Cantique des cantiques chapitre 2

1 « Moi, je suis une fleur qui pousse dans la plaine du Saron, un lis de la vallée. »
Louis-Segond :
Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées.-
Semeur :
« Moi, je suis une fleur qui pousse dans la plaine du Saron, un lis de la vallée. »
Segond 21 :
Je suis un narcisse du Saron, un lis des vallées.
Martin :
Je suis la rose de Saron, et le muguet des vallées.
Darby :
Je suis le narcisse de Saron, le lis des vallées.
Ostervald :
Je suis la rose de Saron et le lis des vallées.
King-James :
I am the rose of Sharon, and the lily of the valleys.
2 « Oui, comme un lis parmi des ronces est mon amie parmi les filles. »
Louis-Segond :
Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles.-
Semeur :
« Oui, comme un lis parmi des ronces est mon amie parmi les filles. »
Segond 21 :
Pareille à un lis au milieu des ronces, telle est mon amie parmi les filles.
Martin :
Tel qu'est le muguet entre les épines, telle est ma grande amie entre les filles.
Darby :
Comme le lis entre les épines, telle est mon amie entre les filles.
Ostervald :
Comme le lis au milieu des épines, telle est ma bien-aimée parmi les jeunes filles.
King-James :
As the lily among thorns, so is my love among the daughters.
3 « Comme un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens, j'ai grand plaisir à m'asseoir à son ombre. Combien son fruit est doux à mon palais.
Louis-Segond :
Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J'ai désiré m'asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.
Semeur :
« Comme un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens, j'ai grand plaisir à m'asseoir à son ombre. Combien son fruit est doux à mon palais.
Segond 21 :
Pareil à un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J'aime m'asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon goût.
Martin :
Tel qu'est le pommier entre les arbres d'une forêt, tel est mon bien-aimé entre les jeunes hommes; j'ai désiré son ombre, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais.
Darby :
Comme le pommier entre les arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé entre les fils; j'ai pris plaisir à son ombre, et je m'y suis assise; et son fruit est doux à mon palais.
Ostervald :
Comme le pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes; j'ai désiré son ombrage, et m'y suis assise, et son fruit a été doux à mon palais.
King-James :
As the apple tree among the trees of the wood, so is my beloved among the sons. I sat down under his shadow with great delight, and his fruit was sweet to my taste.
4 Il m'a conduite dans la maison du vin et il a déployé sur moi, l'étendard de l'amour.
Louis-Segond :
Il m'a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu'il déploie sur moi, c'est l'amour.
Semeur :
Il m'a conduite dans la maison du vin et il a déployé sur moi, l'étendard de l'amour.
Segond 21 :
Il m'a fait entrer dans la maison du vin, et l'étendard qu'il déploie au-dessus de moi, c'est l'amour.
Martin :
Il m'a menée dans la salle du festin; et sa livrée, laquelle je porte, c'est AMOUR.
Darby :
Il m'a fait entrer dans la maison du vin; et sa bannière sur moi, c'est l'amour.
Ostervald :
Il m'a mené dans la salle du festin, et l'étendard qu'il lève sur moi, porte: AMOUR.
King-James :
He brought me to the banqueting house, and his banner over me was love.
5 Restaurez-moi avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour.
Louis-Segond :
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d'amour.
Semeur :
Restaurez-moi avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour.
Segond 21 :
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour!
Martin :
Faites-moi revenir les forces avec les liqueurs; faites-moi un lit de pommes; car je me pâme d'amour.
Darby :
avec des gâteaux de raisins, ranimez-moi avec des pommes; car je suis malade d'amour.
Ostervald :
Ranimez-moi avec du raisin; fortifiez-moi avec des pommes, car je me pâme d'amour.
King-James :
Stay me with flagons, comfort me with apples: for I am sick of love.
6 Son bras gauche soutient ma tête, et son bras droit m'enlace.
Louis-Segond :
Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse !-
Semeur :
Son bras gauche soutient ma tête, et son bras droit m'enlace.
Segond 21 :
Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m'enlace!
Martin :
Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse.
Darby :
Sa main gauche est sous ma tête, et sa droite m'embrasse.
Ostervald :
Que sa main gauche soit sous ma tête, et que sa droite m'embrasse!
King-James :
His left hand is under my head, and his right hand doth embrace me.
7 O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure par les gazelles ou par les biches de la campagne : n'éveillez pas, non, ne réveillez pas l'amour avant qu'il ne le veuille.
Louis-Segond :
Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille.-
Semeur :
O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure par les gazelles ou par les biches de la campagne : n'éveillez pas, non, ne réveillez pas l'amour avant qu'il ne le veuille.
Segond 21 :
Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille!
Martin :
Filles de Jérusalem, je vous adjure par les chevreuils et par les biches des champs, que vous ne réveilliez point celle que j'aime, que vous ne la réveilliez point, jusqu'à ce qu'elle le veuille.
Darby :
Je vous adjure, filles de Jérusalem, par les gazelles ou par les biches des champs, n'éveillez pas, ne réveillez pas mon amour, jusqu'à ce qu'elle le veuille.
Ostervald :
Filles de Jérusalem, je vous adjure par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas celle que j'aime, avant qu'elle le veuille.
King-James :
I charge you, O ye daughters of Jerusalem, by the roes, and by the hinds of the field, that ye stir not up, nor awake my love, till he please.
8 « J'entends mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes et bondissant sur les collines.
Louis-Segond :
C'est la voix de mon bien-aimé ! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.
Semeur :
« J'entends mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes et bondissant sur les collines.
Segond 21 :
C'est la voix de mon bien-aimé! Le voici qui arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
Martin :
C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautelant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux.
Darby :
La voix de mon bien-aimé! le voici qui vient, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
Ostervald :
C'est ici la voix de mon bien-aimé; le voici qui vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les coteaux.
King-James :
The voice of my beloved! behold, he cometh leaping upon the mountains, skipping upon the hills.
9 Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici : il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres et lançant des regards à travers les treillis.
Louis-Segond :
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.
Semeur :
Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici : il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres et lançant des regards à travers les treillis.
Segond 21 :
Mon bien-aimé est pareil à la gazelle ou au jeune cerf. Le voici: il se tient derrière notre mur, observant par la fenêtre, regardant par le treillis.
Martin :
Mon bien-aimé est semblable au chevreuil, ou au faon des biches; le voilà qui se tient derrière notre muraille; il regarde par les fenêtres, il se fait voir par les treillis.
Darby :
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches. Le voici, il se tient derrière notre mur, il regarde par les fenêtres, il regarde à travers les treillis.
Ostervald :
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle, ou au faon des biches; le voilà qui se tient derrière notre muraille; il regarde par les fenêtres, il s'avance par les treillis.
King-James :
My beloved is like a roe or a young hart: behold, he standeth behind our wall, he looketh forth at the windows, shewing himself through the lattice.
10 Mon bien-aimé me parle, et il me dit : “Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle,
Louis-Segond :
Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Semeur :
Mon bien-aimé me parle, et il me dit : “Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle,
Segond 21 :
Mon bien-aimé parle et me dit: «Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Martin :
Mon bien-aimé a pris la parole, et m'a dit: Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t'en viens.
Darby :
Mon bien-aimé m'a parlé, et m'a dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Ostervald :
Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens!
King-James :
My beloved spake, and said unto me, Rise up, my love, my fair one, and come away.
11 car l'hiver est passé et les pluies ont cessé, leur saison est finie.
Louis-Segond :
Car voici, l'hiver est passé; La pluie a cessé, elle s'en est allée.
Semeur :
car l'hiver est passé et les pluies ont cessé, leur saison est finie.
Segond 21 :
En effet, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée.
Martin :
Car voici, l'hiver est passé, la pluie est passée, elle s'en est allée.
Darby :
Car voici, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée;
Ostervald :
Car voici, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée;
King-James :
For, lo, the winter is past, the rain is over and gone;
12 On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs.
Louis-Segond :
Les fleurs paraissent sur la terre, le temps de chanter est arrivé, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
Semeur :
On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs.
Segond 21 :
Les fleurs apparaissent dans le pays, le temps de chanter est arrivé et l'on entend le roucoulement de la tourterelle dans notre pays.
Martin :
Les fleurs paraissent en la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle a déjà été ouïe dans notre contrée.
Darby :
les fleurs paraissent sur la terre, la saison des chants est arrivée, et la voix de la tourterelle s'entend dans notre pays;
Ostervald :
Les fleurs paraissent sur la terre, le temps des chansons est venu, et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
King-James :
The flowers appear on the earth; the time of the singing of birds is come, and the voice of the turtle is heard in our land;
13 Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle.”
Louis-Segond :
Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Semeur :
Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle.”
Segond 21 :
Le figuier embaume par ses fruits et les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Martin :
Le figuier a poussé ses figons, et les vignes leurs grappes, et elles rendent de l'odeur. Lève-toi, ma grande amie, ma belle, et t'en viens.
Darby :
le figuier embaume ses figues d'hiver, et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!
Ostervald :
Le figuier a poussé ses premières figues, et les vignes ont des grappes et exhalent leur odeur. Lève-toi, ma bien-aimée, ma belle, et viens!
King-James :
The fig tree putteth forth her green figs, and the vines with the tender grape give a good smell. Arise, my love, my fair one, and come away.
14 Ma colombe nichée aux fentes du rocher, cachée au plus secret des parois escarpées, fais-moi voir ton visage et entendre ta voix, car ta voix est bien douce et ton visage est beau.
Louis-Segond :
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Semeur :
Ma colombe nichée aux fentes du rocher, cachée au plus secret des parois escarpées, fais-moi voir ton visage et entendre ta voix, car ta voix est bien douce et ton visage est beau.
Segond 21 :
Ma colombe, toi qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est douce et ta figure est charmante!»
Martin :
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes de la roche, dans les enfoncements des lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, fais-moi ouïr ta voix; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux.
Darby :
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, dans les cachettes des lieux escarpés, montre-moi ton visage, fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton visage est agréable.
Ostervald :
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les lieux escarpés, fais-moi voir ton regard, et fais-moi entendre ta voix; car ta voix est douce, et ton regard est gracieux.
King-James :
O my dove, that art in the clefts of the rock, in the secret places of the stairs, let me see thy countenance, let me hear thy voice; for sweet is thy voice, and thy countenance is comely.
15 Prenez-nous les renards, oui, les petits renards qui ravagent nos vignes quand elles sont en fleur.
Louis-Segond :
Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.
Semeur :
Prenez-nous les renards, oui, les petits renards qui ravagent nos vignes quand elles sont en fleur.
Segond 21 :
Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui dévastent les vignes, car nos vignes sont en fleur!
Martin :
Prenez-nous les renards, et les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont poussé des grappes.
Darby :
-Prenez-nous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes, car nos vignes sont en fleur.
Ostervald :
Prenez-nous les renards, les petits renards, qui gâtent les vignes, depuis que nos vignes ont des grappes.
King-James :
Take us the foxes, the little foxes, that spoil the vines: for our vines have tender grapes.
16 Mon bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis.
Louis-Segond :
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.
Semeur :
Mon bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis.
Segond 21 :
Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis.
Martin :
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; il paît son troupeau parmi les muguets.
Darby :
-Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui, qui paît parmi les lis,
Ostervald :
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; il paît son troupeau parmi les lis.
King-James :
My beloved is mine, and I am his: he feedeth among the lilies.
17 Et quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s'estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle ou à un jeune faon sur les monts escarpés.
Louis-Segond :
Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens !... sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.
Semeur :
Et quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s'estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle ou à un jeune faon sur les monts escarpés.
Segond 21 :
Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, tourne-toi! Montre-toi pareil, mon bien-aimé, à la gazelle ou au jeune cerf, sur les montagnes rocailleuses!
Martin :
Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres s'enfuient, retourne mon bien-aimé, et sois comme le chevreuil, ou le faon des biches, sur les montagnes entrecoupées.
Darby :
jusqu'à ce que l'aube se lève et que les ombres fuient.-Tourne-toi; sois semblable, mon bien-aimé, à la gazelle ou au faon des biches sur les montagnes de Béther.
Ostervald :
Avant que le vent du jour souffle, et que les ombres fuient, reviens, mon bien-aimé, comme la gazelle, ou le faon des biches, sur les montagnes qui nous séparent.
King-James :
Until the day break, and the shadows flee away, turn, my beloved, and be thou like a roe or a young hart upon the mountains of Bether.
La Bible du Semeur™
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