Jésus guérit
Je suis née dans un foyer chrétien, craignant Dieu et vivant sa foi tous les jours. J'ai donc eu « l'habitude » de voir des choses extraordinaires se produire dans notre famille et au sein de notre église locale. C'est tout naturellement que j'ai décidé de suivre Jésus lorsqu'il m'a fallu faire un choix.
Quelques années plus tard, je me suis mariée, et j'ai eu mon premier fils à 20 ans. J'étais donc une toute jeune maman, quand j'ai vécu cette expérience que j'ai nommée «l'épreuve de la foi».
Mon bébé avait trois mois, lorsqu'un beau matin, je me suis aperçue qu'il avait une grosseur à l'aine, de la taille d'un oeuf de pigeon. Je reconnais avoir un peu paniqué, et j'ai rapidement appelé le médecin. Il a diagnostiqué un kyste du cordon spermatique. Il a fait confirmer son analyse par une échographie. Puis, il a pris rendez-vous pour nous chez un chirurgien, car il fallait opérer rapidement. Le chirurgien nous a donné une date pour l'intervention, et nous sommes rentrés chez nous. Tout est allé si vite que nous n'avons pas eu le temps de réfléchir à quoi que ce soit.
Mais une fois chez moi, j'ai réalisé qu'on allait opérer mon petit bébé de trois mois, et ça, je n'étais pas du tout prête à l'accepter. C'est alors que j'ai crié à Dieu. Il était impossible qu'on touche à mon bébé si fragile !
Dieu, dans Son amour infini, a répondu à ma prière, Il a compris ma détresse, et Il m'a exaucée. Dans les jours qui ont suivi, le kyste s'est mis à diminuer, jusqu'à disparaître complètement au bout d'une semaine. Quelle joie fut la mienne de constater la guérison de mon fils ! Nous avons annulé le rendez-vous du chirurgien, qui a été étonné d'apprendre que ce kyste avait pu « partir » sans intervention de sa part.
Quinze jours plus tard, alors que nous avions presque oublié cette aventure, la réalité « visuelle » vint se manifester. Mon fils avait à nouveau une grosseur au même endroit, mais plus petite cette fois. J'ai été tentée, l'espace d'un instant, de désespérer et de penser que Dieu n'avait agi qu'à moitié. Mais je me suis souvenue de Ses promesses auxquelles Il ne faillit jamais.
Malgré ce qui semblait être évident pour mes yeux humains, mes yeux de la foi devaient voir plus loin, par-dessus l'obstacle. Ce verset de la Bible : « Car la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas» me montrait que la foi espère contre toute espérance, et je devais prendre cette victoire sur ce que je voyais.
J'ai donc prié Dieu, en m'appuyant sur cette promesse, et je L'ai remercié pour la guérison entière et complète qu'Il avait opérée dans le corps de mon fils quinze jours auparavant. J'ai reçu la conviction que mon bébé ne serait pas opéré, et qu'il était guéri. Effectivement, dans les jours qui ont suivi, le kyste est reparti comme il était venu pour ne plus jamais réapparaître.
J'ai appris, lors de cette épreuve de ma foi, à faire confiance à Dieu même si les apparences sont contraires, car je sais que Jésus m'aime. Dieu honore toujours la foi de celui qui crie à Lui.
Quelques années plus tard, je me suis mariée, et j'ai eu mon premier fils à 20 ans. J'étais donc une toute jeune maman, quand j'ai vécu cette expérience que j'ai nommée «l'épreuve de la foi».
Mon bébé avait trois mois, lorsqu'un beau matin, je me suis aperçue qu'il avait une grosseur à l'aine, de la taille d'un oeuf de pigeon. Je reconnais avoir un peu paniqué, et j'ai rapidement appelé le médecin. Il a diagnostiqué un kyste du cordon spermatique. Il a fait confirmer son analyse par une échographie. Puis, il a pris rendez-vous pour nous chez un chirurgien, car il fallait opérer rapidement. Le chirurgien nous a donné une date pour l'intervention, et nous sommes rentrés chez nous. Tout est allé si vite que nous n'avons pas eu le temps de réfléchir à quoi que ce soit.
Mais une fois chez moi, j'ai réalisé qu'on allait opérer mon petit bébé de trois mois, et ça, je n'étais pas du tout prête à l'accepter. C'est alors que j'ai crié à Dieu. Il était impossible qu'on touche à mon bébé si fragile !
Dieu, dans Son amour infini, a répondu à ma prière, Il a compris ma détresse, et Il m'a exaucée. Dans les jours qui ont suivi, le kyste s'est mis à diminuer, jusqu'à disparaître complètement au bout d'une semaine. Quelle joie fut la mienne de constater la guérison de mon fils ! Nous avons annulé le rendez-vous du chirurgien, qui a été étonné d'apprendre que ce kyste avait pu « partir » sans intervention de sa part.
Quinze jours plus tard, alors que nous avions presque oublié cette aventure, la réalité « visuelle » vint se manifester. Mon fils avait à nouveau une grosseur au même endroit, mais plus petite cette fois. J'ai été tentée, l'espace d'un instant, de désespérer et de penser que Dieu n'avait agi qu'à moitié. Mais je me suis souvenue de Ses promesses auxquelles Il ne faillit jamais.
Malgré ce qui semblait être évident pour mes yeux humains, mes yeux de la foi devaient voir plus loin, par-dessus l'obstacle. Ce verset de la Bible : « Car la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas» me montrait que la foi espère contre toute espérance, et je devais prendre cette victoire sur ce que je voyais.
J'ai donc prié Dieu, en m'appuyant sur cette promesse, et je L'ai remercié pour la guérison entière et complète qu'Il avait opérée dans le corps de mon fils quinze jours auparavant. J'ai reçu la conviction que mon bébé ne serait pas opéré, et qu'il était guéri. Effectivement, dans les jours qui ont suivi, le kyste est reparti comme il était venu pour ne plus jamais réapparaître.
J'ai appris, lors de cette épreuve de ma foi, à faire confiance à Dieu même si les apparences sont contraires, car je sais que Jésus m'aime. Dieu honore toujours la foi de celui qui crie à Lui.