Grâce à un chien
Un Canadien, fortement armé, qui avait projeté de tuer des gens à Toronto, a renoncé à son projet, et s'est rendu à la police après avoir rencontré sur sa route un chien.
L'homme, âgé de 40 ans, de la province du New Brunswick, s'était rendu à Toronto dans une voiture dans laquelle il transportait deux fusils, une arme semi-automatique, une machette, et plus de 6.000 munitions. "Il est en prison, et il a dit aux inspecteurs qu'il était à Toronto avec l'intention de tuer des gens", a dit la policière Kristine Bacharach.
Mais après s'être rendu dans un parc, à l'ouest de la ville, l'homme a changé d'avis et s'est constitué prisonnier auprès de la police, a-t-elle ajouté. Selon le journal Toronto Star, c'est la rencontre fortuite avec un chien qui a détourné l'homme de son macabre projet. "Il se trouve qu'il aime les chiens, et il s'était dit que, s'il y avait un si gentil chien dans ce coin, c'est que les gens étaient trop gentils et alors il n'exécuterait pas son projet", rapporte le journal qui cite un policier, Nick Ashley.
"Cela aurait été une situation très dangereuse, s'il n'avait pas renoncé à son plan", a dit M. Ashley. "Cela fait froid dans le dos de savoir qu'on en était très proche. Il y a, quelque part, un chien qu'il faut remercier", a-t-il ajouté.
Conclusion : Si, grâce à un chien, cet homme s'est écarté loin de son mauvais désir, à combien plus forte raison, le croyant, grâce à la croix, doit-il s'éloigner résolument loin du péché, puisqu'il aime Christ le Seigneur crucifié pour lui.
L'homme, âgé de 40 ans, de la province du New Brunswick, s'était rendu à Toronto dans une voiture dans laquelle il transportait deux fusils, une arme semi-automatique, une machette, et plus de 6.000 munitions. "Il est en prison, et il a dit aux inspecteurs qu'il était à Toronto avec l'intention de tuer des gens", a dit la policière Kristine Bacharach.
Mais après s'être rendu dans un parc, à l'ouest de la ville, l'homme a changé d'avis et s'est constitué prisonnier auprès de la police, a-t-elle ajouté. Selon le journal Toronto Star, c'est la rencontre fortuite avec un chien qui a détourné l'homme de son macabre projet. "Il se trouve qu'il aime les chiens, et il s'était dit que, s'il y avait un si gentil chien dans ce coin, c'est que les gens étaient trop gentils et alors il n'exécuterait pas son projet", rapporte le journal qui cite un policier, Nick Ashley.
"Cela aurait été une situation très dangereuse, s'il n'avait pas renoncé à son plan", a dit M. Ashley. "Cela fait froid dans le dos de savoir qu'on en était très proche. Il y a, quelque part, un chien qu'il faut remercier", a-t-il ajouté.
Conclusion : Si, grâce à un chien, cet homme s'est écarté loin de son mauvais désir, à combien plus forte raison, le croyant, grâce à la croix, doit-il s'éloigner résolument loin du péché, puisqu'il aime Christ le Seigneur crucifié pour lui.