Carmela: j'ai été pardonnée
Je suis née en Italie dans une famille catholique non pratiquante.
J'ai entendu parler du Seigneur Jésus en 1986 par ma belle soeur Antoinette qui venait de se convertir.
Au début, je l'écoutais avec attention, mais rien ne m'interpellait. La même année, il y eut une campagne d'évangélisation dans mon petit village d'Italie, dans un chapiteau. Ma belle soeur m'y invita. Durant le sermon du pasteur, je fus touchée par le message du salut et la force du pardon de Dieu. A la fin du message, je me suis levée, et j'ai dit au responsable que je voulais accepter d'être pardonnée par mon Créateur et que j'acceptais Christ comme Seigneur et Sauveur.
Je me suis immédiatement empressée de le raconter à ma famille qui m'a dit que j'avais fait une énorme bêtise et que j'étais liée à une secte. Ça m'a fait peur. J'ai donc "laissé tomber" cette foi qui m'avait pourtant donné tant d'enthousiasme.
Pendant l'année qui suivit, il y avait quelque chose qui n'allait pas, et je ne pouvais l'expliquer.
En 1994, il y a eu le licenciement de mon époux qui a dû venir en France travailler et nous laisser mes 2 filles et moi alors enceinte en Italie. Ce fut un moment très pénible, et j'avais du mal à l'accepter. J'avais du mal à comprendre son licenciement, mais le plus dur était l'éloignement entre nous. Je n'arrivais même pas à l'expliquer aux enfants tellement j'en souffrais. L'amertume, la rancune et la colère, c'était tout ce que j'arrivais à éprouver. Je me disais: "Comment ce Dieu qui m'aime soi-disant peut-il me faire ça ?".
Dans cette détresse, je me suis mise à lire la Bible pour essayer de comprendre ce qui se passait. En lisant, c'était comme si Dieu m'expliquait la situation. J'en voulais à Dieu de ce qui se passait, mais en fait j'ai compris que l'homme étant pécheur se mettait lui-même dans de pénibles situations, et que son seul soutien est Dieu. J'ai pu comprendre que dans mon malheur, il ne m'avait pas abandonnée, comme je le pensais, mais que c'était moi qui l'avais oublié (Psaume 38).
J'ai donc demandé pardon pour toutes mes fautes et surtout pour ma rébellion. Je l'ai remercié de Sa grâce et de Son amour pour moi.
Maintenant, je suis en France avec mon mari, mes deux filles et notre garçon. Je vis ma vie avec le Seigneur, et il m'a donné une grande famille.
Quel bonheur !
J'ai entendu parler du Seigneur Jésus en 1986 par ma belle soeur Antoinette qui venait de se convertir.
Au début, je l'écoutais avec attention, mais rien ne m'interpellait. La même année, il y eut une campagne d'évangélisation dans mon petit village d'Italie, dans un chapiteau. Ma belle soeur m'y invita. Durant le sermon du pasteur, je fus touchée par le message du salut et la force du pardon de Dieu. A la fin du message, je me suis levée, et j'ai dit au responsable que je voulais accepter d'être pardonnée par mon Créateur et que j'acceptais Christ comme Seigneur et Sauveur.
Je me suis immédiatement empressée de le raconter à ma famille qui m'a dit que j'avais fait une énorme bêtise et que j'étais liée à une secte. Ça m'a fait peur. J'ai donc "laissé tomber" cette foi qui m'avait pourtant donné tant d'enthousiasme.
Pendant l'année qui suivit, il y avait quelque chose qui n'allait pas, et je ne pouvais l'expliquer.
En 1994, il y a eu le licenciement de mon époux qui a dû venir en France travailler et nous laisser mes 2 filles et moi alors enceinte en Italie. Ce fut un moment très pénible, et j'avais du mal à l'accepter. J'avais du mal à comprendre son licenciement, mais le plus dur était l'éloignement entre nous. Je n'arrivais même pas à l'expliquer aux enfants tellement j'en souffrais. L'amertume, la rancune et la colère, c'était tout ce que j'arrivais à éprouver. Je me disais: "Comment ce Dieu qui m'aime soi-disant peut-il me faire ça ?".
Dans cette détresse, je me suis mise à lire la Bible pour essayer de comprendre ce qui se passait. En lisant, c'était comme si Dieu m'expliquait la situation. J'en voulais à Dieu de ce qui se passait, mais en fait j'ai compris que l'homme étant pécheur se mettait lui-même dans de pénibles situations, et que son seul soutien est Dieu. J'ai pu comprendre que dans mon malheur, il ne m'avait pas abandonnée, comme je le pensais, mais que c'était moi qui l'avais oublié (Psaume 38).
J'ai donc demandé pardon pour toutes mes fautes et surtout pour ma rébellion. Je l'ai remercié de Sa grâce et de Son amour pour moi.
Maintenant, je suis en France avec mon mari, mes deux filles et notre garçon. Je vis ma vie avec le Seigneur, et il m'a donné une grande famille.
Quel bonheur !