La foi te garantit la présence divine
Nous allons voir aujourd'hui comment la foi te garantit la présence divine.
Ici, on parle des disciples qui venaient de recevoir le mandat d'aller partout dans le monde et de prêcher la bonne nouvelle. Quel défi ! Et ces gens-là, premièrement Jésus était là physiquement avec eux, il garantissait tout miracle, il était là. Ils se disaient donc : « Peu importe ce qui peut nous arriver. Le maître est là ! »
Quand les gens avaient faim, Jésus-Christ multipliait les pains. Quand les gens étaient malades, il les guérissait. Maintenant, le Seigneur les prévient qu'il doit partir. Et c'était tout un dilemme, parce que les gens se disaient : « Quand on sera dans des situations dramatiques, qui interviendra ? » Il a fallu que Jésus soit en permanence avec eux.
Vous savez, Jésus Christ venait de leur confier la mission. Ils étaient devant un choix : Ou ils obéissaient, ou ils se disaient : « Retournons dans notre travail comme d'habitude. »
Quelque chose s'est passé
La Bible nous dit que Jésus est parti au ciel. Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? Les disciples, eux ils sont restés. Il y a quelque chose qui s'est passé : ils n‘ont pas croisé les bras, ils ont développé la foi, ils ont développé cette confiance selon cette Parole que Christ leur avait dit, d'y aller. Il leur a dit : « Allez, prêchez la bonne nouvelle et quiconque croira sera sauvé. » Il leur a promis : « Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. »
Et c'est ça, maintenant, les apôtres devaient eux-mêmes développer leur foi de croire que ce que Christ leur a dit à propos de sa présence était vrai, et c'est ce qui les a poussé à y aller.
La Bible dit « qu'ils en allèrent ». Suite à ce que le Seigneur leur a dit, « ils s'en allèrent ».
Qu'est-ce qu'il leur a donné cette confiance d'y aller ? Certainement ce que le Seigneur leur avait dit, qu'il serait partout où ils iraient. C'est cette parole, cette promesse, qui leur a donné la confiance de savoir ce qu'ils portaient en eux, que la présence de Dieu était là.
ne passe pas à côté !
Vous savez, un des grands problèmes que nous avons actuellement, c'est que nous qui sommes enfants de Dieu, nous ignorons la présence de Dieu en nous et avec nous. Et c'est ça qui fait qu'on ne veut pas se hasarder, s'aventurer dans le miracle, on ne veut pas s'aventurer à vivre des grandes choses. Nous sommes limités ! Un enfant de Dieu qui ignore la présence de Dieu en lui, va passer à côté.
J'aimerais bien vous dire quelque chose : Pendant tout ce temps là que je fais du ministère, j'ai commencé très jeune à prêcher la parole de Dieu, il m'a fallu la foi pour affronter des défis. Vous savez en tant qu'évangéliste, je me trouvais devant des défis incroyables.
Un jour, j'étais en train de prêcher à El Salvador dans un très grand stade. On m'a amené un aveugle et je ne savais pas qu'il y avait un aveugle dans la foule et justement j'étais en train de prier après avoir prêché. On m'amène quelqu'un et tout le monde criait : « Il est guéri, il voit, il voit. » Je leur ai posé la question : « Croyez-vous vraiment que ce monsieur était aveugle ? », « Mais oui, monsieur, c'est nous qui l'avons emmené. »
J'étais touché de voir que la présence de Dieu nous aide à poser des actes de foi.
J'ai vu la puissance de Dieu au Honduras, au Nicaragua, à la République du Panama, au Venezuela, en Europe, en Afrique, dans plusieurs pays.
Au terme d'une grande croisade à l'Ile de la Réunion, j'ai vu comment les gens jetaient leurs béquilles, j'ai vu des personnes que l'on a transportées, des personnes qui ne pouvaient pas marcher, se lever et commencer à marcher.
Vous savez parfois, on me pose la question : « Mais monsieur, quand tu confirmes qu'à la fin de ton message, des miracles vont s'opérer. Mais qu'est-ce qui te pousse à le dire ? » Tout simplement je suis conscient de la présence de Dieu en moi et avec moi.
Je me souviens, un jour, en Suisse italienne, une fille de l'Arabie Saoudite était là dans une de mes réunions. Elle était atteinte de la polio depuis sa naissance. Elle était alors âgée de 19 ans et elle avait été abandonnée par sa famille musulmane. Elle est venue à la réunion, elle avait été emmenée par une famille. Au fur et à mesure qu'elle écoutait la parole de Dieu, elle pleurait. Je me suis approché et je lui ai posé la question : « Mais pourquoi tu pleures ? » On m'a expliqué son cas. Vous savez la puissance du Saint Esprit m'a saisi. J'ai mis ma foi en action. J'ai saisi la fille, je l'ai soulevée, je l'ai mise à mes cotés, ses pieds pendaient.
Mes amis tout ce qui m'aidait, c'est que j'étais conscient de la présence de Dieu. Je savais que le Seigneur m'a promis qu'il ne me laisserait pas, qu'il ne m'abandonnerait pas. Je l'ai posée à terre, elle a fait le premier pas, on a marché le deuxième pas, le troisième pas, finalement elle a couru, toute la salle pleurait.
Toute la foule pleurait en voyant comment la foi a poussé la présence de Dieu et l'a touchée.
Soyez conscient de la présence de Dieu en vous !
Vous savez, mes frères et sœurs, nous devons développer cette conscience de la présence de Dieu partout où nous sommes. C'est ça qui va t'aider, c'est par la foi, c'est seulement par la foi. Tu n'as pas besoin de sentir quoi que ce soit. Tu n'as pas besoin d'avoir la chair de poule. Crois seulement que le Seigneur est avec toi. Il l'a promis : « Je ne vous délaisserai pas, je ne t'abandonnerai pas. »
C'est seulement la foi qui t'aidera à poser des actions tout en sachant l'omniprésence de Dieu, que Christ en toi, c'est la victoire.
Que le Seigneur vous bénisse !