Faites entrer les autres dans la volonté de Dieu

Un texte de Kenneth Hagin

17 afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète : Il a pris nos infirmités, et il s'est chargé de nos maladies.

A partir de ce que m'avait dit le mari, je savais qu'ils n'étaient pas tout à fait convaincus que la volonté de Dieu était de guérir sa femme. Je lui demandai donc : «Comment allez-vous découvrir si c'est la volonté de Dieu de la guérir ?» Il me dévisagea, surpris. «Je pensais que vous lui imposeriez les mains pour prier. Et si c'est la volonté de Dieu, il la guérira. Sinon, il ne le fera pas.» «Non» répondis-je «je ne peux pas prier, car elle ne serait pas guérie.»

« Qu'allons-nous faire alors ?» me demanda-t-il. «Comment allons-nous savoir si c'est la volonté de Dieu ou non de la guérir ?» Je savais que je devais les encourager à avoir confiance. Il fallait les aider à entrer dans la volonté de Dieu. «Et si la Parole de Dieu disait que Jésus avait pris les infirmités de votre femme et s'était chargé de ses maladies ?» lui suggérai-je. «Serait-ce la volonté de Dieu de la guérir ?» «Certes» répondit-il.

Je trouvai Matthieu 8 :17 et mis la Bible sur les genoux de sa femme. Je lui demandai de lire le verset à haute voix. Dès qu'elle l'eut lu, son mari sauta de l'estrade en disant: «La première partie de ma prière n'était pas correcte, n'est-ce pas ? Il va falloir nous en débarrasser!» Je ne lui dis pas, mais toute la prière était erronée ! Il fallait s'en débarrasser totalement !

Il reprit: «La Bible dit que Jésus a pris nos infirmités, y compris les infirmités de ma femme.» «Vous vous en rendez compte, mais est-ce que votre femme en est convaincue ?» demandai-je. «Ce n'est pas vous qui avez besoin de guérison.» Je me tournai vers sa femme qui répondit: «Oui, j'en suis convaincue.» Le mari déclara «C'est la volonté de Dieu alors ! Nous devons oublier la première partie de cette prière. Nous n'avons qu'à prier que Dieu nous donne la foi afin qu'elle puisse être guérie.» «Non, je ne peux toujours pas prier» expliquai-je. «Asseyez-vous. On va discuter encore un peu.»

Une bonne déclaration :
Jésus a pris mes infirmités, et il s'est chargé de mes maladies. Par les meurtrissures de Jésus, je suis guéri !

Photo de Kenneth Hagin
Pasteur
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