Jésus m'a libéré du Tae Kwon Do
Le TAE KWON DO est un art martial d'origine Coréenne.
C'est une discipline olympique.
C'est un sport de combat.
Les techniques sont spectaculaires, Les coups sont violents et dangereux.
Le ko de l'adversaire est la victoire du combat.
PALMARES SPORTIF
PROFESSEUR DIPLOME D'ETAT
CEINTURE NOIRE 3em DAN
VAINQUEUR DE LA COUPE DE FRANCE 1987
MEDAILLE DE BRONZE AUX INTERNATIONAUX DE FRANCE 1987
CHAMPION RHONES ALPES 1986
VICE CHAMPION DE FRANCE 1985
CHAMPION DE LIGUE DAUPHINE SAVOIE 1985
ARBITRE NATIONAL
Ex MEMBRE DE L'EQUIPE DE FRANCE
EX Membre du COT TKD comité national d'organisation du TKD France
Arbitre national
Ex Membre du Comité Organisation du TaeKwondo
Mon témoignage de conversion à Jésus-Christ en France
Je suis d'origine espagnole. Ma famille a quitté l'Espagne à cause de la pauvreté et du fascisme sous Franco, pour s'installer en Afrique du nord où je suis né.
A cause des évènements de la guerre d'Algérie, ma famille a dû tout abandonner pour venir en France. Cette période a certainement été assez dure, mais je n'en ai aucun souvenir, si ce n'est ce que m'ont raconté mes parents. Je n'étais qu'un enfant, mais déjà la peur, l'angoisse, la mort et l'insécurité étaient à l'oeuvre pour détruire ma vie.
Sans rien, nous nous sommes installés à Voreppe dans une maison où nous étions trois familles réunies. Nous n'avons pas été accueillis par la France, on nous accusait de venir manger le pain des français, de sales pieds noirs. Mon père a pu trouver un travail, et nous sommes partis habiter à Voiron dans une tour de 15 étages, alors que nous avions une belle maison au soleil en Algérie .
Quelque temps après, nous sommes venus habiter dans un quartier (l'abbaye) à la mauvaise réputation. Face à toute cette insécurité, et à cause de tous les traumatismes subis, la peur, l'angoisse, l'insécurité, la mort, la violence avaient déjà fait leurs oeuvres. Face à tous ces dangers, mes parents ont créé un climat de surprotection pour ma vie. Ceci ne m'avait pas préparé à affronter le monde. Confronté à ces peurs, et pour surmonter les craintes, j'ai commencé à pratiquer les arts martiaux (le judo, puis le karaté, puis le tae kwon do). Je n'étais pas un garçon violent ni méchant, j'étais plutôt timide et réservé.
Face aux agressions à l'école, au lycée, au collège, je me suis entraîné dur pour ne pas me faire marcher sur les pieds et pour me faire respecter. (Dans ce monde, c'est la loi du plus fort, alors pour moi je serai le plus fort )
J'ai évolué dans les arts martiaux. Etant donné que je m'entraînais dur, j'ai gravi rapidement les marches pour arriver au grade de ceinture noire. Ensuite, j'ai créé un club, puis d'autres, et je suis arrivé au sommet de l'art martial en France. (On n'est jamais au sommet. Il y a toujours plus pour atteindre la perfection).
Sur le plan professionnel, j'avais une bonne situation dans l'industrie en tant qu'agent technique de normalisation, une sécurité d'emploi et un salaire convenable .
Deux de mes élèves assidus ont quitté spontanément le club sans aucune raison. Plus tard, j'ai appris qu'ils étaient devenus chrétiens, mais cela ne voulait rien dire pour moi. J'étais baptisé, j'avais fait ma communion privée et solennelle, j'étais donc Chrétien moi aussi. Et puis, si Dieu existait, pourquoi tous ces malheurs? Il ne fallait pas me parler de Dieu, surtout pas.
Des témoins de Jéhovah ont contribué à ma découverte de la vérité. Il est vrai qu'ils sont zélés pour leur doctrine. Je leur avais acheté une Bible pour qu'ils me laissent tranquille, et tous le samedis après-midi je lisais la Bible des témoins de Jéhovah. Chaque fois que je rencontrais le mot Jéhovah, je mettais Dieu à la place, c'était plus facile pour moi. Je me surprenais à dévorer la Bible, et souvent, je pleurais en lisant les histoires de Jésus. Il est merveilleux; comment pouvait-il faire du bien? Beaucoup de questions me venaient à l'esprit.
Ma passion était plus forte. Le TAE KWON DO était ma raison de vivre, j'étais quelqu'un, j'existais dans ce monde, j'avais un nom, j'avais une valeur, je n'étais pas seulement un numéro.
Un jour, j'ai rencontré cet ancien élève qui me parlait des démons, de Dieu. C'étais confus pour moi. Il insistait pour que je vienne dans son église. (Tu peux toujours insister, je ne viendrai pas). Deux ans ont passé, et puis je lui ai téléphoné: J.......... je viens dimanche au culte, mais attention, si tu n'es pas devant la porte, je m'en vais. J'étais très orgueilleux et fier comme un espagnol.
Je suis venu à l'église, et là un homme parlait de Jésus-Christ. Il a dit: Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que celui qui croit ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle. Puis il a demandé de prier en groupe, et là, avec mes deux anciens élèves, j'ai prié dans mon coeur.
J'ai dit à Dieu que je lui donnais ma vie, car je ne pouvais offrir en sacrifice la vie de mon enfant. Alors, je lui donnais la mienne en échange. (A l'époque, je ne savais pas si cela était très biblique, mais c'est comme ça que je l'ai dit ), et personne ne l'a entendu, car je priais dans mon coeur.
Rien ne s'est passé. Il n'y a pas eu de tremblement, rien. Je suis reparti comme j'étais venu (enfin presque).
Et puis les choses se sont précipitées. De nombreuses épreuves sont soudain arrivées, quelque chose était en train de se produire.
Ma passion m'avait entraîné dans un mauvais chemin.
Sur le plan familial, c'était la catastrophe. J'ai crié à Dieu s'il existait, je n'étais pas du tout sûr !
Au bord du désespoir, n'ayant plus rien à faire dans ce monde, j'avais décidé de mettre fin à mes jours.
Je me suis avancé sur le balcon pour me jeter dans le vide, quand soudain derrière moi une voix m'a dit: Ne fais pas ça !
Je me suis retourné pour voir qui me parlait, et instantanément ma vie a commencé à défiler devant mes yeux. Cela a duré je ne sais pas combien de temps, j'étais spectateur de ma propre vie. Quand tout a été fini, je me suis dit intérieurement: « Elle n'est pas belle ta vie. Qu'est-ce que je peux faire pour réparer cela ?"
Alors cette voix s'est à nouveau fait entendre : Rien, tu ne peux rien faire viens suis-moi.
Je ne savais pas que c'était Jésus qui me parlait. J'ai abandonné ma passion, j'ai arrêté toute ses pratiques. La délivrance avait commencé, ce n'était que le début.
La pratique des arts martiaux est dangereuse. La violence, la haine, la mort sont au centre même des arts martiaux.Ce n'est pas un sport. Je le répète, les conséquences peuvent vous entraîner au suicide, à la violence. Au bout de quelques années de pratique, votre esprit et votre corps peuvent être dominés par des puissances contre lesquelles vous ne pouvez lutter ni résister. Comme dit l'apôtre Paul, le mal que je ne veux pas faire je le fais.
J'ai crié à Dieu pour qu'il me délivre de tout cela, et ça n'a pas été très facile. La victoire sur la colère la violence, l'irritation demande des efforts de tous les jours,
Les conséquences de 17 années de pratique d'un art martial ne s'effacent pas en un jour, une année, il faut des années. Jésus l'a fait pour moi. Au bout de 12 ans, il m'a délivré, « il est le bon berger qui prend soin de sa brebis. »
La télévision, les médias présentent les pratiquants d'arts martiaux comme étant des justiciers. Ils se servent de leurs pratiques pour arrêter les méchants (c'est mettre du vernis sur du bois pourri). On croit que les pratiquants sont maîtres d'eux-mêmes, c'est faux : Ils sont maîtrisés par des puissances plus fortes qu'eux, qui leur font faire des choses mauvaises dont il ne peuvent être délivrés tout seuls.
Les esprits de violence, de colère, d'irritation, de maîtrise de soi sont bien intégrés dans leur esprit, et ils sont dominés par eux. Je le répète, en tant qu'ancien expert: Les arts martiaux sont dangereux pour votre santé morale, psychique, spirituelle. Votre vie familiale peut être détruite, votre santé aussi.
Le prix à payer est élevé pour atteindre les sommets de la gloire du monde, et je sais de quoi je parle. Seul Jésus peut nous libérer. Le meilleur chemin, c'est Jésus-Christ. Mon témoignage (pour toi qui le liras) a été fait dans ce but, C'est te parler de Jésus-Christ, le Sauveur des hommes. Jésus m'a libéré des chaînes qui me tenaient captif, Il m'a sauvé de la mort, Il m'a soutenu dans toutes mes épreuves, dans toutes mes défaites. Si je suis encore en vie, c'est grâce à lui aujourd'hui.
JESUS-CHRIST T'AIME
Il a payé le prix de mes péchés et de tes péchés aussi. Il veut prendre soin de toi, viens à lui. Il l'a fait pour moi, Il le fera pour toi. Il ne t'accuse pas, Il te comprend et Il t'aime. Je n'ai pas abandonné tout cela pour suivre un mauvais chemin, c'est pour suivre le Seigneur Jésus-Christ. Alors, si tu le veux, prie et demande à Jésus de te sauver et de te délivrer.
Que Dieu te bénisse. Ce témoignage est personnel.
C'est une discipline olympique.
C'est un sport de combat.
Les techniques sont spectaculaires, Les coups sont violents et dangereux.
Le ko de l'adversaire est la victoire du combat.
PALMARES SPORTIF
PROFESSEUR DIPLOME D'ETAT
CEINTURE NOIRE 3em DAN
VAINQUEUR DE LA COUPE DE FRANCE 1987
MEDAILLE DE BRONZE AUX INTERNATIONAUX DE FRANCE 1987
CHAMPION RHONES ALPES 1986
VICE CHAMPION DE FRANCE 1985
CHAMPION DE LIGUE DAUPHINE SAVOIE 1985
ARBITRE NATIONAL
Ex MEMBRE DE L'EQUIPE DE FRANCE
EX Membre du COT TKD comité national d'organisation du TKD France
Arbitre national
Ex Membre du Comité Organisation du TaeKwondo
Mon témoignage de conversion à Jésus-Christ en France
Je suis d'origine espagnole. Ma famille a quitté l'Espagne à cause de la pauvreté et du fascisme sous Franco, pour s'installer en Afrique du nord où je suis né.
A cause des évènements de la guerre d'Algérie, ma famille a dû tout abandonner pour venir en France. Cette période a certainement été assez dure, mais je n'en ai aucun souvenir, si ce n'est ce que m'ont raconté mes parents. Je n'étais qu'un enfant, mais déjà la peur, l'angoisse, la mort et l'insécurité étaient à l'oeuvre pour détruire ma vie.
Sans rien, nous nous sommes installés à Voreppe dans une maison où nous étions trois familles réunies. Nous n'avons pas été accueillis par la France, on nous accusait de venir manger le pain des français, de sales pieds noirs. Mon père a pu trouver un travail, et nous sommes partis habiter à Voiron dans une tour de 15 étages, alors que nous avions une belle maison au soleil en Algérie .
Quelque temps après, nous sommes venus habiter dans un quartier (l'abbaye) à la mauvaise réputation. Face à toute cette insécurité, et à cause de tous les traumatismes subis, la peur, l'angoisse, l'insécurité, la mort, la violence avaient déjà fait leurs oeuvres. Face à tous ces dangers, mes parents ont créé un climat de surprotection pour ma vie. Ceci ne m'avait pas préparé à affronter le monde. Confronté à ces peurs, et pour surmonter les craintes, j'ai commencé à pratiquer les arts martiaux (le judo, puis le karaté, puis le tae kwon do). Je n'étais pas un garçon violent ni méchant, j'étais plutôt timide et réservé.
Face aux agressions à l'école, au lycée, au collège, je me suis entraîné dur pour ne pas me faire marcher sur les pieds et pour me faire respecter. (Dans ce monde, c'est la loi du plus fort, alors pour moi je serai le plus fort )
J'ai évolué dans les arts martiaux. Etant donné que je m'entraînais dur, j'ai gravi rapidement les marches pour arriver au grade de ceinture noire. Ensuite, j'ai créé un club, puis d'autres, et je suis arrivé au sommet de l'art martial en France. (On n'est jamais au sommet. Il y a toujours plus pour atteindre la perfection).
Sur le plan professionnel, j'avais une bonne situation dans l'industrie en tant qu'agent technique de normalisation, une sécurité d'emploi et un salaire convenable .
Deux de mes élèves assidus ont quitté spontanément le club sans aucune raison. Plus tard, j'ai appris qu'ils étaient devenus chrétiens, mais cela ne voulait rien dire pour moi. J'étais baptisé, j'avais fait ma communion privée et solennelle, j'étais donc Chrétien moi aussi. Et puis, si Dieu existait, pourquoi tous ces malheurs? Il ne fallait pas me parler de Dieu, surtout pas.
Des témoins de Jéhovah ont contribué à ma découverte de la vérité. Il est vrai qu'ils sont zélés pour leur doctrine. Je leur avais acheté une Bible pour qu'ils me laissent tranquille, et tous le samedis après-midi je lisais la Bible des témoins de Jéhovah. Chaque fois que je rencontrais le mot Jéhovah, je mettais Dieu à la place, c'était plus facile pour moi. Je me surprenais à dévorer la Bible, et souvent, je pleurais en lisant les histoires de Jésus. Il est merveilleux; comment pouvait-il faire du bien? Beaucoup de questions me venaient à l'esprit.
Ma passion était plus forte. Le TAE KWON DO était ma raison de vivre, j'étais quelqu'un, j'existais dans ce monde, j'avais un nom, j'avais une valeur, je n'étais pas seulement un numéro.
Un jour, j'ai rencontré cet ancien élève qui me parlait des démons, de Dieu. C'étais confus pour moi. Il insistait pour que je vienne dans son église. (Tu peux toujours insister, je ne viendrai pas). Deux ans ont passé, et puis je lui ai téléphoné: J.......... je viens dimanche au culte, mais attention, si tu n'es pas devant la porte, je m'en vais. J'étais très orgueilleux et fier comme un espagnol.
Je suis venu à l'église, et là un homme parlait de Jésus-Christ. Il a dit: Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que celui qui croit ne périsse pas mais qu'il ait la vie éternelle. Puis il a demandé de prier en groupe, et là, avec mes deux anciens élèves, j'ai prié dans mon coeur.
J'ai dit à Dieu que je lui donnais ma vie, car je ne pouvais offrir en sacrifice la vie de mon enfant. Alors, je lui donnais la mienne en échange. (A l'époque, je ne savais pas si cela était très biblique, mais c'est comme ça que je l'ai dit ), et personne ne l'a entendu, car je priais dans mon coeur.
Rien ne s'est passé. Il n'y a pas eu de tremblement, rien. Je suis reparti comme j'étais venu (enfin presque).
Et puis les choses se sont précipitées. De nombreuses épreuves sont soudain arrivées, quelque chose était en train de se produire.
Ma passion m'avait entraîné dans un mauvais chemin.
Sur le plan familial, c'était la catastrophe. J'ai crié à Dieu s'il existait, je n'étais pas du tout sûr !
Au bord du désespoir, n'ayant plus rien à faire dans ce monde, j'avais décidé de mettre fin à mes jours.
Je me suis avancé sur le balcon pour me jeter dans le vide, quand soudain derrière moi une voix m'a dit: Ne fais pas ça !
Je me suis retourné pour voir qui me parlait, et instantanément ma vie a commencé à défiler devant mes yeux. Cela a duré je ne sais pas combien de temps, j'étais spectateur de ma propre vie. Quand tout a été fini, je me suis dit intérieurement: « Elle n'est pas belle ta vie. Qu'est-ce que je peux faire pour réparer cela ?"
Alors cette voix s'est à nouveau fait entendre : Rien, tu ne peux rien faire viens suis-moi.
Je ne savais pas que c'était Jésus qui me parlait. J'ai abandonné ma passion, j'ai arrêté toute ses pratiques. La délivrance avait commencé, ce n'était que le début.
La pratique des arts martiaux est dangereuse. La violence, la haine, la mort sont au centre même des arts martiaux.Ce n'est pas un sport. Je le répète, les conséquences peuvent vous entraîner au suicide, à la violence. Au bout de quelques années de pratique, votre esprit et votre corps peuvent être dominés par des puissances contre lesquelles vous ne pouvez lutter ni résister. Comme dit l'apôtre Paul, le mal que je ne veux pas faire je le fais.
J'ai crié à Dieu pour qu'il me délivre de tout cela, et ça n'a pas été très facile. La victoire sur la colère la violence, l'irritation demande des efforts de tous les jours,
Les conséquences de 17 années de pratique d'un art martial ne s'effacent pas en un jour, une année, il faut des années. Jésus l'a fait pour moi. Au bout de 12 ans, il m'a délivré, « il est le bon berger qui prend soin de sa brebis. »
La télévision, les médias présentent les pratiquants d'arts martiaux comme étant des justiciers. Ils se servent de leurs pratiques pour arrêter les méchants (c'est mettre du vernis sur du bois pourri). On croit que les pratiquants sont maîtres d'eux-mêmes, c'est faux : Ils sont maîtrisés par des puissances plus fortes qu'eux, qui leur font faire des choses mauvaises dont il ne peuvent être délivrés tout seuls.
Les esprits de violence, de colère, d'irritation, de maîtrise de soi sont bien intégrés dans leur esprit, et ils sont dominés par eux. Je le répète, en tant qu'ancien expert: Les arts martiaux sont dangereux pour votre santé morale, psychique, spirituelle. Votre vie familiale peut être détruite, votre santé aussi.
Le prix à payer est élevé pour atteindre les sommets de la gloire du monde, et je sais de quoi je parle. Seul Jésus peut nous libérer. Le meilleur chemin, c'est Jésus-Christ. Mon témoignage (pour toi qui le liras) a été fait dans ce but, C'est te parler de Jésus-Christ, le Sauveur des hommes. Jésus m'a libéré des chaînes qui me tenaient captif, Il m'a sauvé de la mort, Il m'a soutenu dans toutes mes épreuves, dans toutes mes défaites. Si je suis encore en vie, c'est grâce à lui aujourd'hui.
JESUS-CHRIST T'AIME
Il a payé le prix de mes péchés et de tes péchés aussi. Il veut prendre soin de toi, viens à lui. Il l'a fait pour moi, Il le fera pour toi. Il ne t'accuse pas, Il te comprend et Il t'aime. Je n'ai pas abandonné tout cela pour suivre un mauvais chemin, c'est pour suivre le Seigneur Jésus-Christ. Alors, si tu le veux, prie et demande à Jésus de te sauver et de te délivrer.
Que Dieu te bénisse. Ce témoignage est personnel.