Publié il y a 11 ans
Philippe Bouvard, humoriste et présentateur de télévision en France, a dit : « C'est la force des dirigeants modernes d'avoir compris que la religion ayant cessé d'être l'opium du peuple, la loterie qui pour un investissement modique permet une apparence d'égalité des chances, pouvait constituer une drogue de substitution. » Intoxication, outil destructeur de vie et de potentiel. Tout observateur averti comprend que toute l'histoire est contemporaine. Par exemple, il y a deux mille ans, Jésus a fait de la « désintox » à son sujet. Certains pensaient qu'Il était un bon philosophe, d'autres un prophète et il y en a qui eux pensaient qu'Il était une réincarnation. Sordide, direz-vous peut-être? Cependant, en réponse, Jésus, calme et serein, n'a pas posé la question, « qui voulez-vous que je sois? » Mais plutôt, «qui dites-vous que je suis? » Cette question est fondamentale.
Les pharisiens, les gnostiques et les adeptes de la fable du Code De Vinci ont depuis lors propagé de l'intox. Ceci dit : «on ne lance une pierre qu'à un fruit qui est mure et bien que le mensonge prend toujours l'ascenseur, la vérité, prenant l'escalier, finit toujours par arriver. »
De nos jours, Jésus est perçu par certains comme un prophète, un philosophe, une béquille des faibles d'esprits, des misérables du tiers monde et des pays en voie de développement, pour certains, le Dieu des occidentaux, des impérialistes, du colonisateur, des conservateurs ou du parti républicain.
D'où la question : « QUI DIS-TU QUE JÉSUS EST? »
Est-il une légende? Est-il un menteur ? Est-il fou ? L'accusation principale pour laquelle Jésus a été crucifié est sa déclaration qu'Il était fils de Dieu, de ce fait Dieu lui-même. Quelles sont les implications de ce fait sur la foi du disciple de Jésus en 2013? S'il est Dieu, comment en 2013 peut-on l'affirmer?

Avec Emmanuel Diafwila

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