumé un feu. à partir de sa première apparition, les disciples ont commencé à se retrouver à l'étage d'une maison. Ils étaient environ 25 personnes. Ils priaient régulièrement, puis Jésus leur a parlé du Saint-Esprit. Ils étaient nés de nouveau, mais Jésus avait quelque chose de plus pour eux, quelque chose d'indispensable : le revêtement de la puissance du Saint-Esprit.
Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel. Les disciples sont restés les yeux fixés sur le ciel, mais des anges leur ont fait comprendre qu'il fallait arrêter de regarder au ciel. Ils avaient quelque chose à faire. Ils ont rejoint la maison où ils avaient pris l'habitude de prier, et là ils ont retrouvé les autres. Ils étaient donc 25 personnes. Ils priaient, ils partageaient, ils s'entretenaient, mais il leur manquait quelque chose.
a - La chambre haute
La chambre haute, c'est l'image du croyant qui cherche Dieu, mais qui ne l'a pas encore trouvé. C'est la prière, mais sans la puissance.
Les disciples étaient tout excités face à la promesse de Jésus, et ils ont commencé à en parler autour d'eux. D'environ 25 personnes, ils sont passés à 120 personnes. Puis, Pierre s'est levé "du milieu des frères", expliquant qu'il fallait un 12ème disciple, pour qu'il vienne combler le trou vide laissé par Judas. Ils ont prié, puis ils ont tiré au sort entre deux disciples qu'ils ont choisi, et "le sort tomba sur Matthias".
La chambre haute, c'est l'image du gouvernement humain. Le trou laissé par Judas ne pouvait pas être comblé par un homme établi par des hommes. Ce que les disciples ont fait ce jour-là, c'est qu'ils ont réfléchi face à un manque, un besoin et ils ont prié. Cela arrive souvent : nous voyons un besoin, puis nous prions. Nous sommes en train de mettre dans un grand bol 50 kilos de chair, de nos propres plans, de nos propres pensées et de nos propres réflexions et perceptions des choses, puis nous couvrons tout cela par de la prière. Cependant, la chair ne se mélange pas à l'Esprit. Ils n'ont rien en commun. Ils ne sont pas de même nature.
C'est comme si j'entendais Dieu dire : "Aussi longtemps que vous penserez que je peux travailler avec vos façons de penser, aussi longtemps que vous voudrez dirigez les choses, vous et vos situations resteront les mêmes".
Après avoir prié, ils ont tiré au sort, comme dans l'ancienne alliance. Or, nous ne sommes plus dans l'ancienne alliance, nous sommes dans une nouvelle dispensation. L'ancienne alliance était religieuse. C'était : "Ne fais pas, ne touche pas". En effet, si la première alliance avait été irréprochable, il n'aurait pas été question de la remplacer par une seconde. En parlant d'une alliance nouvelle, le Seigneur a déclaré ancienne la première.
Ils ont mis de la chair, puis de l'esprit, puis de la chair : une réflexion humaine face à un besoin, une prière, puis un tirage au sort. Ils n'ont pas compris que le trou béant ne pouvait être comblé par un homme. Un gouvernement humain ne peut pas prendre la place de Dieu.
On a plus jamais entendu parler de Matthias.
b - Le gouvernement humain
Ce matin je ressentais le coeur du Seigneur pour toi mon frère. Je le ressentais pour toi ma soeur. Un coeur rempli d'amour. Un amour pur et inébranlable. Un amour parfait plein d'espérance et de joie. Mais ce que le Seigneur veut te dire, c'est que tu ne pourras pas trouver un plein accomplissement et une pleine réussite si tu veux de toi-même construire les choses.
Le danger avec lequel beaucoup se font avoir, c'est qu'ils sont vraiment convaincus de laisser la place à Dieu : ils ont obéi au Seigneur, ils sont dans la chambre haute, ils prient ! Mais le fait est que le temps passe. Un jour de plus, une semaine de plus, et apparemment, Dieu ne parle pas. Dieu fait un grand silence. Et c'est alors que le gouvernement humain s'installe.
L'homme réfléchit, il se creuse la tête, il fait des plans. Puisque Dieu ne répond pas apparemment, l'homme réfléchit ! Le pasteur, le croyant, regarde les besoins, puis se tourne vers d'autres églises, il étudie comment agissent les autres, il médite un peu la Parole, et prie. Mais Dieu ne parle toujours pas. Alors il organise les choses selon ce qu'il pense être la pensée de Dieu. Or, c'est sa propre pensée.
Dans la chambre haute, Pierre a voulu organisé les choses. Il est certain que si Dieu avait attendu plus longtemps avant d'envoyer le souffle violent du Saint-Esprit, le gouvernement humain aurait pris toute sa place. Les apôtres auraient établi les choses, ils auraient mis des lois, des façons d'opérer le ministère, et ils seraient devenus des pharisiens religieux à leur tour. Écoutez, sans le Saint-Esprit, que vous l'acceptiez ou non, nous ne sommes que des religieux.
c - Les croyants de la tour de Babel
L'image de Babel, c'est l'image des chrétiens d'une église qui s'unissent pour toucher le Ciel. Ils sont unis, ils veulent toucher le Ciel, mais le problème se trouve au coeur de leur motivation : ils veulent se faire un nom. Ils peuvent se trouver dans la chambre haute, avec toutes les promesses de Dieu, ils peuvent prier, lire la Bible, et donner "la dîme de la menthe, de l'aneth et du cumin", ils ne réalisent pas qu'ils veulent se faire un nom : ils ajoutent de l'humain au divin. Ils veulent toucher Dieu en construisant avec des briques. Ils construisent l'église, brique après brique, ils placent les uns et les autres selon leur perception intellectuelle... Ils veulent pourtant vraiment toucher le Ciel ! Leur but est clair, pur et noble ! Ils veulent vraiment toucher Dieu ! Mais ce sont leurs motivations réelles et leurs façons d'opérer pour y arriver qui ne sont pas bonnes et agréées de Dieu.
3 - La Pentecôte
La Pentecôte, c'est l'oeuvre du Dieu qui bouleverse nos façons de faire. C'est "le renversement de toute chose".
Que s'est-il passé à la Pentecôte ? Il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent violent qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Il n'a pas seulement rempli la chambre haute, il a rempli la maison, depuis les fondations jusqu'au toit. Laisseras-tu Dieu ébranler tes fondations ? Le laisseras-tu ébranler les fondations de ton ministère, de ton église, de ta vie ?
Le vent violent du Saint-Esprit a dispersé les gens à Babel et brouillé les langages, et c'est aussi ce qu'il a fait à Jérusalem ce jour-là. Si vous ne pensez pas avoir besoin de ce souffle violent, vous pourrez toujours prier afin que Dieu remplisse votre chambre haute, mais si vos fondations ne changent pas, vous allez construire les briques une à une, et les placer les unes après les autres, désirant toucher le Ciel, sans discerner que les fondations en elles-mêmes auraient du être ébranlées par Dieu.
C'est bien de vouloir que Dieu touche notre vie et nos situations, mais c'est mieux de désirer profondément de tout notre coeur et en toute sincérité, que Dieu bouleverse toutes nos fondations. Si nous ne sommes pas complètement métamorphosés par Dieu dans nos mentalités et dans notre intelligence, nous resterons toujours les mêmes, et rien ne changera. Nous pourrons organiser les choses, et rendre les choses extérieures dignes humainement parlant, mais Dieu n'y sera pas.
À la Pentecôte, Dieu est venu bouleverser les choses. Que s'est-il passé ?
a - Ils furent tous remplis du Saint-Esprit
Tant que nous sommes remplis de nous-mêmes et de nos propres plans, nous n'irons nulle part. Nous penserons que nos programmes nous amènent un peu plus près du Ciel, sans se rendre compte qu'ils nous éloigne de Celui qui l'habite.
Matthias ne pouvait pas combler le vide laissé par Judas. Jésus n'était plus là non plus. Qui pouvait remplacer le vide laissé par Judas ? Qui pouvait remplacer le vide laissé par Jésus ?
Seul le Saint-Esprit pouvait combler l'énorme vide laissé par Jésus. Seul le Saint-Esprit peut se mouvoir au-dessus du chaos, de la désolation, du tohu-bohu, et des ténèbres. Seul le Saint-Esprit peut amener la vie divine dans notre vie, dans notre service, dans notre ministère, dans notre église. Nous sommes dans la dispensation du Saint-Esprit.
b - Ils se mirent à parler en d'autres langues
À Babel, ils parlaient tous le même langage. Ils voulaient tout contrôler et remplacer Dieu par l'homme. Ils ont changé la gloire et l'adoration de Dieu en culte à l'homme. On voyait l'homme sur l'estrade, et on ne voyait que lui. Ils avaient l'apparence de la piété, voulant toucher le Ciel, mais ils ont renié ce qui en fait la force. Comment penses-tu réussir sans te confier vraiment en Dieu, sans lui abandonner tous tes plans, sans t'abandonner toi-même et t'humilier sous sa puissante main ?
À la Pentecôte, il y avait 120 personnes nés de nouveau qui s'étaient réunies et qui priaient. Mais Dieu a du leur montrer que le Royaume de Dieu n'est pas humain. Dieu a du leur montrer que les réflexions et les plans humains ne pourraient pas construire son Royaume. Il a confondu leur language. Pourquoi Dieu agi ainsi ? Il veut que nous puissions nous soumettre à Lui. La prière en langues démontre une certaine soumission aux façons de faire de Dieu. Beaucoup d'églises et de croyants ont rejeté, méprisé et attristé le Saint-Esprit. Ils l'ont mis dans une boîte fermée à clé, et ils pensent que Dieu va agir. Non, ce qui le fera sortir de la boîte créé par le gouvernement humain et orgeuilleux, c'est une profonde repentance.
La maison peut être belle, mais si Dieu ne la remplit pas, à quoi cela servira t-il ? La prière en langues nous a été donné afin de nous montrer que la chair ne sert de rien. Elle nous montre que notre langage n'est pas suffisant, notre intelligence n'est pas suffisante, nos plans ne sont pas suffisants, aussi beaux soient-ils.
c - Selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer
Finalement, la Pentecôte, c'est laisser le Saint-Esprit s'exprimer. Ne croyez-vous pas qu'il est le meilleur des architectes ? Ne pensez-vous pas que ses pensées sont les meilleures ? Matthias était certainement un homme bon, et il a certainement servi Dieu par la suite, mais ce que Matthias avait à dire avant la Pentecôte ne valait pas grand chose. Ce que Pierre avait à dire avant la Pentecôte ne pouvait pas changer ou construire grand chose. Par contre, le Saint-Esprit, lui avait des paroles merveilleuses à nous donner.
4 - Les signes des temps
C'est alarmant de réaliser que beaucoup sont comme les disciples, regardant le ciel, alors que Jésus vient d'être dérobé à leurs yeux. Les disciples regardant le ciel, c'est l'image des croyants qui perdent leur temps, au lieu de s'attacher à ce qui est vraiment important.
Les religieux ont demandé à Jésus un signe du ciel. Jésus aurait pu dérouler sous leurs yeux tout un Wall Disney angélique de 90 minutes, cela n'aurait absolument rien changer à leur coeur. Ils ne voulaient pas changer. Ils construisaient leur propre royaume. Mes amis, certains d'entre eux pensaient vraiment servir Dieu ! Comme Saul de Tarse le pensait également ! Certains étaient zélés, ils priaient et donnaient beaucoup, ils jeunaient, ils étaient fidèles aux cultes, ils pensaient servir Dieu ! Nicodème pensait servir Dieu !
Nous pourrons pleurer longtemps et nous humilier longtemps d'une façon charnelle. Un pasteur ou un croyant pourra beaucoup supplier Dieu, mais aussi longtemps qu'il ne réalisera pas que jusqu'alors il n'a pas laissé toute la place à Dieu, rien ne changera. Nous pouvons avoir l'apparence de l'humilité, mais si à l'intérieur nous sommes plein de nous-mêmes et pas prêts sincèrement à changer, Dieu ne nous forcera jamais. Que Dieu nous ouvre les yeux sur notre condition réelle !
Nous ne sommes pas méchants, ni adultères, mais pour autant nous ne devons pas restés les yeux fixés vers le ciel. Jésus va revenir de la même façon, amen. Ne demandez pas au Seigneur des signes. Ne restez pas à étudier le ciel et à vouloir en atteindre le sommet. Attachez-vous plutôt au Seigneur et fondez votre vie sur la Parole. Ne vous laissez pas défocaliser de votre mission.
5 - Notre mission
Les pharisiens étudiaient beaucoup, mais ils en ont oublié le principal : leur mission. À force de vouloir nous occuper de l'intérieur de la maison (texte pour les pasteurs et croyants sur le même sujet), nous en oublions sa mission. Le rôle d'une maison n'est pas d'être belle et bien décorée, le rôle d'une maison est d'être habitée. Si une église est belle, a des beaux programmes, mais qu'on en oublie notre mission, à quoi cela servira t-il ? Si on se réunit entre croyants dans la chambre haute jour et nuit, mais que les secrets des coeurs des incroyants, et des religieux, ne sont pas dévoilés, à quoi cela servira t-il ? S'ils ne tombent pas le visage contre terre pour adorer Dieu en déclarant que Dieu est réellement au milieu de nous, à quoi cela servira t-il ?
Nous avons une mission. Cette mission n'est pas de maltraiter notre corps par le jeune et la prière. Cette mission n'est pas de rester entre croyants à regarder au ciel. Cette mission n'est pas d'être uni pour se faire un nom et toucher le Ciel. Cette mission est de renvoyer libres les captifs.
Le Saint-Esprit, à la Pentecôte, n'est pas venu pour que nous puissions nous endurcir dans l'étude d'une parole morte, car les paroles de Jésus sont Esprit, et vie. Le Saint-Esprit, à la Pentecôte, n'est pas venu pour que nous puissions toucher le Ciel. Il est venu pour que, touchés par le Ciel, nous touchions et transformions d'autres personnes.
Les disciples l'ont compris, ils se sont humiliés et ont laissé le Saint-Esprit agir au milieu d'eux. Ils étaient ouverts. Et même s'ils ont commencé d'une façon humaine, Dieu avait un plan, Dieu avait choisi de les visiter d'une façon surnaturelle et souveraine. Maintenant, la Pentecôte est là derrière nous, et nous pouvons en bénéficier en tout temps. Nous sommes remplis du Saint-Esprit, nous parlons en langues, mais va t-on laisser le Saint-Esprit s'exprimer ?
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