Devriez-vous prendre vos médicaments?

On me demande toujours si l'on doit prendre ses médicaments ou non. Je conseille de les prendre jusqu'à ce que le Seigneur dise d'arrêter. Ne cessez pas de prendre vos médicaments parce que je vous l'ai dit. Je ne vous dirai pas quoi faire.

Je ne suis pas contre les médecins. Dieu merci pour la science médicale qui lutte contre les mêmes choses que moi : la maladie et l'infirmité. De nos jours c'est bon de constater que de plus en plus de médecins croient à la prière et à la guérison divine.

Quand la foi des gens est assez forte et au fur et à mesure qu'ils connaissent la vérité, il se peut qu'ils n'aient plus besoin de l'assistance médicale. Je fus guéri de deux maladies cardiaques sérieuses, d'un corps presque totalement paralysé et d'une affection du sang incurable. Je ne courais ni ne jouais jamais comme les autres petits enfants. Je devins grabataire à l'âge de quinze ans. Les médecins dirent que personne dans mon état n'avait jamais vécu au-delà de l'âge de seize ans.

En lisant la Bible méthodiste de ma grand-mère je mis en pratique Marc 11 :23-24 et fus guéri. Depuis presque soixante-dix ans je ne prends même pas d'aspirine. Je n'en ai pas besoin. Je n'ai rien contre l'aspirine si l'on en a besoin, mais je n'ai plus de mal de tête depuis presque soixante-dix ans. Je n'ai plus de grippe depuis presque soixante-dix ans. Je m'attends à vivre et à mourir sans avoir de mal de tête. Je m'attends à vivre et à mourir sans avoir la grippe. Pourquoi ? J'ai découvert la guérison divine.

Dieu merci pour la guérison naturelle. Dieu merci pour ce que peut faire l'homme. Les médecins combattent la même maladie et le même diable que nous combattons. Donnons la main aux médecins et permettons-leur de nous dire quand nous devons cesser de prendre nos médicaments.

Une bonne déclaration :
Je remercie Dieu pour les médecins et les progrès de la science médicale, mais je suis tellement content de connaître la guérison divine. Je suis si heureux de savoir que Jésus a pris mes maladies et s'est chargé de mes infirmités.