Tristesse

La tristesse selon Dieu vous a porté à la repentance, travaillant à votre salut et produisant un zèle nouveau pour le Seigneur. C'est une bonne tristesse, elle est salutaire. D'autres tristesses sont aussi à considérer, et vis-à-vis des unes et des autres cette parole est juste :

La tristesse n'est pas faite pour durer, mais pour accomplir une oeuvre.

Ne pas rester sur une tristesse, une chose qui nous a chagrinés. Si nous restons sur une tristesse, cela nous arrête, nous freine, nous empêche d'être libre en la foi ; met un voile sombre sur notre âme, et envers les autres ; elle nous endort et nous empêche de prier pour les autres, on ne pense qu'à soi, sa déception ; elle entraîne la mort spirituelle.
Combien se sont arrêtés en chemin "chagrinés" par quelqu'un, un refus, une déception ! Ne restez pas sur une tristesse ! Si elle est selon le monde, réagissez dans la foi si précieuse en Jésus-Christ. Si elle est selon Dieu, elle est là pour restaurer en vous la vie siprituelle, le zèle pour la Maison de Dieu afin que la joie du Seigneur revienne en vous.

Il y a une tristesse qui vient au sein du combat spirituel. Jésus à Gethsémanée en a éprouvé la rude réalité :



N'arrêtons pas le combat de la prière à cause de cette tristesse ou angoisse de l'âme. Il faut être fort ou puissamment fortifié pour ne pas se retirer et abandonner. Tenez ferme, même au sein des larmes ! Le moment viendra où vous serez secourus surnaturellement.
Aujourd'hui, relevez-vous, en Christ, du chagrin, de la tristesse qui est en vous.