-
La sentence fut publiée, les sages étaient mis à mort, et l'on cherchait Daniel et ses compagnons pour les faire périr.
-
En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort.
-
Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort ? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être ?
-
Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi.
-
Quoiqu'ils ne trouvassent en lui rien qui fût digne de mort, ils ont demandé à Pilate de le faire mourir.
-
Oh! qu'elle ne soit pas comme l'enfant mort-né, dont la chair est à moitié consumée quand il sort du sein de sa mère !
-
Et il dit : Approche donc, et donne-moi la mort; car je suis pris de vertige, quoique encore plein de vie.
-
Les parties de sa peau sont l'une après l'autre dévorées, Ses membres sont dévorés par le premier-né de la mort.
-
Les trésors de la méchanceté ne profitent pas, Mais la justice délivre de la mort.
-
La crainte de l'Eternel est une source de vie, Pour détourner des pièges de la mort.
-
Après la mort de Hetsron à Caleb-Ephratha, Abija, femme de Hetsron, lui enfanta Aschchur, père de Tekoa.
-
Il te sauvera de la mort pendant la famine, Et des coups du glaive pendant la guerre.
-
comme inconnus, quoique bien connus; comme mourants, et voici nous vivons; comme châtiés, quoique non mis à mort;
-
Maintenant, Eternel, prends-moi donc la vie, car la mort m'est préférable à la vie.
-
et comment les principaux sacrificateurs et nos magistrats l'ont livré pour le faire condamner à mort et l'ont crucifié.
-
Si un homme couche avec sa belle-fille, ils seront tous deux punis de mort; ils ont fait une confusion : leur sang retombera sur eux.
-
L'Eternel dit à Moïse : Parle aux sacrificateurs, fils d'Aaron, et tu leur diras : Un sacrificateur ne se rendra point impur parmi son peuple pour un mort,
-
Puis Samuel dit : Amenez-moi Agag, roi d'Amalek. Et Agag s'avança vers lui d'un air joyeux; il disait : Certainement, l'amertume de la mort est passée.
-
Pour moi, ayant reconnu qu'il n'a rien fait qui mérite la mort, et lui-même en ayant appelé à l'empereur, j'ai résolu de le faire partir.
-
Ainsi Joab et Abischaï, son frère, tuèrent Abner, parce qu'il avait donné la mort à Asaël, leur frère, à Gabaon, dans la bataille.