N'écoutez pas le diable
Je connus un prédicateur qui avait un témoignage exceptionnel de guérison. Dans les années 1930, lorsque la tuberculose sévissait, il fut ranimé de son lit de mort.
C'était un jeune homme marié. Lui et sa femme avaient un petit bébé. Mais on découvrit qu'il souffrait de tuberculose. Il demanda à chaque église où il avait tenu un réveil de prier pour lui. Chaque évangéliste, de renommée mondiale, doué dans la guérison lui imposa les mains. Mais il allait de plus en plus mal au lieu de se rétablir. Finalement, il arriva au point où il n'en pouvait plus ; il dut s'aliter. Il alla loger chez ses beaux-parents, agriculteurs à Corsicana (Texas).
Un jour, en regardant par la fenêtre du lit où il gisait, il vit un massif de buissons et d'arbres à 500 mètres de la maison. «Seigneur» dit-il «si tu me donnes assez de force pour me lever et marcher jusqu'à ce massif, je prierai jusqu'à ce que je sois guéri.»
Il s'efforça de se lever et se traîna jusqu'au massif. Puis il tomba par terre, épuisé. Là sur son dos, le diable lui persifla : «Maintenant c'est fini ! Personne ne sait où tu es. Tu mourras ici, derrière ces buissons. On te découvrira seulement à cause des rapaces.»
Ce n'était pas la voix de Jésus, le bon Berger, qui s'adressait à cet homme. C'était la voix d'un étranger, la voix de l'ennemi, le diable. Gloire à Dieu : cet homme reconnut finalement cette voix pour la voix du diable.
Une bonne déclaration :
Je connais la voix de mon bon Berger, Jésus. Je ne suis pas la voix d'un étranger. Je n'écoute pas la voix du diable. Il est menteur et le père des mensonges