La maladie enchaîne

Un texte de Kenneth Hagin
16 Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat ?

Jésus entra dans la synagogue le jour du sabbat et une femme y entra, le corps courbé. Elle ne pouvait pas se redresser. Elle devait souffrir d'une maladie telle que l'arthrite car elle ne pouvait pas se tenir droite.

Qui fit courber cette femme ? Était-ce la volonté de Dieu que son corps soit si courbé qu'elle ne pouvait pas se tenir droite comme les autres êtres humains ? Était-ce Dieu qui l'affligeait comme cela ? Bien sûr que non !

Jésus s'adressa à cette femme:

12 Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole, et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité.

Ensuite il la toucha, elle fut guérie et elle se redressa instantanément.

Les chefs de la synagogue s'indignèrent parce que Jésus avait guéri cette femme le jour du sabbat. (Certains estiment un jour plus qu'ils n'estiment le Seigneur lui-même). Notez bien que Jésus remarqua ensuite que satan tenait liée cette femme depuis dix-huit ans (Luc 13 :16). Quand on est malade, on est enchaîné. Ce n'est pas une bénédiction, ce n'est pas la liberté.

Je me souviens de ce temps où j'ai été paralysé et alité pendant seize mois. Je comprends ce que c'est que d'être lié et enchaîné. On veut se lever et bouger, mais on ne peut pas ; on est impuissant. La maladie enchaîne.

Une bonne déclaration :
Ce n'est pas la volonté de Dieu que je sois malade. C'est la volonté de Dieu que je sois délivré de toute chaîne, libre de toute maladie et de toute infirmité.

Photo de Kenneth Hagin
Pasteur
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