Guerre des six jours

Un soldat arriva en courant dans mon magasin pour chercher quelque chose dont il avait besoin dans son service à Sharm-El-Sheik. -Oh ! lui dis-je en lui tendant la main avec reconnaissance, vous êtes un des héros de Sharm-El-Sheik ?

Le soldat était visiblement choqué.

- Moi, un héros ? Ecoutez bien, je veux vous raconter la vérité. Je ne suis pas un homme religieux, mais si quelqu'un veut me prouver qu'il n'y a pas de Dieu, je lui cracherai au visage !

Intéressé, je demandai s'il était arrivé à cette conviction seulement à Sharm-El-Sheik.

- Justement, écoutez ce que j'ai vécu là. Je descendis sur la baie d'Eilat avec un autre soldat. Soudain, nous rencontrâmes un grand char égyptien. Deux soldats nous regardaient. Pourquoi ne tiraient-ils pas ? me demandai-je. Sommes-nous dans un piège ? Nous sommes donc visibles à leurs yeux. Mon camarade et moi nous approchâmes prudemment de la machine. Les deux soldats ennemis ne bougeaient toujours pas, comme s'ils étaient pétrifiés. Qu'était-il donc arrivé ? Que vous le croyez ou pas, nous avons compté 18 soldats égyptiens sur ce char, tous apparemment en parfaite santé, ce qui signifiait qu'ils se rendaient !

La machine était pleine d'armes, de fusils chargés, prêts à répandre la mort et la destruction. Nous avons alors demandé à ces soldats pourquoi ils n'avaient pas tiré sur nous. Voici ce qu'ils nous répondirent :

- Nous ne pouvons pas nous l'expliquer. Lorsque nous vîmes les soldats israéliens, nos mains ont été paralysées, nous ne pouvions pas bouger les doigts. Une crainte effroyable tomba sur nous ! C'est tout.

Voici le rapport de ce soldat encore tout enthousiaste de ce qu'il avait vécu, il ajouta : - Comment pourrais-je après cela ne pas croire en Dieu ? J'ai vu ce miracle de mes propres yeux.

TEMOIGNAGE 2

Meir Simcha Golberg, de Tel-Aviv, fait le récit suivant à un journaliste du « Bet Yaacob », journal qui paraît une fois par mois :

Pendant la fusillade formidable qui eut lieu dans les rues d'Hébron, nous vîmes un vieillard qui se tenait sur la rue, près de la grotte de Machpella. Il portait un vêtement blanc ; il avait une barbe blanche, des cheveux blancs et ses mains étaient levées. Ce tableau faisait penser à Moïse, lors de la bataille contre Amalec.

On pria ce vieillard de s'en aller, mais il ne bougea pas. Deux soldats allèrent vers lui dans l'intention de le mettre en sûreté, supposant qu'il était sourd, mais ils ne purent saisir ses bras, ils ne saisirent rien du tout, car ses bras n'étaient pas de chair et de sang. A la suite de cette vision, Hébron tomba rapidement entre les mains des Israéliens. Ce vieillard devait être un ange, car on ne put le trouver nulle part et personne ne le connaissait.

Ces événements expliquent la victoire éclatante qu'Israël remporta sur ses ennemis dans la guerre des six jours. Par cette guerre, l'Etat d'Israël s'étendit de 20 000 à 90 000 km². Elle apporta à Israël une Jérusalem à nouveau réunie, ce qui est, du point de vue prophétique, de la plus haute importance.
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