Interview d'Ismaël qui a rencontré Jésus
PAT:Ismaël, pouvez vous nous raconter dans quelles circonstances vous avez fait cette extraordinaire rencontre avec Jésus ?
ISMAEL : Je suis venu du Maroc en France pour faire mes études, et j'ai persévéré dans la pratique de l'Islam. Je pratiquais le ramadan en France, et j'ai continué dans cette religion que je croyais être le seul chemin du salut et du respect de l'autorité divine.
PAT : C'est au contact des étudiants français que vous avez connu l'Evangile ?
ISMAEL : Je faisais des études de pharmacie, et c'est à l'occasion d'un stage au milieu des handicapés. Ce centre était une véritable casse humaine. Il y avait beaucoup de jeunes, et j'ai été très impressionné. C'est alors que j'ai sympathisé avec un jeune tétraplégique qui était professeur d'anglais. A 18 ans, il avait fait un plongeon dans une piscine, et il s'était coupé la moelle épinière. Il était devenu complètement paralysé. Nous avions de grandes conversations sur le sens de la vie, et je me suis aperçu que, malgré le fait que j'étais en bonne santé, je n'avais pas trouvé le sens de ma vie. Mon ami avait un handicap visible, mais j'étais aussi handicapé intérieurement. Nous discutions tous les deux, et étions d'accord sur le fait que beaucoup de choses dans ce monde étaient douloureuses, et que notre vie à tous se terminerait par la mort, ce qui n'était pas réjouissant. La religion musulmane ne m'avait apporté aucune réponse sur la mort.
PAT: L'Islam était il le centre de votre vie ?
ISMAEL : La religion musulmane était pour moi un fil conducteur, me permettant de voir dans ma vie ce qui était bien ou mal. Nous avions des devoirs à accomplir pour être en règle avec Dieu. Après, on pouvait se poser certaines questions. Pour moi, Dieu avait fait que je rencontre cet ami pour réfléchir sur le problème de la souffrance. Cet ami avait 18 ans, il était privé de tout ses membres, il fumait 2 paquets de cigarettes par jour, ce qui était pour lui une méthode douce de suicide.
PAT : Avec cet am, tout vous séparait: le handicap, la culture, la religion, mais en fin de compte vous vous posiez fondamentalement les mêmes questions. ISMAEL : Le Coran donne des réponses, mais non des certitudes. Dieu jugera les bonnes et les mauvaises actions, mais aucun musulman ne peut avoir l'assurance d'aller au paradis .
PAT : Alors, comment avez vous résolu toutes ces questions ?
ISMAEL : Je n'ai rien résolu, sinon j'aurais trouvé avant. Mais je suis revenu voir cet ami, et il avait changé. Il ne fumait plus, il souriait, il était métamorphosé. Il s'était convert, il avait fait une rencontre avec Jésus, mais il n'avait pas osé me le dire. Comme je l'ai vu transformé, je me suis dit que je ne devais pas pratiquer assez bien l'Islam, et qu'il fallait que je le fasse à fond.
Un soir ,des chrétiens m'ont invité à manger avec des amis. Ils n'ont pas osé s'adresser à moi. Ils parlaient entre eux, et pendant qu'il parlaient, il y avait une grande sérénité, et je me sentais de plus en plus sale. Ils parlaient avec assurance du retour du Seigneur, disant que le diable avait perdu la bataille, et que Dieu allait rétablir toutes choses. Malgré ce discours qui me paraissait assez naïf, j'ai compris une chose, c'est qu'ils avaient la foi, et que moi je ne l'avais pas. La soirée a pris fin. Je me sentais très mal, alors qu'ils avaient l'air très heureux, et ils m'ont conseillé de me convertir. J'ai dit merci; je suis rentré dans ma chambre, et je n'arrivais pas à me concentrer sur mes études. J'ai ouvert la fenêtre, et j'ai parlé à Dieu. J'ai dit:" Dieu, si tu existes, donne-moi cette paix, cette sérénité, sinon c'est plus la peine". Je me sentais sec, misérable. Je me suis mis à pleurer, et je suis resté là, jusqu'à 3 heures du matin.
Et là, le Seigneur Jésus m'est apparu. J'ai reconnu que c'était Jésus, mais j'ai dit: Non ! J'ai appelé Dieu, mais pas Jésus, pour moi ce n'est qu'un prophète. Lui me souriait, puis il s'est transformé, et il est entré en moi des pieds jusqu'à la tête. Je me suis débattu: Non ! Je ne veux pas Jésus, je veux Dieu ! Alors Jésus est sorti, comme quand on enlève un gant, et j'ai dit: Eh bien ! Si c'est par Jésus qu'on peut connaître Dieu, je veux bien. Alors Jésus m'a souri, il s'est transformé, il est rentré en moi, et n'est plus jamais ressorti. Pendant 3 jours j'étais mal, je me sentais sale, mal convaincu d'être un pécheur. Et puis la joie, la paix sont venues. Toutes ces expériences, je les ai vécues seul.
PAT : Je pense que votre foi ne repose pas uniquement sur cette expérience ?
ISMAEL : Non, bien sûr. J'avais déjà lu le Coran et la Bible, et trouvé des différences énormes. Mais je n'avais plus aucune confiance ni en l'homme ni dans les livres. Après cette expérience, j'avais décidé de lire 30mn le Coran et 30mn la Bible avant de me mettre à étudier. Mais rapidement, j'étais fatigué de lire le Coran au bout de 5mn, et je dévorais la Bible toute la soirée, au point que j'en arrivais à oublier d'étudier. J'ai compris que ce livre, la Bible, répondait à mes aspirations les plus profondes. J'ai compris que le même Saint-Esprit qui était en moi était celui qui avait inspiré la Bible. Le Coran était toujours sur ma table de chevet, mais je ne pouvais plus le toucher. La Bible ne me quittait plus, Jésus m'avait libéré du péché, et je pouvais comprendre par révélation tout ce qu'elle contenait. J'ai compris que, quelle que soit notre religion donnée par nos parents, Dieu veut se faire connaître individuellement à chacun d'entre nous, et que même les enfants de chrétiens doivent avoir leur expérience personnelle.
PAT : Comment aider ceux qui nous lisent à faire cette expérience ?
ISMAEL : Avec Dieu, il faut être sincère et honnête. Il faut être vrai et dire : Dieu, si tu existes, fais-toi connaître à moi. Le projet de Dieu n'est pas d'enfermer les gens dans un système, dans une religion, mais il t'aime personnellement, et désire se révéler à toi personnellement. Il te connaît par ton nom, et désire te parler personnellement. Mais tu es libre de choisir et de t'ouvrir à ce Dieu qui t'aime. Le vrai bonheur, la vraie liberté, c'est de savoir que ses péchés sont pardonnés. Personne ne peut par ses propres forces expier ses péchés. Mais c'est Jésus, mourant sur la croix, qui expie tes péchés. C'est lui qui paye à ta place la dette que tu as envers Dieu. Jésus, lui seul, a pu te racheter, car il était saint et parfait . Mais tu es libre d'accepter Jésus, le cadeau que Dieu te donne, ou de le refuser. Dieu ne te forcera pas. Et si tu te poses sérieusement la question, demandant à Dieu de se révéler à toi, Dieu va te répondre par la puissance de son Saint-Esprit, et tu vas être touché. Même si tu es dans des ennuis pas possibles, prisonnier de vices ou de drogues, Dieu a la puissance de te libérer. Que la puissance du Saint-Esprit maintenant vienne sur toi, t'apporte la révélation de la personne de Jésus, la libération de tes péchés et de tes oppressions, et la guérison pour ton corps. Amen.
ISMAEL : Je suis venu du Maroc en France pour faire mes études, et j'ai persévéré dans la pratique de l'Islam. Je pratiquais le ramadan en France, et j'ai continué dans cette religion que je croyais être le seul chemin du salut et du respect de l'autorité divine.
PAT : C'est au contact des étudiants français que vous avez connu l'Evangile ?
ISMAEL : Je faisais des études de pharmacie, et c'est à l'occasion d'un stage au milieu des handicapés. Ce centre était une véritable casse humaine. Il y avait beaucoup de jeunes, et j'ai été très impressionné. C'est alors que j'ai sympathisé avec un jeune tétraplégique qui était professeur d'anglais. A 18 ans, il avait fait un plongeon dans une piscine, et il s'était coupé la moelle épinière. Il était devenu complètement paralysé. Nous avions de grandes conversations sur le sens de la vie, et je me suis aperçu que, malgré le fait que j'étais en bonne santé, je n'avais pas trouvé le sens de ma vie. Mon ami avait un handicap visible, mais j'étais aussi handicapé intérieurement. Nous discutions tous les deux, et étions d'accord sur le fait que beaucoup de choses dans ce monde étaient douloureuses, et que notre vie à tous se terminerait par la mort, ce qui n'était pas réjouissant. La religion musulmane ne m'avait apporté aucune réponse sur la mort.
PAT: L'Islam était il le centre de votre vie ?
ISMAEL : La religion musulmane était pour moi un fil conducteur, me permettant de voir dans ma vie ce qui était bien ou mal. Nous avions des devoirs à accomplir pour être en règle avec Dieu. Après, on pouvait se poser certaines questions. Pour moi, Dieu avait fait que je rencontre cet ami pour réfléchir sur le problème de la souffrance. Cet ami avait 18 ans, il était privé de tout ses membres, il fumait 2 paquets de cigarettes par jour, ce qui était pour lui une méthode douce de suicide.
PAT : Avec cet am, tout vous séparait: le handicap, la culture, la religion, mais en fin de compte vous vous posiez fondamentalement les mêmes questions. ISMAEL : Le Coran donne des réponses, mais non des certitudes. Dieu jugera les bonnes et les mauvaises actions, mais aucun musulman ne peut avoir l'assurance d'aller au paradis .
PAT : Alors, comment avez vous résolu toutes ces questions ?
ISMAEL : Je n'ai rien résolu, sinon j'aurais trouvé avant. Mais je suis revenu voir cet ami, et il avait changé. Il ne fumait plus, il souriait, il était métamorphosé. Il s'était convert, il avait fait une rencontre avec Jésus, mais il n'avait pas osé me le dire. Comme je l'ai vu transformé, je me suis dit que je ne devais pas pratiquer assez bien l'Islam, et qu'il fallait que je le fasse à fond.
Un soir ,des chrétiens m'ont invité à manger avec des amis. Ils n'ont pas osé s'adresser à moi. Ils parlaient entre eux, et pendant qu'il parlaient, il y avait une grande sérénité, et je me sentais de plus en plus sale. Ils parlaient avec assurance du retour du Seigneur, disant que le diable avait perdu la bataille, et que Dieu allait rétablir toutes choses. Malgré ce discours qui me paraissait assez naïf, j'ai compris une chose, c'est qu'ils avaient la foi, et que moi je ne l'avais pas. La soirée a pris fin. Je me sentais très mal, alors qu'ils avaient l'air très heureux, et ils m'ont conseillé de me convertir. J'ai dit merci; je suis rentré dans ma chambre, et je n'arrivais pas à me concentrer sur mes études. J'ai ouvert la fenêtre, et j'ai parlé à Dieu. J'ai dit:" Dieu, si tu existes, donne-moi cette paix, cette sérénité, sinon c'est plus la peine". Je me sentais sec, misérable. Je me suis mis à pleurer, et je suis resté là, jusqu'à 3 heures du matin.
Et là, le Seigneur Jésus m'est apparu. J'ai reconnu que c'était Jésus, mais j'ai dit: Non ! J'ai appelé Dieu, mais pas Jésus, pour moi ce n'est qu'un prophète. Lui me souriait, puis il s'est transformé, et il est entré en moi des pieds jusqu'à la tête. Je me suis débattu: Non ! Je ne veux pas Jésus, je veux Dieu ! Alors Jésus est sorti, comme quand on enlève un gant, et j'ai dit: Eh bien ! Si c'est par Jésus qu'on peut connaître Dieu, je veux bien. Alors Jésus m'a souri, il s'est transformé, il est rentré en moi, et n'est plus jamais ressorti. Pendant 3 jours j'étais mal, je me sentais sale, mal convaincu d'être un pécheur. Et puis la joie, la paix sont venues. Toutes ces expériences, je les ai vécues seul.
PAT : Je pense que votre foi ne repose pas uniquement sur cette expérience ?
ISMAEL : Non, bien sûr. J'avais déjà lu le Coran et la Bible, et trouvé des différences énormes. Mais je n'avais plus aucune confiance ni en l'homme ni dans les livres. Après cette expérience, j'avais décidé de lire 30mn le Coran et 30mn la Bible avant de me mettre à étudier. Mais rapidement, j'étais fatigué de lire le Coran au bout de 5mn, et je dévorais la Bible toute la soirée, au point que j'en arrivais à oublier d'étudier. J'ai compris que ce livre, la Bible, répondait à mes aspirations les plus profondes. J'ai compris que le même Saint-Esprit qui était en moi était celui qui avait inspiré la Bible. Le Coran était toujours sur ma table de chevet, mais je ne pouvais plus le toucher. La Bible ne me quittait plus, Jésus m'avait libéré du péché, et je pouvais comprendre par révélation tout ce qu'elle contenait. J'ai compris que, quelle que soit notre religion donnée par nos parents, Dieu veut se faire connaître individuellement à chacun d'entre nous, et que même les enfants de chrétiens doivent avoir leur expérience personnelle.
PAT : Comment aider ceux qui nous lisent à faire cette expérience ?
ISMAEL : Avec Dieu, il faut être sincère et honnête. Il faut être vrai et dire : Dieu, si tu existes, fais-toi connaître à moi. Le projet de Dieu n'est pas d'enfermer les gens dans un système, dans une religion, mais il t'aime personnellement, et désire se révéler à toi personnellement. Il te connaît par ton nom, et désire te parler personnellement. Mais tu es libre de choisir et de t'ouvrir à ce Dieu qui t'aime. Le vrai bonheur, la vraie liberté, c'est de savoir que ses péchés sont pardonnés. Personne ne peut par ses propres forces expier ses péchés. Mais c'est Jésus, mourant sur la croix, qui expie tes péchés. C'est lui qui paye à ta place la dette que tu as envers Dieu. Jésus, lui seul, a pu te racheter, car il était saint et parfait . Mais tu es libre d'accepter Jésus, le cadeau que Dieu te donne, ou de le refuser. Dieu ne te forcera pas. Et si tu te poses sérieusement la question, demandant à Dieu de se révéler à toi, Dieu va te répondre par la puissance de son Saint-Esprit, et tu vas être touché. Même si tu es dans des ennuis pas possibles, prisonnier de vices ou de drogues, Dieu a la puissance de te libérer. Que la puissance du Saint-Esprit maintenant vienne sur toi, t'apporte la révélation de la personne de Jésus, la libération de tes péchés et de tes oppressions, et la guérison pour ton corps. Amen.