Maroc : zoom sur la persécution Portes Ouvertes
Publié il y a 11 ans
Au Maroc, les victimes de la persécution sont surtout des chrétiens marocains d'arrière plan musulman. Zoom sur la persécution d'une minorité souvent ignorée.
Au Maroc, le christianisme ne dérange pas dans le mesure où les chrétiens ne cherchent pas à exprimer leur croyance en dehors de l'Eglise. Dans ce pays, on compte environ 25 000 chrétiens, plus de 80% de ces chrétiens ne sont pas marocains d'origine. Les victimes de la persécution sont surtout des chrétiens marocains d'origine musulmane : une fois convertis au christianisme, ils doivent faire face au rejet de leur famille, de leurs amis, et parfois même aux menaces des autorités locales.
En 2010, des familles chrétiennes qui ont accueilli des enfants orphelins dans le cadre de la structure du « Village de l'espérance » ont été soudainement accusées de prosélytisme et expulsées du Maroc. Les enfants furent confiés à des travailleurs sociaux marocains. La séparation fut un véritable déchirement aussi bien pour les enfants que pour leurs familles d'accueil. A cette époque, 150 missionnaires et travailleurs expatriés chrétiens ont été expulsés en raison de leur activité ecclésiale.
Mais de bonnes nouvelles réchauffent les coeurs comme le verdict donné par la justice marocaine début 2013 qui ordonne que les enfants du Village de l'espérance soient rendus à leurs familles d'accueil. Cette décision doit être confirmée par le gouvernement. En 2011, lors de la révolution du Printemps Arabe, le roi Mohammed VI, qui est considéré comme le descendant direct du prophète de l'islam, Mahomet, a nommé Abdelilah Benkirane, Premier ministre. Cet homme est le chef du parti islamiste modéré Justice et développement. L'arrivée de ce parti au pouvoir est une source d'inquiétude pour les chrétiens. L'Eglise marocaine a donc besoin d'être soutenue dans la prière afin que cette petite communauté puisse tenir ferme.
Au Maroc, le christianisme ne dérange pas dans le mesure où les chrétiens ne cherchent pas à exprimer leur croyance en dehors de l'Eglise. Dans ce pays, on compte environ 25 000 chrétiens, plus de 80% de ces chrétiens ne sont pas marocains d'origine. Les victimes de la persécution sont surtout des chrétiens marocains d'origine musulmane : une fois convertis au christianisme, ils doivent faire face au rejet de leur famille, de leurs amis, et parfois même aux menaces des autorités locales.
En 2010, des familles chrétiennes qui ont accueilli des enfants orphelins dans le cadre de la structure du « Village de l'espérance » ont été soudainement accusées de prosélytisme et expulsées du Maroc. Les enfants furent confiés à des travailleurs sociaux marocains. La séparation fut un véritable déchirement aussi bien pour les enfants que pour leurs familles d'accueil. A cette époque, 150 missionnaires et travailleurs expatriés chrétiens ont été expulsés en raison de leur activité ecclésiale.
Mais de bonnes nouvelles réchauffent les coeurs comme le verdict donné par la justice marocaine début 2013 qui ordonne que les enfants du Village de l'espérance soient rendus à leurs familles d'accueil. Cette décision doit être confirmée par le gouvernement. En 2011, lors de la révolution du Printemps Arabe, le roi Mohammed VI, qui est considéré comme le descendant direct du prophète de l'islam, Mahomet, a nommé Abdelilah Benkirane, Premier ministre. Cet homme est le chef du parti islamiste modéré Justice et développement. L'arrivée de ce parti au pouvoir est une source d'inquiétude pour les chrétiens. L'Eglise marocaine a donc besoin d'être soutenue dans la prière afin que cette petite communauté puisse tenir ferme.
Avec Portes Ouvertes