La multiplication du laid

Un texte de David Porter

J'ai ri jusqu'aux larmes quand j'ai lu “L'histoire de l'invalide” par de Mark Twain.
Il raconte l'histoire d'un homme qui est allé pour accompagner la dépouille d'un vieil ami pour l'enterrer dans une autre ville. C'était probablement à la fin du 19eme siècle.

Par erreur les ouvriers avaient fait la confusion du cercueil avec une boite caisse qui avait la même forme mais qui était pleine de fusils qui. La boite à fusils Théoriquement cette caisse a été chargée dans le wagon à bagages du train et le cercueil est allé ailleurs.
Pour compliquer l'affaire, juste avant que le train ne parte, quelqu'un s'est glissé dans le wagon pour y laisser un fromage qui sentait très mal mauvais. Il ne voulait pas le garder avec lui dans son compartiment le wagon à passagers.
Notre héros et l'employé du train dans le wagon parlaient d'une manière familière quand le train est parti mais au fur et à mesure que le wagon chauffait, ils remarquaient une odeur extraordinaire.
Ils ont mis deux et deux ensemble et décidé Tous les deux en ont déduit que l'ami mort « murissait ».

Ce qui a suivi était l'effort à tout prix pour étouffer l'odeur—de la fumée de cigare, le parfum, bref tout ce qu'ils pouvaient imaginer pour améliorer la situation. Mais, les odeurs se sont mélangées et le résultat fut pire. pour empirer la situation. La dernière scène les trouve vaincus abattus, épuisés la santé cassée par leur aventure.

Nous voyons beaucoup d'illustrations de ce principe. Des gens qui sont vraiment laids essaient d'améliorer la situation en se laissant pousser une queue de cheval, une moustache Fu Manchou, et en ayant un tatouage de leur mère affiché sur le ventre et aux deux bras.
Mais attention ! Au lieu de devenir plus beau vous pourriez obtenir le contraire, s'empirer en multipliant la laideur.
De toute façon, je n'ai jamais trop aimé les moustaches Fu Manchou sur chez les femmes.

N'avez-vous jamais été obligé d'aller quelque part sans avoir eu le temps de prendre un bain mais vous n'aviez pas le temps pour vous baigner ? Alors, vous vous êtes appliqué un déodorant qui se vante de durer longtemps ?
Attention! Ce truc-là passe de l'autre coté en peu de temps, pour se joindre avec à l'ennemi après un peu de temps. Il se combine avec la transpiration et les résultats vous coupent le souffle. Les abeilles arrêtent de faire « bzzzzzz » quand elles s'approchent de vous. Les mouches descendent en spirale pour s'étendre, étouffées, à vos pieds.

Au moins, vous n'avez pas de problème avec les moustiques. Malheureusement, vous n'avez fait qu'aggraver que multiplier votre problème du départ.

La multiplication des problèmes avec Dieu

Plein de gens essaient de faire comme cela avec Dieu. Au plus profond d'eux-mêmes, ils ressentent qu'ils sont perdus et qu'ils ont besoin du salut. Mais, ils ne veulent pas s'humilier et demander l'aide de Dieu. Alors, ils se mettent au travail.

“Regardez-moi, Dieu! J'ai aidé cette vieille femme à traverser la route. Je suis une bonne personne ! » Ou : « Je mène une bonne vie. Je ne suis pas pire que les autres. »

Au fond, ils disent : « Jésus, je n'ai pas besoin de ton sacrifice à la Croix pour mes péchés. Ma vie est assez bien. Allez Va sauver quelqu'un qui est vraiment mauvais. Moi, je vais bien. Je n'ai pas besoin de toi vous. »

Savez-vous ce que Dieu dit de cette attitude?

6 Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent.

Vous ne faites que multiplier votre problème, le recouvrant avec un vernis de justice en soi, orgueil. Dieu dit que tous ont péché et sont privés de sa gloire. Il ne vous mesure pas contre à votre voisin, mais contre à la gloire et la justice de Dieu lui-même !

« Mais, personne ne tiendra sous un examen comme ça » vous protestez. ' Bon pécheur ', ' mauvais pécheur ', nous avons tous besoin du Seigneur et de son salut. Voilà le but C'est un fait.

32 Car Dieu a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous.

Dieu nous a tous condamnés comme les pécheurs que nous étions, pour qu'Il puisse exercer miséricorde sur tout le monde qui fait appel, par la foi au Nom de son Fils Jésus. Maintenant, il peut pardonner pas seulement les « petits pécheurs » mais aussi les « grands pécheurs. »

Et ces « petits pécheurs » doivent avaler leur orgueil et leur attitude qui quand ils proclament qu'ils n'ont pas besoin de Dieu afin de venir dans de la même manière que les grands pécheurs qui n'ont pas de doute qui reconnaissent qu'ils ont besoin d'aide pour venir à Dieu.

Quand nous, des « petits pécheurs » pensons que nous sommes bons en nous-mêmes à cause de nos minuscules bonnes oeuvres, nous manquons totalement le but. Nous utilisons nos « vêtements sales » pour améliorer une mauvaise situation et les résultats ne sont pas beaux.

Si vous n'avez pas donné votre vie au Seigneur, priez du fond de votre coeur et dites au Seigneur que vous avez besoin de son pardon et de son salut. Arrêtez d'essayer de gagner votre salut par vos oeuvres.

Tout ce que vos oeuvres font, c'est de « multiplier le laid ».

Photo de David Porter
Pasteur
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