Ecclésiaste chapitre 4

1 Puis j'ai tourné mes regards vers toutes les oppressions qui se pratiquent sous le soleil. Les opprimés versent des larmes et il n'y a personne pour les consoler ; la force est du côté de leurs oppresseurs, c'est pourquoi ils n'ont pas de consolateurs.
Louis-Segond :
J'ai considéré ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et personne qui les console ! ils sont en butte à la violence de leurs oppresseurs, et personne qui les console !
Semeur :
Puis j'ai tourné mes regards vers toutes les oppressions qui se pratiquent sous le soleil. Les opprimés versent des larmes et il n'y a personne pour les consoler ; la force est du côté de leurs oppresseurs, c'est pourquoi ils n'ont pas de consolateurs.
Segond 21 :
J'ai examiné ensuite toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil: les opprimés sont dans les larmes et personne ne les console! La force est du côté de leurs oppresseurs et personne ne les console!
Martin :
Puis je me suis mis à regarder toutes les injustices qui se font sous le soleil; et voilà les larmes de ceux à qui on fait tort, et ils n'ont point de consolation; et la force est du côté de ceux qui leur font tort, et ils n'ont point de consolateur.
Darby :
Et je me suis tourné, et j'ai regardé toutes les oppressions qui se font sous le soleil; et voici les larmes des opprimés, et il n'y a point pour eux de consolateur! Et la force est dans la main de leurs oppresseurs, et il n'y a point pour eux de consolateur!
Ostervald :
Puis je me suis mis à considérer toutes les oppressions qui se commettent sous le soleil; et voici, les opprimés sont dans les larmes, et ils n'ont point de consolateur; la force est du côté de ceux qui les oppriment: pour eux, point de consolateur.
King-James :
So I returned, and considered all the oppressions that are done under the sun: and behold the tears of such as were oppressed, and they had no comforter; and on the side of their oppressors there was power; but they had no comforter.
2 Alors j'ai trouvé que les morts, qui ont déjà fini leur carrière, sont plus heureux que les vivants, qui n'ont pas encore achevé la leur.
Louis-Segond :
Et j'ai trouvé les morts qui sont déjà morts plus heureux que les vivants qui sont encore vivants,
Semeur :
Alors j'ai trouvé que les morts, qui ont déjà fini leur carrière, sont plus heureux que les vivants, qui n'ont pas encore achevé la leur.
Segond 21 :
J'ai alors déclaré que les morts sont plus heureux d'être déjà morts que les vivants d'être encore en vie,
Martin :
C'est pourquoi j'estime plus les morts qui sont déjà morts, que les vivants qui sont encore vivants.
Darby :
C'est pourquoi j'estime heureux les morts qui sont déjà morts, plutôt que les vivants qui sont encore vivants,
Ostervald :
C'est pourquoi j'estime plus les morts qui sont déjà morts, que les vivants qui sont encore en vie;
King-James :
Wherefore I praised the dead which are already dead more than the living which are yet alive.
3 Et encore plus heureux que tous deux est celui qui n'est pas encore venu à l'existence, parce qu'il n'a pas vu tout le mal qui se commet sous le soleil.
Louis-Segond :
et plus heureux que les uns et les autres celui qui n'a point encore existé et qui n'a pas vu les mauvaises actions qui se commettent sous le soleil.
Semeur :
Et encore plus heureux que tous deux est celui qui n'est pas encore venu à l'existence, parce qu'il n'a pas vu tout le mal qui se commet sous le soleil.
Segond 21 :
et j'ai déclaré plus heureux encore que les uns et les autres celui qui n'a pas encore vécu, puisqu'il n'a pas vu le mal qui se commet sous le soleil.
Martin :
Même j'estime celui qui n'a pas encore été, plus heureux que les uns et les autres; car il n'a pas vu les mauvaises actions qui se font sous le soleil.
Darby :
et plus heureux encore que tous les deux celui qui n'a pas encore été, qui n'a pas vu le mauvais travail qui se fait sous le soleil.
Ostervald :
Et plus heureux que les uns et les autres, celui qui n'a pas encore été, et qui n'a point vu les mauvaises actions qui se font sous le soleil.
King-James :
Yea, better is he than both they, which hath not yet been, who hath not seen the evil work that is done under the sun.
4 J'ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs oeuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Louis-Segond :
J'ai vu que tout travail et toute habileté dans le travail n'est que jalousie de l'homme à l'égard de son prochain. C'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
Semeur :
J'ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs oeuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Segond 21 :
J'ai vu que toute la peine que l'on se donne et tout le succès que l'on recherche dans une entreprise ne sont motivés que par la jalousie de l'homme vis-à-vis de son prochain. Cela aussi, c'est de la fumée et cela revient à poursuivre le vent.
Martin :
Puis j'ai regardé tout le travail, et l'adresse de chaque métier, et j'ai vu que l'un porte envie à l'autre; cela aussi est une vanité, et un rongement d'esprit.
Darby :
Et j'ai vu tout le labeur et toute l'habileté dans le travail: que c'est une jalousie de l'un contre l'autre. Cela aussi est vanité et poursuite du vent.
Ostervald :
J'ai vu aussi que tout travail et toute habileté dans le travail n'est que jalousie de l'un à l'égard de l'autre. Cela aussi est une vanité et un tourment d'esprit.
King-James :
Again, I considered all travail, and every right work, that for this a man is envied of his neighbour. This is also vanity and vexation of spirit.
5 Celui qui se croise les bras est un insensé et il se détruit lui-même.
Louis-Segond :
L'insensé se croise les mains, et mange sa propre chair.
Semeur :
Celui qui se croise les bras est un insensé et il se détruit lui-même.
Segond 21 :
L'homme stupide croise les bras et se détruit lui-même.
Martin :
Le fou tient ses mains ployées, et se consume soi-même, en disant:
Darby :
Le sot se croise les mains, et mange sa propre chair.
Ostervald :
L'insensé se croise les mains et se consume lui-même:
King-James :
The fool foldeth his hands together, and eateth his own flesh.
6 Il vaut mieux une main pleine de repos que deux mains pleines de travail à courir ainsi après le vent.
Louis-Segond :
Mieux vaut une main pleine avec repos, que les deux mains pleines avec travail et poursuite du vent.
Semeur :
Il vaut mieux une main pleine de repos que deux mains pleines de travail à courir ainsi après le vent.
Segond 21 :
Mieux vaut une poignée pleine de repos que deux poignées pleines de travail et d'une activité qui revient à poursuivre le vent.
Martin :
Mieux vaut plein le creux de la main, avec repos, que pleines les deux paumes, avec travail et rongement d'esprit.
Darby :
Mieux vaut le creux de la main rempli, et le repos, que les deux mains pleines, avec le travail et la poursuite du vent.
Ostervald :
Mieux vaut plein le creux de la main avec repos, que plein les deux paumes, avec travail et tourment d'esprit.
King-James :
Better is an handful with quietness, than both the hands full with travail and vexation of spirit.
7 J'ai encore constaté une autre chose dérisoire sous le soleil.
Louis-Segond :
J'ai considéré une autre vanité sous le soleil.
Semeur :
J'ai encore constaté une autre chose dérisoire sous le soleil.
Segond 21 :
J'ai examiné une autre réalité qui n'est que fumée sous le soleil:
Martin :
Puis je me suis mis à regarder une autre vanité sous le soleil;
Darby :
Et je me tournai, et je vis la vanité sous le soleil:
Ostervald :
Je me suis mis à regarder une autre vanité sous le soleil.
King-James :
Then I returned, and I saw vanity under the sun.
8 Voilà un homme seul qui n'a personne avec lui : ni fils, ni frère, et pourtant, il travaille dur sans jamais s'arrêter. Jamais ses yeux ne se rassasient de richesses, et pourtant il se dit : « Pour qui donc est-ce que je travaille si dur ? Pour qui est-ce que je me prive de bonnes choses ? » Cela aussi est dérisoire ; c'est un mal affligeant.
Louis-Segond :
Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, Et que je prive mon âme de jouissances ? C'est encore là une vanité et une chose mauvaise.
Semeur :
Voilà un homme seul qui n'a personne avec lui : ni fils, ni frère, et pourtant, il travaille dur sans jamais s'arrêter. Jamais ses yeux ne se rassasient de richesses, et pourtant il se dit : « Pour qui donc est-ce que je travaille si dur ? Pour qui est-ce que je me prive de bonnes choses ? » Cela aussi est dérisoire ; c'est un mal affligeant.
Segond 21 :
un homme peut être seul, sans aucun proche, sans fils ni frère, et pourtant son travail n'a pas de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. «Pour qui donc est-ce que je travaille et me prive de bonheur?» se demande-t-il. Cela aussi, c'est de la fumée et une mauvaise occupation.
Martin :
C'est qu'il y a tel qui est seul, et qui n'a point de second, qui aussi n'a ni fils ni frère, et qui cependant ne met nulle fin à son travail; même son oeil ne voit jamais assez de richesses, et il ne dit point en lui-même: Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme du bien? Cela aussi est une vanité, et une fâcheuse occupation.
Darby :
tel est seul sans qu'il y ait de second: il n'a pas non plus de fils ni de frère, et il n'y a pas de fin à tout son labeur; son oeil n'est pas non plus rassasié par la richesse, et il ne se dit pas: Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation.
Ostervald :
Tel homme est seul, et n'a point de second; il n'a ni fils, ni frère, et toutefois, il n'y a point de fin à tout son travail; même ses yeux ne se rassasient jamais de richesses; il ne se dit point: Pour qui est-ce que je travaille et que je prive mon âme du bien? Cela aussi est une vanité et une pénible occupation.
King-James :
There is one alone, and there is not a second; yea, he hath neither child nor brother: yet is there no end of all his labour; neither is his eye satisfied with riches; neither saith he, For whom do I labour, and bereave my soul of good? This is also vanity, yea, it is a sore travail.
9 Mieux vaut être à deux que tout seul. On tire alors un bon profit de son travail.
Louis-Segond :
Deux valent mieux qu'un, parce qu'ils retirent un bon salaire de leur travail.
Semeur :
Mieux vaut être à deux que tout seul. On tire alors un bon profit de son travail.
Segond 21 :
Il vaut mieux être deux que tout seul, parce qu'à deux on retire un bon profit du travail.
Martin :
Deux valent mieux qu'un; car ils ont un meilleur salaire de leur travail.
Darby :
deux valent mieux qu'un; car ils ont un bon salaire de leur travail.
Ostervald :
Deux valent mieux qu'un; parce qu'il y a pour eux un bon salaire de leur travail.
King-James :
Two are better than one; because they have a good reward for their labour.
10 Et si l'un tombe, l'autre le relève, mais malheur à celui qui est seul et qui vient à tomber sans avoir personne pour l'aider à se relever.
Louis-Segond :
Car, s'ils tombent, l'un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever !
Semeur :
Et si l'un tombe, l'autre le relève, mais malheur à celui qui est seul et qui vient à tomber sans avoir personne pour l'aider à se relever.
Segond 21 :
En effet, en cas de chute, l'un relève son compagnon, mais malheur à celui qui est seul et qui tombe sans avoir de proche pour le relever!
Martin :
Même si l'un des deux tombe, l'autre relèvera son compagnon; mais malheur à celui qui est seul; parce qu'étant tombé, il n'aura personne pour le relever.
Darby :
Car, s'ils tombent, l'un relèvera son compagnon; mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe, et qui n'a pas de second pour le relever!
Ostervald :
Car s'ils tombent, l'un peut relever l'autre; mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe, et n'a personne pour le relever.
King-James :
For if they fall, the one will lift up his fellow: but woe to him that is alone when he falleth; for he hath not another to help him up.
11 De même, si deux personnes dorment ensemble, elles se tiennent chaud, mais comment celui qui est seul se réchauffera-t-il ?
Louis-Segond :
De même, si deux couchent ensemble, ils auront chaud; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ?
Semeur :
De même, si deux personnes dorment ensemble, elles se tiennent chaud, mais comment celui qui est seul se réchauffera-t-il ?
Segond 21 :
De même, si deux personnes dorment ensemble, elles auront chaud, mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud?
Martin :
Si deux aussi couchent ensemble, ils en auront plus de chaleur; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud?
Darby :
De même, si l'on couche à deux, on a de la chaleur; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud?
Ostervald :
De même si deux couchent ensemble, ils auront chaud; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud?
King-James :
Again, if two lie together, then they have heat: but how can one be warm alone?
12 Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde à triple brin n'est pas vite rompue.
Louis-Segond :
Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux peuvent lui résister; et la corde à trois fils ne se rompt pas facilement.
Semeur :
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde à triple brin n'est pas vite rompue.
Segond 21 :
Si quelqu'un peut l'emporter contre un seul homme, à deux on peut lui résister; la corde à trois fils ne se coupe pas facilement.
Martin :
Que si quelqu'un force l'un ou l'autre, les deux lui pourront résister; et la corde à trois cordons ne se rompt pas sitôt.
Darby :
Et si quelqu'un a le dessus sur un seul, les deux lui tiendront tête; et la corde triple ne se rompt pas vite.
Ostervald :
Et si quelqu'un est plus fort qu'un seul, les deux lui pourront résister; et la corde à trois cordons ne se rompt pas si tôt.
King-James :
And if one prevail against him, two shall withstand him; and a threefold cord is not quickly broken.
13 Mieux vaut un jeune homme pauvre mais sage qu'un roi âgé et stupide qui ne sait plus écouter les conseils.
Louis-Segond :
Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et insensé qui ne sait plus écouter les avis;
Semeur :
Mieux vaut un jeune homme pauvre mais sage qu'un roi âgé et stupide qui ne sait plus écouter les conseils.
Segond 21 :
Mieux vaut être un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et stupide qui ne sait plus se laisser avertir.
Martin :
Un enfant pauvre et sage vaut mieux qu'un Roi vieux et insensé, qui ne sait ce que c'est que d'être averti.
Darby :
Mieux vaut un jeune garçon pauvre et sage, qu'un roi vieux et sot qui ne sait plus être averti.
Ostervald :
Mieux vaut un enfant pauvre et sage qu'un roi vieux et insensé, qui ne sait pas recevoir de conseil.
King-James :
Better is a poor and a wise child than an old and foolish king, who will no more be admonished.
14 Que ce jeune successeur soit né pauvre, qu'il soit même sorti de prison pour accéder au trône,
Louis-Segond :
car il peut sortir de prison pour régner, et même être né pauvre dans son royaume.
Semeur :
Que ce jeune successeur soit né pauvre, qu'il soit même sorti de prison pour accéder au trône,
Segond 21 :
Oui, il peut même sortir de prison pour régner ou être né pauvre dans son royaume:
Martin :
Car il y a tel qui sort de prison pour régner; et de même il y a tel qui étant né Roi, devient pauvre.
Darby :
Car il est sorti de la maison des prisonniers pour régner, lors même qu'il est né pauvre dans son royaume.
Ostervald :
Car tel sort de prison pour régner; et de même, tel étant né roi, devient pauvre.
King-James :
For out of prison he cometh to reign; whereas also he that is born in his kingdom becometh poor.
15 j'ai constaté que tous les humains qui vivent sous le soleil se rallient à lui plutôt qu'au roi qui était en place avant lui.
Louis-Segond :
J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil entourer l'enfant qui devait succéder au roi et régner à sa place.
Semeur :
j'ai constaté que tous les humains qui vivent sous le soleil se rallient à lui plutôt qu'au roi qui était en place avant lui.
Segond 21 :
j'ai vu tous les êtres vivants qui marchent sous le soleil se rallier à l'enfant destiné à succéder au roi et à régner à sa place;
Martin :
J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, suivre le fils qui est la seconde personne après le Roi, et qui doit être en sa place.
Darby :
J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, avec le jeune garçon, le second, qui occupera sa place.
Ostervald :
J'ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, entourer l'enfant, le second après le roi, et qui le remplacera.
King-James :
I considered all the living which walk under the sun, with the second child that shall stand up in his stead.
16 Il n'y a pas de fin au cortège de tout ce peuple dont il a pris la tête. Et pourtant, la génération suivante ne se félicitera pas davantage d'avoir un tel roi ! Cela encore est dérisoire : autant courir après le vent.
Louis-Segond :
Il n'y avait point de fin à tout ce peuple, à tous ceux à la tête desquels il était. Et toutefois, ceux qui viendront après ne se réjouiront pas à son sujet. Car c'est encore là une vanité et la poursuite du vent.
Semeur :
Il n'y a pas de fin au cortège de tout ce peuple dont il a pris la tête. Et pourtant, la génération suivante ne se félicitera pas davantage d'avoir un tel roi ! Cela encore est dérisoire : autant courir après le vent.
Segond 21 :
il n'y avait pas de fin à tout ce peuple, à tous ceux dont il avait pris la tête. Pourtant, les générations suivantes ne se réjouiront plus à son sujet. Oui, cela aussi, c'est de la fumée et cela revient à poursuivre le vent.
Martin :
Tout ce peuple-là, savoir tous ceux qui ont été devant ceux-ci, est sans fin; ces derniers aussi ne se réjouiront point de celui-ci; certainement cela aussi est une vanité, et un rongement d'esprit.
Darby :
Il n'y a pas de fin à tout le peuple, à tous ceux qui ont été devant eux; cependant ceux qui viendront après ne se réjouiront point en lui. Car cela aussi est vanité et poursuite du vent.
Ostervald :
Et il n'y avait point de fin à tout le peuple, à tous ceux à la tête desquels il était; cependant ceux qui viendront après ne se réjouiront point à son sujet. Certainement, cela aussi est une vanité et un tourment d'esprit.
King-James :
There is no end of all the people, even of all that have been before them: they also that come after shall not rejoice in him. Surely this also is vanity and vexation of spirit.
17 Veille bien sur tes pas lorsque tu te rends au sanctuaire de Dieu. Il est préférable de s'y rendre pour écouter, plutôt que pour offrir des sacrifices à la manière des insensés qui n'ont même pas conscience de faire le mal.
Louis-Segond :
Semeur :
Veille bien sur tes pas lorsque tu te rends au sanctuaire de Dieu. Il est préférable de s'y rendre pour écouter, plutôt que pour offrir des sacrifices à la manière des insensés qui n'ont même pas conscience de faire le mal.
Segond 21 :
Veille sur ton pied, lorsque tu entres dans la maison de Dieu: approche-toi pour écouter, au lieu d'offrir le sacrifice que présentent les hommes stupides parce qu'ils ne savent pas qu'ils agissent mal.
Martin :
Darby :
Ostervald :
King-James :
La Bible du Semeur™
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