Résistant ou collabo ?
Il y a 60 ans , la France vivait une situation difficile. C'était l'occupation, l'ennemi était impitoyable, imprévisible, et souvent faisait preuve d'une incroyable cruauté. (Heureusement, aujourd'hui nos deux nations sont réconciliées, et peuvent vivre sans devoir toujours se rappeler le passé).
Je me suis souvent demandé quelle aurait été mon attitude et ma conduite, face à une telle barbarie et une telle terreur . Aurais-je été un collaborateur ou un résistant ? Un collabo certainement pas, mais un passif sûrement. Quand je pense aux 2% de la population que représentaient les résistants à cette période, je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec le pourcentage presque semblable que représentent aujourd'hui les chrétiens nés de nouveau en France.
Ces hommes et ces femmes ont à cette époque fait preuve d'un courage extrême. Ils ne faisaient pas cas de leur propre vie, et mettaient bien souvent celle de leurs proches et de leur famille en danger de mort. Ils ont pourtant cru, envers et contre tout, à une libération qui bientôt devait arriver avec le débarquement des alliés. Leur courage et leur ténacité ont permis, selon les historiens, de préparer ce débarquement, qui sans eux n'aurait certainement pas connu le même succès.
Qu'en est-il de nous aujourd'hui, chrétiens de l'an 2004 ? Sommes-nous de la trempe de ces hommes et de ces femmes, qui n'ont pas eu peur d'aller à contre courant, et de perdre leur vie pour que d'autres soient sauvées ?
Ou sommes-nous comme l'immense majorité de ces français qui avaient choisi de se taire, et ainsi de permettre à l'ennemi d'étendre plus encore ses crimes ?
Peut-être est-ce le temps pour nous d'entrer en résistance, face à toutes ces forces invisibles et pourtant bien réelles qui n'ont qu'un objectif: nous perdre et nous éloigner de Dieu.
Nous ne sommes qu'un petit reste, mais tenons ferme. Le grand libérateur, Jésus-Christ, vient bientôt avec ses anges.
La délivrance approche.
Je me suis souvent demandé quelle aurait été mon attitude et ma conduite, face à une telle barbarie et une telle terreur . Aurais-je été un collaborateur ou un résistant ? Un collabo certainement pas, mais un passif sûrement. Quand je pense aux 2% de la population que représentaient les résistants à cette période, je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec le pourcentage presque semblable que représentent aujourd'hui les chrétiens nés de nouveau en France.
Ces hommes et ces femmes ont à cette époque fait preuve d'un courage extrême. Ils ne faisaient pas cas de leur propre vie, et mettaient bien souvent celle de leurs proches et de leur famille en danger de mort. Ils ont pourtant cru, envers et contre tout, à une libération qui bientôt devait arriver avec le débarquement des alliés. Leur courage et leur ténacité ont permis, selon les historiens, de préparer ce débarquement, qui sans eux n'aurait certainement pas connu le même succès.
Qu'en est-il de nous aujourd'hui, chrétiens de l'an 2004 ? Sommes-nous de la trempe de ces hommes et de ces femmes, qui n'ont pas eu peur d'aller à contre courant, et de perdre leur vie pour que d'autres soient sauvées ?
Ou sommes-nous comme l'immense majorité de ces français qui avaient choisi de se taire, et ainsi de permettre à l'ennemi d'étendre plus encore ses crimes ?
Peut-être est-ce le temps pour nous d'entrer en résistance, face à toutes ces forces invisibles et pourtant bien réelles qui n'ont qu'un objectif: nous perdre et nous éloigner de Dieu.
Nous ne sommes qu'un petit reste, mais tenons ferme. Le grand libérateur, Jésus-Christ, vient bientôt avec ses anges.
La délivrance approche.