Ingénieur au CNRS, il a rencontré le créateur
Né en 1952, je ne savais pas que les yeux de Dieu étaient sur moi. J'étais un enfant surdoué. A 4 ans, je lisais couramment, et je faisais les opérations courantes de tous les nombres. On m'a fait sauter plusieurs classes, et je suis arrivé à l'âge de 9 ans en 6ème.
J'ai eu une éducation très stricte. Je ne pouvais trouver Dieu dans cette éducation moralisante. Cependant, les questions métaphysiques ont toujours été au plus profond de mon coeur :
Qu'est-ce que je suis ?
Pourquoi suis-je né ?
Pourquoi est-ce que je vis ?
Pourquoi la mort ?
Pourquoi la souffrance ?
Je n'avais aucune réponse à ces questions. Je savais au plus profond de moi-même que la vie, telle qu'elle est sur cette terre, ne pouvait être une fin en soi. Pour moi, enfant, la mort appartenait au monde des adultes. Je me savais cependant mortel, et j'ai grandi avec ces questions essentielles, que tout homme se pose à un moment de sa vie.
A l'âge de 9 ans et malgré ces questions dans mon coeur, la vie commençait à me sourire. Lorsque j'ai pris conscience de mon excellence en mathématiques, puis en physique, je me suis dit : " La réponse est là, la science me donnera cette réponse ". A 27 ans, j'étais jeune chercheur au CNRS, finissant ma thèse de docteur ingénieur. Là, j'ai conclu, à force de tous les raisonnements possibles, que je ne pouvais pas expliquer le pourquoi des choses par la science : " La science n'est que la réponse au comment des choses, elle ne peut pas répondre au pourquoi ".
Donnons l'exemple de la loi de gravitation. La science établit les lois qui régissent cette attraction, mais pourquoi la loi de la gravitation existe-t-elle ? A ce pourquoi, aucun scientifique ne donnera la solution, car il n'y a pas de réponse fondamentale au sens existentiel des choses.
Un jour, alors que je regardais par la fenêtre de mon laboratoire les montagnes qui entourent Grenoble, une pensée s'est imposée à moi : " Il y a une énergie supérieure qui a tout créé ". Cependant, cette énergie je ne la connaissais pas, car j'étais un être "jeté" dans l'univers, dans l'évolution universelle, et à cause des sciences qui m'entraînaient vers quelque chose de supérieur, cette énergie-là ne pouvait pas entrer en contact avec moi.
J'ai continué ainsi, mais il y avait une insatisfaction dans mon coeur due à ce semblant de réponse. Ce n'est que 3 années plus tard, en février 82, que j'ai rencontré une jeune fille chrétienne. Isabelle est devenue mon épouse par la suite. De cette personne émanait quelque chose de beaucoup plus profond que ce que j'avais éprouvé auparavant. II y avait comme une lumière, une paix qui rayonnait de sa vie, alors qu'elle ne m'avait rien dit sur sa foi chrétienne. Puis, nos chemins se sont séparés, mais, bien entendu, je lui avais laissé entendre que je prenais régulièrement un café à la faculté des lettres, où j'aimais aller discuter avec les hommes de lettres, les philosophes, les psychologues que j'y rencontrais.
En juin 82, Isabelle est venue m'y retrouver, conduite par l'Esprit de Dieu : " II faut que tu retrouves ce jeune homme, il faut que tu lui parles de moi ". Arrivée à proximité, elle s'est adressée à moi et m'a dit : " Est-ce que vous me reconnaissez, M. Christian Pellone ? " - " Oui bien sûr, je vous reconnais, nous nous sommes rencontrés il y a quelques mois ". " Je ne suis pas venue pour vous voir aujourd'hui, mais pour vous annoncer que Jésus-Christ est vivant, et que malgré toutes vos capacités intellectuelles, malgré toutes vos connaissances, vous avez besoin de Jésus-Christ dans votre vie. Malgré votre vie très droite, malgré votre vie très morale, vous êtes un homme pécheur comme tous les autres, parce que vous êtes né d'un homme et d'une femme qui viennent d'Adam et Eve et qui ont vécu la désobéissance ".
Je l'ai arrêtée net, car j'avais conclu quelques années auparavant que ce Dieu ne pouvait pas entrer en contact avec moi. Elle a respecté ce que je disais, et nous avons continué à nous rencontrer. Ce qui me touchait le plus, c'est que pendant les temps de silence de nos rencontres, elle sortait de son sac une petite Bible. Ce livre m'intriguait et me travaillait. Je ne l'avais jamais lu, et intellectuellement je voulais détruire cette parole, car pour moi elle était "antiscientifique".
Cependant ma conscience m'interdisait de la juger. Une pensée s'imposait à moi avec ces mots : " Christian, tu n'as pas le droit de juger ce livre, parce que tu ne te permettrais pas de juger des copies d'étudiants, tu ne te permettrais pas de juger des publications d'autres chercheurs, si tu ne les avais pas lues au préalable, si tu ne prenais pas connaissance de leur contenu ".
Cette voix intérieure me bloquait et m'énervait quelque part. J'étais pris au piège de mon honnêteté. Un jour qu'Isabelle sortait encore cette Bible de son sac, je lui al demandé de me la laisser. J'avais une envie subite de découvrir ce qu'il y avait dedans. Je n'ai jamais vu son visage aussi radieux, aussi joyeux. Déjà, elle me donnait des conseils pour commencer par le Nouveau Testament, car elle avait peur qu'en tant que physicien je sois choqué par le récit de la création. Je lui ai dit : " Écoute, un livre, je le commence par le commencement ".
Ce même soir, les premiers mots de la Bible -" Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre " - me sautèrent aux yeux. Ils étaient la réponse à toutes mes questions. Ah ! Que cela m'intéressait en tant que scientifique !
Si Dieu ne donne aucune justification au pourquoi des choses, c'est que c'est Lui qui les a créées, c'est le Dieu à qui rien n'est impossible, c'est le Dieu surnaturel qui est capable d'intervenir dans le naturel. Et j'ai dévoré la Bible ; en 3 jours, j'étais au milieu du Lévitique. J'avais trouvé magnifique le peuple de Dieu en train de traverser cette mer, et la puissance de Dieu qui maintenait les parois d'eau pendant que le peuple passait. II n'y a pas de problème puisque Dieu est Dieu ; II peut intervenir à tout instant dans ta vie et la bouleverser ; II est capable d'arrêter le soleil, de bouleverser l'univers entier, car c'est Lui le Créateur.
C'est à ce moment-là que je me suis souvenu des paroles d'Isabelle me parlant de Jésus-Christ, de ses paroles d'amour, de vie, des paroles merveilleuses. J'ai lu alors les évangiles, et j'ai fait la première prière de ma vie : " Toi là-haut, je ne te connais pas. II y a quelques années, j'ai conclu que tu étais une énergie supérieure inaccessible et qui a tout créé. Mais si tu es Dieu -Père d'Abraham, d'Isaac et de Jacob- si tu es le Dieu qui s'est incarné en Jésus-Christ, si tu es trois fois Saint (Père, Fils, St-Esprit) alors moi je suis un simple homme "jeté" dans cet univers. Alors, s'il te plaît, fais-toi connaître à moi, et je te servirai, je te donnerai toute ma vie et je témoignerai pour toi ".
Ce que je ne savais pas, c'est que Dieu allait me répondre, en la personne de Jésus-Christ, 15 jours après. Le 8 août 82, le St-Esprit est descendu vers moi. Une lumière vive brillait devant moi, dans mon corps, dans mon âme ou dans mon esprit, je ne sais ? C'était tout mon être qui était en train de naître de lui. Mon corps, mon âme, mon esprit étaient enflammés. J'étais à genoux alors que je ne savais rien de tout cela, je ne connaissais pas Jésus-Christ, et là devant cette "splendeur blanche", j'ai entendu une voix non audible, mais une voix d'autorité qui m'appelait par mon prénom : "Christian" -j'étais déjà écroulé par terre- " tu m'as demandé si j'étais le Dieu des juifs, je te réponds : Je suis le Dieu Père d'Abraham, d'Isaac et Jacob. Tu m'as demandé si j'étais le Dieu incarné en Jésus-Christ : Je suis le Dieu de la Bible, et cette splendeur blanche qui est devant toi, c'est mon Fils qui est saint, qui est pur, qui est mort pour toi. Et le point noir que tu vois sur cette splendeur blanche, c'est ta vie. Toi, fils de bonne famille, toi qui te crois sans faute, toi qui te crois parfait aux yeux des hommes, face à Ma Sainteté, tu es noir ".
Là, j'ai pleuré comme un enfant, comme un gamin, pendant des heures. Et j'ai dit : " Seigneur, je crois et je te donne toute ma vie, fais ce que tu veux de moi ".
J'ai eu une éducation très stricte. Je ne pouvais trouver Dieu dans cette éducation moralisante. Cependant, les questions métaphysiques ont toujours été au plus profond de mon coeur :
Qu'est-ce que je suis ?
Pourquoi suis-je né ?
Pourquoi est-ce que je vis ?
Pourquoi la mort ?
Pourquoi la souffrance ?
Je n'avais aucune réponse à ces questions. Je savais au plus profond de moi-même que la vie, telle qu'elle est sur cette terre, ne pouvait être une fin en soi. Pour moi, enfant, la mort appartenait au monde des adultes. Je me savais cependant mortel, et j'ai grandi avec ces questions essentielles, que tout homme se pose à un moment de sa vie.
A l'âge de 9 ans et malgré ces questions dans mon coeur, la vie commençait à me sourire. Lorsque j'ai pris conscience de mon excellence en mathématiques, puis en physique, je me suis dit : " La réponse est là, la science me donnera cette réponse ". A 27 ans, j'étais jeune chercheur au CNRS, finissant ma thèse de docteur ingénieur. Là, j'ai conclu, à force de tous les raisonnements possibles, que je ne pouvais pas expliquer le pourquoi des choses par la science : " La science n'est que la réponse au comment des choses, elle ne peut pas répondre au pourquoi ".
Donnons l'exemple de la loi de gravitation. La science établit les lois qui régissent cette attraction, mais pourquoi la loi de la gravitation existe-t-elle ? A ce pourquoi, aucun scientifique ne donnera la solution, car il n'y a pas de réponse fondamentale au sens existentiel des choses.
Un jour, alors que je regardais par la fenêtre de mon laboratoire les montagnes qui entourent Grenoble, une pensée s'est imposée à moi : " Il y a une énergie supérieure qui a tout créé ". Cependant, cette énergie je ne la connaissais pas, car j'étais un être "jeté" dans l'univers, dans l'évolution universelle, et à cause des sciences qui m'entraînaient vers quelque chose de supérieur, cette énergie-là ne pouvait pas entrer en contact avec moi.
J'ai continué ainsi, mais il y avait une insatisfaction dans mon coeur due à ce semblant de réponse. Ce n'est que 3 années plus tard, en février 82, que j'ai rencontré une jeune fille chrétienne. Isabelle est devenue mon épouse par la suite. De cette personne émanait quelque chose de beaucoup plus profond que ce que j'avais éprouvé auparavant. II y avait comme une lumière, une paix qui rayonnait de sa vie, alors qu'elle ne m'avait rien dit sur sa foi chrétienne. Puis, nos chemins se sont séparés, mais, bien entendu, je lui avais laissé entendre que je prenais régulièrement un café à la faculté des lettres, où j'aimais aller discuter avec les hommes de lettres, les philosophes, les psychologues que j'y rencontrais.
En juin 82, Isabelle est venue m'y retrouver, conduite par l'Esprit de Dieu : " II faut que tu retrouves ce jeune homme, il faut que tu lui parles de moi ". Arrivée à proximité, elle s'est adressée à moi et m'a dit : " Est-ce que vous me reconnaissez, M. Christian Pellone ? " - " Oui bien sûr, je vous reconnais, nous nous sommes rencontrés il y a quelques mois ". " Je ne suis pas venue pour vous voir aujourd'hui, mais pour vous annoncer que Jésus-Christ est vivant, et que malgré toutes vos capacités intellectuelles, malgré toutes vos connaissances, vous avez besoin de Jésus-Christ dans votre vie. Malgré votre vie très droite, malgré votre vie très morale, vous êtes un homme pécheur comme tous les autres, parce que vous êtes né d'un homme et d'une femme qui viennent d'Adam et Eve et qui ont vécu la désobéissance ".
Je l'ai arrêtée net, car j'avais conclu quelques années auparavant que ce Dieu ne pouvait pas entrer en contact avec moi. Elle a respecté ce que je disais, et nous avons continué à nous rencontrer. Ce qui me touchait le plus, c'est que pendant les temps de silence de nos rencontres, elle sortait de son sac une petite Bible. Ce livre m'intriguait et me travaillait. Je ne l'avais jamais lu, et intellectuellement je voulais détruire cette parole, car pour moi elle était "antiscientifique".
Cependant ma conscience m'interdisait de la juger. Une pensée s'imposait à moi avec ces mots : " Christian, tu n'as pas le droit de juger ce livre, parce que tu ne te permettrais pas de juger des copies d'étudiants, tu ne te permettrais pas de juger des publications d'autres chercheurs, si tu ne les avais pas lues au préalable, si tu ne prenais pas connaissance de leur contenu ".
Cette voix intérieure me bloquait et m'énervait quelque part. J'étais pris au piège de mon honnêteté. Un jour qu'Isabelle sortait encore cette Bible de son sac, je lui al demandé de me la laisser. J'avais une envie subite de découvrir ce qu'il y avait dedans. Je n'ai jamais vu son visage aussi radieux, aussi joyeux. Déjà, elle me donnait des conseils pour commencer par le Nouveau Testament, car elle avait peur qu'en tant que physicien je sois choqué par le récit de la création. Je lui ai dit : " Écoute, un livre, je le commence par le commencement ".
Ce même soir, les premiers mots de la Bible -" Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre " - me sautèrent aux yeux. Ils étaient la réponse à toutes mes questions. Ah ! Que cela m'intéressait en tant que scientifique !
Si Dieu ne donne aucune justification au pourquoi des choses, c'est que c'est Lui qui les a créées, c'est le Dieu à qui rien n'est impossible, c'est le Dieu surnaturel qui est capable d'intervenir dans le naturel. Et j'ai dévoré la Bible ; en 3 jours, j'étais au milieu du Lévitique. J'avais trouvé magnifique le peuple de Dieu en train de traverser cette mer, et la puissance de Dieu qui maintenait les parois d'eau pendant que le peuple passait. II n'y a pas de problème puisque Dieu est Dieu ; II peut intervenir à tout instant dans ta vie et la bouleverser ; II est capable d'arrêter le soleil, de bouleverser l'univers entier, car c'est Lui le Créateur.
C'est à ce moment-là que je me suis souvenu des paroles d'Isabelle me parlant de Jésus-Christ, de ses paroles d'amour, de vie, des paroles merveilleuses. J'ai lu alors les évangiles, et j'ai fait la première prière de ma vie : " Toi là-haut, je ne te connais pas. II y a quelques années, j'ai conclu que tu étais une énergie supérieure inaccessible et qui a tout créé. Mais si tu es Dieu -Père d'Abraham, d'Isaac et de Jacob- si tu es le Dieu qui s'est incarné en Jésus-Christ, si tu es trois fois Saint (Père, Fils, St-Esprit) alors moi je suis un simple homme "jeté" dans cet univers. Alors, s'il te plaît, fais-toi connaître à moi, et je te servirai, je te donnerai toute ma vie et je témoignerai pour toi ".
Ce que je ne savais pas, c'est que Dieu allait me répondre, en la personne de Jésus-Christ, 15 jours après. Le 8 août 82, le St-Esprit est descendu vers moi. Une lumière vive brillait devant moi, dans mon corps, dans mon âme ou dans mon esprit, je ne sais ? C'était tout mon être qui était en train de naître de lui. Mon corps, mon âme, mon esprit étaient enflammés. J'étais à genoux alors que je ne savais rien de tout cela, je ne connaissais pas Jésus-Christ, et là devant cette "splendeur blanche", j'ai entendu une voix non audible, mais une voix d'autorité qui m'appelait par mon prénom : "Christian" -j'étais déjà écroulé par terre- " tu m'as demandé si j'étais le Dieu des juifs, je te réponds : Je suis le Dieu Père d'Abraham, d'Isaac et Jacob. Tu m'as demandé si j'étais le Dieu incarné en Jésus-Christ : Je suis le Dieu de la Bible, et cette splendeur blanche qui est devant toi, c'est mon Fils qui est saint, qui est pur, qui est mort pour toi. Et le point noir que tu vois sur cette splendeur blanche, c'est ta vie. Toi, fils de bonne famille, toi qui te crois sans faute, toi qui te crois parfait aux yeux des hommes, face à Ma Sainteté, tu es noir ".
Là, j'ai pleuré comme un enfant, comme un gamin, pendant des heures. Et j'ai dit : " Seigneur, je crois et je te donne toute ma vie, fais ce que tu veux de moi ".