Les médecins ne pouvaient plus rien faire

Un texte de Kenneth Hagin
17 Je ne mourrai pas, je vivrai, Et je raconterai les oeuvres de l'Eternel.

En 1943 Dieu nous renvoya, ma femme et moi, à Farmersville (Texas), une petite ville de fermiers au Texas du Nord. Une des femmes dans l'église habitait à Greenville (Texas) à vingt-cinq kilomètres de distance, mais sa mère habitait juste derrière l'église à Farmersville. Quand la mère s'aperçut que ma femme et moi allions à Greenville pour faire des achats, elle demanda : «Frère Hagin, je ne veux pas vous gêner, mais est-ce que je pourrais venir avec vous rendre visite à ma fille ? Elle ne vit pas très loin de l'autoroute. Si vous me laissez là, j'irai à pied chez elle.»

«Bien sûr» répliqua-je. Nous l'amenâmes chez sa fille et puis allâmes faire nos achats.

Plus tard, vers dix-huit heures, nous passâmes prendre la mère. La fille m'expliqua « Frère Hagin, il y a une dame alitée qui habite cette rue. Pourriez-vous prier pour elle ? Son mari l'a amenée à la clinique ici et les médecins ont annoncé : Nous ne pouvons rien faire. Elle est très faible. Elle ira en s'affaiblissant et mourra finalement.»

«Elle a plusieurs maux, parmi lesquels une maladie du sang qui s'avère mortelle. Son mari, qui n'est pas croyant, n'était pas satisfait de ce qu'ont déclaré les médecins. Il l'a emmenée en ambulance dans la clinique d'une autre ville. Elle est restée là pendant plusieurs jours à faire toutes sortes d'analyses. Mais à la fin on a déclaré la même chose : Elle va mourir, il ne lui reste que quelques jours. Elle peut mourir avant de rentrer chez vous.»

Une bonne déclaration :
Dieu est plus grand que le compte-rendu d'un médecin. Dieu est plus grand que tout compte-rendu négatif. Peu importe ce que m'ont dit les médecins, je crois que Dieu peut renverser la situation.

Photo de Kenneth Hagin
Pasteur
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