Centrafrique : les responsables d'Eglise lancent un cri d'alarme Portes Ouvertes
Publié il y a 11 ans
Face à l'urgence de la situation en République Centrafricaine, les dirigeants d'Eglises tirent la sonnette d'alarme par, notamment, un appel lancé à la communauté internationale.
En Centrafrique, pendant sa progression dans le pays et depuis sa prise de pouvoir, le 24 mars 2013, la coalition terroriste Seleka s'illustre particulièrement par des violations massives et sans précédent des droits humains : pillage à grandes échelles, incendie de villes et villages etc. Des églises et institutions chrétiennes ont été profanées, des prêtres et des pasteurs ont subi des violences, certains ont été assassinés. Plusieurs citoyennes et religieuses ont été violées.
Cette interpellation poignante a été rédigée à Bangui, le 6 octobre 2013 par l'ensemble des représentants religieux de différentes dénominations du pays, dont l'archevêque catholique Dieudonné NZAPALAINGA, Président de la Conférence Episcopale, et le Révérend Nicolas GUEREKOYAME-GBANGOU, Président de l'Alliance des Evangéliques en Centrafrique.
Michel Varton, directeur de Portes Ouvertes a participé au comité de réflexion de cet appel et s'inquiète de la cruelle violence infligée à la communauté chrétienne : « A la fin de notre séjour en Centrafrique, nos coeurs étaient brisés par les témoignages de souffrance des chrétiens de ce pays. Cet appel lance un cri d'alarme à la communauté internationale face aux exactions passées sous silence. Les besoins en matière d'aide sécuritaire et humanitaire sont énormes. Il faut, comme cet appel le demande : "briser l'indifférence". »
L'église de la République Centrafricaine appelle l'Église universelle au soutien dans la prière afin de tenir face aux cruelles attaques auxquelles elle doit faire face.
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En Centrafrique, pendant sa progression dans le pays et depuis sa prise de pouvoir, le 24 mars 2013, la coalition terroriste Seleka s'illustre particulièrement par des violations massives et sans précédent des droits humains : pillage à grandes échelles, incendie de villes et villages etc. Des églises et institutions chrétiennes ont été profanées, des prêtres et des pasteurs ont subi des violences, certains ont été assassinés. Plusieurs citoyennes et religieuses ont été violées.
Cette interpellation poignante a été rédigée à Bangui, le 6 octobre 2013 par l'ensemble des représentants religieux de différentes dénominations du pays, dont l'archevêque catholique Dieudonné NZAPALAINGA, Président de la Conférence Episcopale, et le Révérend Nicolas GUEREKOYAME-GBANGOU, Président de l'Alliance des Evangéliques en Centrafrique.
Michel Varton, directeur de Portes Ouvertes a participé au comité de réflexion de cet appel et s'inquiète de la cruelle violence infligée à la communauté chrétienne : « A la fin de notre séjour en Centrafrique, nos coeurs étaient brisés par les témoignages de souffrance des chrétiens de ce pays. Cet appel lance un cri d'alarme à la communauté internationale face aux exactions passées sous silence. Les besoins en matière d'aide sécuritaire et humanitaire sont énormes. Il faut, comme cet appel le demande : "briser l'indifférence". »
L'église de la République Centrafricaine appelle l'Église universelle au soutien dans la prière afin de tenir face aux cruelles attaques auxquelles elle doit faire face.
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Avec Portes Ouvertes