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L'Eternel vit que les hommes commettaient beaucoup de mal sur la terre et que toutes les pensées de leur coeur se portaient constamment et uniquement vers le mal.
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L'un est parti de chez moi. Je pense qu'il a dû être mis en pièces, car je ne l'ai jamais revu.
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Israël dit à Joseph: «Je ne pensais pas revoir ton visage et voici que Dieu me fait même voir ta descendance!»
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Si elle déplaît à son maître alors qu'il avait pensé la prendre pour femme, celui-ci facilitera son rachat; mais il n'aura pas le droit de la vendre à des étrangers, ce serait la trahir.
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Ce n'est pas dans un pays où coulent le lait et le miel que tu nous as conduits, ce ne sont pas des champs et des vignes que tu nous as donnés en possession. Penses-tu pouvoir rendre ces gens aveugles? Nous ne viendrons pas.»
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S'ils étaient sages, voici ce qu'ils comprendraient, et ils penseraient à ce qui leur arrivera:
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Non, c'est plutôt par inquiétude que nous avons fait cela. Nous avons pensé que vos descendants diraient un jour aux nôtres: 'Qu'avez-vous à faire avec l'Eternel, le Dieu d'Israël?
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Le peuple répondit: «Nous n'avons certainement pas la pensée d'abandonner l'Eternel et de servir d'autres dieux!
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«J'ai pensé, dit-il, que tu avais de la haine envers elle et je l'ai donnée à ton compagnon. Sa jeune soeur n'est-elle pas plus belle qu'elle? Epouse-la donc à sa place.»
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En outre, les Israélites éprouvaient des regrets en pensant à Benjamin, leur frère, et ils se disaient: «Aujourd'hui une tribu a été supprimée d'Israël.
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Le peuple éprouvait des regrets en pensant à Benjamin, car l'Eternel avait créé un vide parmi les tribus d'Israël.
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Anne parlait dans son coeur et ne faisait que remuer les lèvres, on n'entendait pas sa voix. Eli pensa qu'elle était ivre,
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Aujourd'hui, après m'avoir quitté, tu trouveras deux hommes près du tombeau de Rachel, sur la frontière de Benjamin, à Tseltsach. Ils te diront: 'Les ânesses à la recherche desquelles tu es allé sont retrouvées. Maintenant ton père ne pense plus aux ânesses, mais il s'inquiète pour vous, il dit: Que dois-je faire au sujet de mon fils?'
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Celui qui portait ses armes lui répondit: «Fais tout ce que tu as dans le coeur, suis ta pensée. Me voici avec toi, prêt à te suivre.»
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Saül ne dit rien ce jour-là, car il pensait: «C'est un accident, il n'est pas pur, certainement il n'est pas pur.»
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David ne laissait ni homme ni femme en vie pour les amener à Gath. Il pensait en effet: «Ils pourraient parler contre nous et dire: 'Voilà ce que David a fait.'» Ce fut sa manière d'agir durant tout le temps où il habita dans le pays des Philistins.
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les chefs des Ammonites dirent à leur maître Hanun: «Penses-tu que ce soit pour honorer ton père que David t'envoie des consolateurs? N'est-ce pas pour faire une reconnaissance de la ville, pour l'explorer et la détruire, qu'il envoie ses serviteurs vers toi?»
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Jonadab, fils de Shimea, le frère de David, prit la parole. Il dit: «Que mon seigneur ne pense pas que ce sont tous les jeunes gens, tous les fils du roi, qu'on a fait mourir. En effet, seul Amnon est mort. Absalom avait pris cette décision le jour où Amnon avait violé sa soeur Tamar.
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La femme dit: «Pourquoi as-tu eu de telles pensées contre le peuple de Dieu? Il découle des paroles mêmes du roi que le roi est comme coupable en ne faisant pas revenir celui qu'il a chassé.
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A midi, Elie se moqua d'eux et dit: «Criez à haute voix! Puisqu'il est dieu, il doit être en train de penser à quelque chose, ou bien il est occupé, ou encore en voyage. Peut-être même qu'il dort et qu'il va se réveiller.»