Attaqué par un rouleau de printemps chinois !
L'autre soir, à la sortie de notre église, après la réunion, je me suis fait agresser par un rouleau de printemps chinois .
Plus ou moins, cependant !
Il y a un restaurant chinois à deux portes de notre église de Reims.
J'imagine que nous partageons un ventilateur ou quelque chose d'approchant, parce que, parfois, des odeurs venant de chez eux embaument la cour de l'église.
Monsieur le policier, j'arrivais, innocent, sortant de la salle en toute tranquillité, lorsqu'il m'attaqua ! Je ne sais pas si c'était l'odeur des rouleaux de printemps ou du Choo Wak Chooie (#4 sur la carte des plats du jour), mais qu'importe, l'odeur était boooooooooooonne !
Pourtant, je n'avais même pas faim. Je n'avais même pas eu la pensée d'un bon petit plat (pour une fois !) quand soudain je me demandai si je ne devais pas rendre visite à nos voisins, pour déguster une spécialité chinoise avant de rentrer à la maison.
Mon estomac me menaça, disant que si je mangeais un plat chinois à 22h, je le payerais toute la nuit. Il a promis de s'en occuper personnellement. Il est très persuasif, mon estomac; alors, je continuai mon petit bonhomme de chemin. Mais j'avais toujours l'eau à la bouche en pensant au Choo Wak Chooie.
Il ne faut pas grand-chose pour donner faim à quelqu'un en bonne santé,
n'est pas ? En général, les seuls qui n'aient pas faim sont les malades ou
ceux qui viennent de faire un bon repas. (Je ne parle même pas de ces gens minces, qui semblent n'avoir aucun intérêt particulier pour la nourriture. Quand vous leur proposez quelque chose à manger, ils disent : " Non, je n'ai pas faim. Juste avant de venir, j'ai mangé du céleri et des tomates coupées en tranches très minces avec un peu de sel. Cela me suffit ". Arrêtez !)
Dans la Bible, la faim et la soif sont très importantes, du moins la faim et la soif spirituelles. L'estomac spirituel de David grommelait, et il a crié au Seigneur : " O Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche; Mon âme a soif de toi, Mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau. Ainsi je te contemple dans le sanctuaire, Pour voir ta puissance et ta gloire. Car ta bonté vaut mieux que la vie: Mes lèvres célèbrent tes louanges. Je te bénirai donc toute ma vie, J'élèverai mes mains en ton nom" David imagine ce qui se passera, quand Dieu lui-même satisfera sa faim.
Mais comment avoir faim pour Dieu, quand vous réalisez que vous êtes
rassasié, et plus ou moins satisfait des choses telles qu'elles sont (" Rot"
o, pardonnez-moi !)? Voici quelques suggestions :
Traînez dans les endroits où il y a de bonnes odeurs. L'Esprit Saint exalte
Jésus. Allez là où il est exalté, et cherchez le Seigneur. Lorsque vous êtes quelque part où il est exalté, votre faim s'intensifie. Tout comme mes amis chinois me donnent une faim de loup avec la bonne odeur de leur nourriture, le Saint Esprit peut nous rendre vorace pour Jésus.
D'autre part, traînez avec des gens qui ont faim. Ils finiront par vous
donner faim, parce qu'ils parlent toujours de " manger ". Quand j'étais en fac, j'avais quelques amis qui ne semblaient jamais rassasiés de Jésus. Ils voulaient lui donner toute leur vie. Ils m'ont donné faim. Cherchez
des amis qui aiment manger.
Lisez la Parole de Dieu, priez, et assistez aux réunions pour " recevoir "
quelque chose (pour pouvoir donner). Lisez des " livres de cuisine ", des
livres qui vous aident à grandir dans le Seigneur. Souvent, nous faisons ces choses comme notre " devoir chrétien ". Elles deviennent des " porte
bonheurs " pour persuader Dieu de faire ce que nous désirons, ou des "
paratonnerres " pour qu'il ne soit pas fâché avec nous.
Cherchez le Seigneur dans sa Parole. Cherchez-le quand vous priez. Attendez- le quand vous le louez avec vos frères et vos soeurs.
Vous pouvez aussi utiliser vos épreuves et vos faiblesses comme un tremplin pour le connaître de plus en plus. La Bible promet que, si nous cherchons le Seigneur, nous le trouverons. Je préfèrerais que ce soit autrement, mais ce sont souvent mes faiblesses et mes douleurs qui me poussent à le chercher de tout mon coeur.
Et je suis surpris. Je ne reçois pas seulement de l'aide, mais je reçois
DIEU lui-même. C'est beaucoup mieux que seulement une réponse à ma prière.
Assez souvent, j'assiste aux repas en commun à l'église. Tant de bonnes
choses chatouillent mes yeux et mes narines que je plonge dans ces plats avec enthousiasme. Peu après, pourtant, la nourriture a perdu un peu de son goût. Je mange toujours, mais pas aussi joyeusement. Je persévère parce que je sais qu'il me faut beaucoup de cholestérol dans le sang.
Bizarrement, cela marche dans le sens contraire dans le domaine spirituel. Plus vous mangez, plus vous désirez manger. Dieu a un banquet préparé pour les gens affamés, qui désirent son Fils Jésus plus que toute autre chose. Pas de calories, pas de matière grasse, pas de cholestérol.
A table !
Plus ou moins, cependant !
Il y a un restaurant chinois à deux portes de notre église de Reims.
J'imagine que nous partageons un ventilateur ou quelque chose d'approchant, parce que, parfois, des odeurs venant de chez eux embaument la cour de l'église.
Monsieur le policier, j'arrivais, innocent, sortant de la salle en toute tranquillité, lorsqu'il m'attaqua ! Je ne sais pas si c'était l'odeur des rouleaux de printemps ou du Choo Wak Chooie (#4 sur la carte des plats du jour), mais qu'importe, l'odeur était boooooooooooonne !
Pourtant, je n'avais même pas faim. Je n'avais même pas eu la pensée d'un bon petit plat (pour une fois !) quand soudain je me demandai si je ne devais pas rendre visite à nos voisins, pour déguster une spécialité chinoise avant de rentrer à la maison.
Mon estomac me menaça, disant que si je mangeais un plat chinois à 22h, je le payerais toute la nuit. Il a promis de s'en occuper personnellement. Il est très persuasif, mon estomac; alors, je continuai mon petit bonhomme de chemin. Mais j'avais toujours l'eau à la bouche en pensant au Choo Wak Chooie.
Il ne faut pas grand-chose pour donner faim à quelqu'un en bonne santé,
n'est pas ? En général, les seuls qui n'aient pas faim sont les malades ou
ceux qui viennent de faire un bon repas. (Je ne parle même pas de ces gens minces, qui semblent n'avoir aucun intérêt particulier pour la nourriture. Quand vous leur proposez quelque chose à manger, ils disent : " Non, je n'ai pas faim. Juste avant de venir, j'ai mangé du céleri et des tomates coupées en tranches très minces avec un peu de sel. Cela me suffit ". Arrêtez !)
Dans la Bible, la faim et la soif sont très importantes, du moins la faim et la soif spirituelles. L'estomac spirituel de David grommelait, et il a crié au Seigneur : " O Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche; Mon âme a soif de toi, Mon corps soupire après toi, Dans une terre aride, desséchée, sans eau. Ainsi je te contemple dans le sanctuaire, Pour voir ta puissance et ta gloire. Car ta bonté vaut mieux que la vie: Mes lèvres célèbrent tes louanges. Je te bénirai donc toute ma vie, J'élèverai mes mains en ton nom" David imagine ce qui se passera, quand Dieu lui-même satisfera sa faim.
1 Qui est celui-ci qui vient d'Edom, De Botsra, en vêtements rouges, En habits éclatants, Et se redressant avec fierté dans la plénitude de sa force ?-C'est moi qui ai promis le salut, Qui ai le pouvoir de délivrer. - 2 Pourquoi tes habits sont-ils rouges, Et tes vêtements comme les vêtements de celui qui foule dans la cuve ?- Lire la suite
Mais comment avoir faim pour Dieu, quand vous réalisez que vous êtes
rassasié, et plus ou moins satisfait des choses telles qu'elles sont (" Rot"
o, pardonnez-moi !)? Voici quelques suggestions :
Traînez dans les endroits où il y a de bonnes odeurs. L'Esprit Saint exalte
Jésus. Allez là où il est exalté, et cherchez le Seigneur. Lorsque vous êtes quelque part où il est exalté, votre faim s'intensifie. Tout comme mes amis chinois me donnent une faim de loup avec la bonne odeur de leur nourriture, le Saint Esprit peut nous rendre vorace pour Jésus.
D'autre part, traînez avec des gens qui ont faim. Ils finiront par vous
donner faim, parce qu'ils parlent toujours de " manger ". Quand j'étais en fac, j'avais quelques amis qui ne semblaient jamais rassasiés de Jésus. Ils voulaient lui donner toute leur vie. Ils m'ont donné faim. Cherchez
des amis qui aiment manger.
Lisez la Parole de Dieu, priez, et assistez aux réunions pour " recevoir "
quelque chose (pour pouvoir donner). Lisez des " livres de cuisine ", des
livres qui vous aident à grandir dans le Seigneur. Souvent, nous faisons ces choses comme notre " devoir chrétien ". Elles deviennent des " porte
bonheurs " pour persuader Dieu de faire ce que nous désirons, ou des "
paratonnerres " pour qu'il ne soit pas fâché avec nous.
Cherchez le Seigneur dans sa Parole. Cherchez-le quand vous priez. Attendez- le quand vous le louez avec vos frères et vos soeurs.
Vous pouvez aussi utiliser vos épreuves et vos faiblesses comme un tremplin pour le connaître de plus en plus. La Bible promet que, si nous cherchons le Seigneur, nous le trouverons. Je préfèrerais que ce soit autrement, mais ce sont souvent mes faiblesses et mes douleurs qui me poussent à le chercher de tout mon coeur.
Et je suis surpris. Je ne reçois pas seulement de l'aide, mais je reçois
DIEU lui-même. C'est beaucoup mieux que seulement une réponse à ma prière.
Assez souvent, j'assiste aux repas en commun à l'église. Tant de bonnes
choses chatouillent mes yeux et mes narines que je plonge dans ces plats avec enthousiasme. Peu après, pourtant, la nourriture a perdu un peu de son goût. Je mange toujours, mais pas aussi joyeusement. Je persévère parce que je sais qu'il me faut beaucoup de cholestérol dans le sang.
Bizarrement, cela marche dans le sens contraire dans le domaine spirituel. Plus vous mangez, plus vous désirez manger. Dieu a un banquet préparé pour les gens affamés, qui désirent son Fils Jésus plus que toute autre chose. Pas de calories, pas de matière grasse, pas de cholestérol.
A table !