Le fils perdu
Le fils perdu
Dans les années 1950, je lus un témoignage dans le Reader's Digest confirmé par le Secrétaire de la Marine. «Tous ces faits sont vrais» affirma-t-il «et nous approuvons cet article pour montrer ce que peuvent accomplir la foi et la prière.»
Un des officiers les plus jeunes qui ait jamais été dans la Marine des Etats-Unis, un amiral, eut un cancer qui détruisit quatre-vingt-dix pour cent de son foie. A la découverte du cancer, son foie fonctionnait à dix pour cent seulement. A l'hôpital, on le mit dans une salle pour malades incurables voués à la mort. D'après les médecins, il mourrait en moins de dix jours.
Le jeune officier expliqua : «La peur, dans cette salle, était tellement tangible que l'on semblait pouvoir la couper au couteau. La peur s'était emparée de l'atmosphère. Moi aussi, j'étais en proie à l'angoisse ! Mais là, sur mon lit pendant la nuit, je me suis rappelé que j'avais connu le Seigneur lors de mon enfance. J'avais été élevé dans une église luthérienne et à l'âge de treize ans, j'avais rencontré Jésus personnellement. Mais à l'âge de dix-neuf ans, je m'étais éloigné de lui et étais resté loin de lui depuis toutes ces années.»
«Me rappelant l'histoire du fils perdu, j'avouai : Seigneur, je suis ce fils perdu. Je rentre. Je gisais sur ce lit pendant la nuit en sanglots, non de tristesse mais de joie. Je crois que j'aurais crié, si je ne m'étais pas soucié de déranger les autres personnes. La paix de Dieu remplit mon coeur.»
Une bonne déclaration :
Je te demande, Jésus, de m'accueillir, puisque tu dis dans ta Parole que tu ne mettras pas dehors ceux qui viennent à toi (Jean 6 :37). Je viens à toi de tout mon coeur et je te remercie d'avoir ôté le fardeau de mon péché. Les choses anciennes sont passées et toute choses sont devenues nouvelles !