Comment recevoir l'assurance du Salut ?
Parfaitement certain
Quand on est sauvé, on devrait le savoir. Autrement, comment être témoin pour Christ ? La Bible parle de façon claire et positive. Elle ne bégaie pas. Sa lecture nous communique la certitude. Mon compatriote Martin Luther a dit un jour : « Le Saint-Esprit n'a rien d'un sceptique. » Il n'émet pas de doute. Les promesses de Dieu sont : « Oui » et « Amen »
et non : « Non » et « Peut-être bien ». La trompette de l'Evangile sonne sans hésitation.
Lorsqu'à Philippes un tremblement de terre a se¬coué la prison avec tous ceux qui s'y trouvaient, le geôlier s'est écrié :
Paul n'a pas répondu : « Et toi, qu'en penses-tu ? As-tu des idées ? » Il a déclaré fermement :
L'Évangile est le message de Dieu, pas l'opinion chrétienne.
Michael Faraday, génie-inventeur de la dynamo électrique, n'était pas seulement expert dans tous les domaines scientifiques, mais il était aussi chrétien. En 1867, au moment de sa mort, ses amis l'interrogèrent sur
ses spéculations sur l'au-delà. « Spéculations ? » demanda-t-il, surpris. « Spéculations ? Je n'en ai aucune. Je me repose sur des certitudes ! » Le verset biblique préféré de Faraday était : « Je sais en qui j'ai cru, et je suis persuadé qu'il a la puissance de garder mon dépôt jusqu'à ce jour-là »
Il n'avait aucun doute quant à la véracité de la Bible.
Dire comme certains qu'il est présomptueux d'affirmer qu'on est sauvé, n'est que fausse modestie, à la lumière de tant de preuves bibliques. Lorsque Christ nous met face à face à la question de notre besoin, notre réaction ne doit pas être : « Je veux avoir une réponse à mes questions et donner mon point de vue sur le salut ». Nous devons nous repentir et croire ! Être sauvé n'est pas une expérience banale, qui passerait presque inaperçue.
Quand nous nous repentons, croyons et venons au Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, il nous reçoit et nous sommes purifiés par son sang précieux !
Prenez ces deux déclarations de JÉSUS CHRIST lui-même :
Le salut est absolu et total. Qu'il serait ridicule de penser que Jésus nous trouve, nous reçoit, et en même temps qu'il ne voudrait pas que nous le sachions ! En fait, il ne nous le cacherait pas. Un autre verset le prouve :
Le manque de preuves de Satan !
Laissez-moi vous dire : il y a meilleur encore. Vous êtes :
Merveilleux ! Jamais pareille chose n'arriverait dans un tribunal à un transgresseur de la loi. Imaginez ! La salle d'audience, les magistrats à la mine grave, les policiers en uniforme, le procureur, le juge. Les jurés reviennent avec le verdict : Coupable. Le prévenu se lève de son banc avec la sentence de condamné. Il doit purger sa peine, payer le prix. S'il demandait à être innocenté, le solennel tribunal éclaterait d'un rire incrédule.
Mais voici une scène différente : Un pécheur comparaît devant le Juge Suprême. L'accusateur, Satan, est là. Des rangées d'anges éblouissants de sainteté regardent. Le pécheur sait qu'il est coupable. Le Juge de toute la terre doit agir avec justice. Alors, Jésus, qui est l'Avocat du pécheur, apparaît et défie l'accusateur : « Où sont tes preuves ? »
Cela provoque un grand remous ! L'accusateur est gêné. Il ne peut produire aucune preuve, aucune pièce à conviction, aucune déposition, aucune charge. Pas la moindre preuve. Dans tout l'univers, on ne peut retrouver aucun indice des torts de cet homme. Que sont-ils devenus ?
Je vous le dis : la preuve de notre péché a été détruite ! Le jour de sa crucifixion au Calvaire, Jésus-Christ s'en est chargé et l'a portée dans le feu du jugement divin. Pendant ces heures terribles, l'acte d'accusation a été consumé sans en laisser de trace.
Il nous a fait grâce:
« Effacé » ne veut pas dire simplement rayé, mais ôté. Qu'il est alors surprenant que certains membres de l'église soient incertains de leur sort, et qu'ils attendent, pour le connaître, le grand Jour du Jugement ! Ils emploient les mots « peut-être », « espérer ». Dieu dit :
Jugement révèle s'ils sont sauvés ou pas, ne comprennent pas du tout le salut.
Connaître la promesse de Jésus qu'un chrétien « ne vient point en jugement » fait partie du salut. Il nous enlève cette peur quand nous sommes sauvés.
Le mot « jugement » dans ce verset est, en grec, krisis, mot qui donne en français « crise ». Donc, on peut dire qu'un croyant né de nouveau ne connaîtra jamais d'instant de « crise » où, affrontant le jugement, il attendra pour savoir s'il est sauvé ou perdu. Non, la question est déjà réglée.
L'indicateur :
Devant le Tribunal de Dieu, l'Avocat Jésus présente son plaidoyer spectaculaire « Il n'y a pas de preuve contre cet homme. » Le Trône de Justice devient alors le Trône de la Grâce. Satan l'accusateur se retire, confondu, furieux. Le Juge fait signe à la personne accusée et lui tend un document appelé « La Nouvelle Alliance ». Il l'ouvre. Il y voit les sceaux rouges du sang versé de Jésus. C'est un décret d'acquittement royal : « La Cour ne trouve aucune preuve et par conséquent aucune charge contre vous. »
Le Juge a signé en disant :
Le prisonnier est libre, « justifié par la grâce ». Le Tribunal au complet se lève et applaudit ; il y a de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent :
Quand vous êtes « justifié par la grâce », Dieu le Juge veut que vous le sachiez. Ceux qui attendent que le Jour du
Ceux qui attendent que le Jour du Jugement révèle s'ils sont sauvés
Notez que ce verset très ou pas, ne rassurant ne dit pas que vous comprennent pas aurez la vie éternelle, mais il du tout le salut.
dit que vous l'avez ... maintenant ! Cette affirmation puissante a été communiquée à l'apôtre Jean par le Saint-Esprit. Elle contient tous les éléments - clés de l'assurance du salut écrit, sachiez, avez, vie éternelle, croyez, Fils de Dieu.
Ces clés se trouvent dans la Parole de Dieu, ce qui signifie qu'il faut lire ce qui est écrit dans la Parole.