Rame vers moi
Malgré la brume, quelques amis s'étaient aventurés à faire une promenade en mer. Mais peu après leur départ, le brouillard devint si dense qu'on commença à s'inquiéter à leur sujet.
L'un d'eux avait une petite fille restée à la maison avec sa mère. Fort en souci en pensant à son père, l'enfant supplia sa maman de la laisser aller au port. En vain ses yeux scrutèrent l'épais rideau gris. Tout à coup, il lui sembla entendre un bruit de rames. Alors, pleine d'espoir, elle se mit à crier plusieurs fois de toutes ses forces : « Papa, rame vers moi ».
De leur côté, les malheureux égarés prêtaient une oreille attentive au moindre bruit. Cessant un instant de ramer pour mieux entendre, l'un d'eux dit : « Ecoutez..., j'entends quelqu'un qui appelle ». « C'est la voix de ma petite fille, j'en suis sûr », dit le père. Et tous de ramer vigoureusement du côté d'où venait le cri persistant. Ils atteignirent bientôt le rivage. L'enfant, transportée de joie, s'élança dans les bras de son père qui la pressa sur son coeur. Elle avait été le moyen, entre les mains de Dieu, pour ramener son père à la maison.
Peu après, la fillette tomba gravement malade. Elle supplia son père encore non croyant de se tourner vers le Sauveur qu'elle-même connaissait bien. Après son départ pour le ciel, le père, dans son chagrin, se souvenait souvent des mots prononcés dans un jour de détresse, par son enfant : « Rame vers moi ». Il lui semblait entendre le même appel venant du ciel. Il regarda lui aussi vers Jésus et fut sauvé.
Ami, cessez de vous tourmenter à ramer ne sachant vers quel but. Mettez le cap sur Christ. Ecoutez sa voix d'amour qui vous dit : « Viens à moi ».
L'un d'eux avait une petite fille restée à la maison avec sa mère. Fort en souci en pensant à son père, l'enfant supplia sa maman de la laisser aller au port. En vain ses yeux scrutèrent l'épais rideau gris. Tout à coup, il lui sembla entendre un bruit de rames. Alors, pleine d'espoir, elle se mit à crier plusieurs fois de toutes ses forces : « Papa, rame vers moi ».
De leur côté, les malheureux égarés prêtaient une oreille attentive au moindre bruit. Cessant un instant de ramer pour mieux entendre, l'un d'eux dit : « Ecoutez..., j'entends quelqu'un qui appelle ». « C'est la voix de ma petite fille, j'en suis sûr », dit le père. Et tous de ramer vigoureusement du côté d'où venait le cri persistant. Ils atteignirent bientôt le rivage. L'enfant, transportée de joie, s'élança dans les bras de son père qui la pressa sur son coeur. Elle avait été le moyen, entre les mains de Dieu, pour ramener son père à la maison.
Peu après, la fillette tomba gravement malade. Elle supplia son père encore non croyant de se tourner vers le Sauveur qu'elle-même connaissait bien. Après son départ pour le ciel, le père, dans son chagrin, se souvenait souvent des mots prononcés dans un jour de détresse, par son enfant : « Rame vers moi ». Il lui semblait entendre le même appel venant du ciel. Il regarda lui aussi vers Jésus et fut sauvé.
Ami, cessez de vous tourmenter à ramer ne sachant vers quel but. Mettez le cap sur Christ. Ecoutez sa voix d'amour qui vous dit : « Viens à moi ».