Un kurde: la religion ne sauve pas
Je m'appelle Coekmen, je suis né en Turquie où la religion officielle est l'Islam. Etant un kurde originaire, ce que pratiquent d'autres peuples. Bien que mon peuple se considère comme musulman, il n'est pas accepté comme tel par les Turcs musulmans, car la pratique n'est pas la même et diverge sur bien des formes. Très tôt dans mon enfance j'avais pris conscience de l'existence de Dieu, mais je ne le connaissais pas. Les personnes qui m'entouraient étaient pour la plupart sincères, mais pour d'autres, Dieu était sur leurs lèvres mais pas dans leurs coeurs. Leurs vies ne reflétaient pas la présence du Dieu vivant. Ainsi, ma vie était marquée par toutes sortes de souffrances.
Mon peuple était haï, étouffé par les pressions, et mon père nous a laissés seuls avec notre mère, ma soeur et moi. Nous avons quitté la Turquie, car ma mère armée de courage était venue travailler en France, et une fois bien établie, elle nous a fait venir. Une fois en France, nous avons été accueillis chez un pasteur protestant, et j'ai découvert, là encore, une nouvelle religion. Pour la première fois, j'ai entendu parler de la personne de Jésus, et je me sentais intrigué par ce que j'entendais de Jésus. Plus tard, comme nous avions déménagé dans une cité HLM, j'ai eu de mauvaises fréquentations, et j'ai plongé dans la délinquance.
Un jour, je fus mis en contact avec le milieu évangélique. Ils disaient que Jésus, non seulement était mort pour les péchés des hommes, mais qu'en plus il était ressuscité, et que celui qui l'acceptait comme Sauveur ( pas simplement un sauveur génial) mais aussi Seigneur, pouvait bénéficier du salut par grâce, devenir enfant de Dieu, et vivre une relation personnelle avec Dieu à travers Jésus-Christ. Je rencontrais pour la première fois des hommes et des femmes qui n'avaient pas simplement Dieu dans un livre, mais une personne vivante en eux. Ils avaient une relation réelle et personnelle avec Dieu. Ce n'était pas de la simple routine religieuse. Une chose importante: cette relation n'était pas quelque chose d'inventé, car c'est la Bible qui enseigne cette réalité de la présence de Dieu dans la vie de quiconque accepte Jésus comme Sauveur. J'ai donc accepté au début ce Sauveur, avec l'étiquette d'évangéliste, car je n'acceptais pas le fait que Jésus soit le Seigneur de ma vie. Mais un jour, je fus mis au pied du mur, l'esprit de Dieu me toucha profondément, et là j'ai dû choisir soit le monde avec ma vie religieuse, soit la vie sans compromis ni hypocrisie avec Dieu. Je n'avais pas quitté une religion pour en embrasser une autre, sinon autant rester dans celle de mon peuple, mais je désirais maintenant une réelle communion avec Dieu, celle qu'aucune religion bâtie de la main des hommes ne pouvait m'offrir.
Je t'encourage, cher ami, à rencontrer, à rechercher la vérité. Beaucoup, avant Jésus et après Jésus, ont essayé par la religion de promettre la vie, mais seul Jésus est en mesure de communiquer la vie éternelle. Il est le seul à donner l'assurance du salut qui ne s'achète ni par l'or, ni par l'argent, ni par les oeuvres, car tu es, et tu retourneras poussière. Que Dieu vous bénisse et se révèle à vous en Jésus-Christ. C'est par grâce que vous êtes sauvé, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.
Ce n'est point par les oeuvres afin que personne ne se glorifie. Rm 2 v 8à9
Mon peuple était haï, étouffé par les pressions, et mon père nous a laissés seuls avec notre mère, ma soeur et moi. Nous avons quitté la Turquie, car ma mère armée de courage était venue travailler en France, et une fois bien établie, elle nous a fait venir. Une fois en France, nous avons été accueillis chez un pasteur protestant, et j'ai découvert, là encore, une nouvelle religion. Pour la première fois, j'ai entendu parler de la personne de Jésus, et je me sentais intrigué par ce que j'entendais de Jésus. Plus tard, comme nous avions déménagé dans une cité HLM, j'ai eu de mauvaises fréquentations, et j'ai plongé dans la délinquance.
Un jour, je fus mis en contact avec le milieu évangélique. Ils disaient que Jésus, non seulement était mort pour les péchés des hommes, mais qu'en plus il était ressuscité, et que celui qui l'acceptait comme Sauveur ( pas simplement un sauveur génial) mais aussi Seigneur, pouvait bénéficier du salut par grâce, devenir enfant de Dieu, et vivre une relation personnelle avec Dieu à travers Jésus-Christ. Je rencontrais pour la première fois des hommes et des femmes qui n'avaient pas simplement Dieu dans un livre, mais une personne vivante en eux. Ils avaient une relation réelle et personnelle avec Dieu. Ce n'était pas de la simple routine religieuse. Une chose importante: cette relation n'était pas quelque chose d'inventé, car c'est la Bible qui enseigne cette réalité de la présence de Dieu dans la vie de quiconque accepte Jésus comme Sauveur. J'ai donc accepté au début ce Sauveur, avec l'étiquette d'évangéliste, car je n'acceptais pas le fait que Jésus soit le Seigneur de ma vie. Mais un jour, je fus mis au pied du mur, l'esprit de Dieu me toucha profondément, et là j'ai dû choisir soit le monde avec ma vie religieuse, soit la vie sans compromis ni hypocrisie avec Dieu. Je n'avais pas quitté une religion pour en embrasser une autre, sinon autant rester dans celle de mon peuple, mais je désirais maintenant une réelle communion avec Dieu, celle qu'aucune religion bâtie de la main des hommes ne pouvait m'offrir.
Je t'encourage, cher ami, à rencontrer, à rechercher la vérité. Beaucoup, avant Jésus et après Jésus, ont essayé par la religion de promettre la vie, mais seul Jésus est en mesure de communiquer la vie éternelle. Il est le seul à donner l'assurance du salut qui ne s'achète ni par l'or, ni par l'argent, ni par les oeuvres, car tu es, et tu retourneras poussière. Que Dieu vous bénisse et se révèle à vous en Jésus-Christ. C'est par grâce que vous êtes sauvé, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.
Ce n'est point par les oeuvres afin que personne ne se glorifie. Rm 2 v 8à9
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