Etre prêt pour l'ultime rencontre
C'est avec reconnaissance que je remercie le Seigneur de m'avoir donné des parents chrétiens qui, dès mon jeune âge, m'ont enseigné les choses de Dieu. Dès mon enfance, mon coeur était meublé par la Parole de Dieu, car je suivais l'école du dimanche, et j'aimais à entendre parler de Jésus ! Mais mon coeur a commencé à se détourner des choses de Dieu lorsque j'entrepris de travailler. J'ai voulu goûter aux plaisirs du monde. Entraîné par mes camarades de travail, je prenais goût à la cigarette, et il m'arrivait d'aller au café. Je voulais faire comme les autres. Je ne voulais pas paraître ridicule devant mes camarades. Mais bien vite, j'ai réalisé qu'il fallait plaire à Dieu plutôt qu'aux hommes.
Pendant quelque temps, il y eut un combat dans mon coeur, et je sentais que les plaisirs de ce monde ne pouvaient m'apporter la joie, la paix et le bonheur. Mon coeur était vide, et au fond de moi-même, je n'étais pas heureux. Déjà, le Seigneur préparait mon coeur à Sa rencontre, car je savais qu'il fallait accepter Jésus comme mon Sauveur personnel. Je me rappelais souvent l'exemple de mes parents, et je me disais qu'après tout, mes parents étaient chrétiens, qu'ils étaient sauvés, et que je partirais avec eux lorsque le Seigneur reviendrait. J'avais une grande peur lorsqu'on parlait du retour du Seigneur. Mon coeur s'endurcissait à l'appel de Dieu, et pourtant, je savais qu'il était nécessaire que je fasse une rencontre personnelle avec Dieu. C'est à l'âge de 17 ans que j'ai rencontré le Seigneur. Alors que je participais au camp de jeunesse à Embrun, après le message de l'Evangile, le Prédicateur fit un appel en demandant à celui ou celle qui voulait recevoir Jésus dans sa vie, de lever la main. Il y eut encore un combat dans mon coeur, mais le Seigneur me parlait et me pressait par la bouche de son serviteur. Et là, je n'ai pas eu la force de résister à l'appel de Dieu qui me disait : "Crois et tu seras sauvé." A partir de cet instant précis, j'eus l'assurance que Jésus avait pardonné mes péchés, qu'Il était mort sur la croix, mais qu'Il était ressuscité pour moi afin de me donner la Vie Eternelle, et qu'un jour je Le verrais face à face.
Pendant quelque temps, il y eut un combat dans mon coeur, et je sentais que les plaisirs de ce monde ne pouvaient m'apporter la joie, la paix et le bonheur. Mon coeur était vide, et au fond de moi-même, je n'étais pas heureux. Déjà, le Seigneur préparait mon coeur à Sa rencontre, car je savais qu'il fallait accepter Jésus comme mon Sauveur personnel. Je me rappelais souvent l'exemple de mes parents, et je me disais qu'après tout, mes parents étaient chrétiens, qu'ils étaient sauvés, et que je partirais avec eux lorsque le Seigneur reviendrait. J'avais une grande peur lorsqu'on parlait du retour du Seigneur. Mon coeur s'endurcissait à l'appel de Dieu, et pourtant, je savais qu'il était nécessaire que je fasse une rencontre personnelle avec Dieu. C'est à l'âge de 17 ans que j'ai rencontré le Seigneur. Alors que je participais au camp de jeunesse à Embrun, après le message de l'Evangile, le Prédicateur fit un appel en demandant à celui ou celle qui voulait recevoir Jésus dans sa vie, de lever la main. Il y eut encore un combat dans mon coeur, mais le Seigneur me parlait et me pressait par la bouche de son serviteur. Et là, je n'ai pas eu la force de résister à l'appel de Dieu qui me disait : "Crois et tu seras sauvé." A partir de cet instant précis, j'eus l'assurance que Jésus avait pardonné mes péchés, qu'Il était mort sur la croix, mais qu'Il était ressuscité pour moi afin de me donner la Vie Eternelle, et qu'un jour je Le verrais face à face.