Un autre regard sur le don/semence

Un texte de Claude & Julia Payan

On entend plusieurs dénoncer ce qu'ils appellent l'Evangile de prospérité.
Nous sommes tout à fait d'accord sur le fait que des serviteurs de Dieu abusent du peuple et, sous prétexte de lui enseigner les lois de la semence, le plument. Ce qui est scandaleux.
Néanmoins, il ne faut pas mettre tous ceux qui prêchent que Dieu veut nous faire prospérer dans le même sac. Car le message, lui, prêché de manière équilibré, reste biblique.
Je pense qu'il y a un autre extrême qui mériterait à être plus dénoncé, c'est celui de l'Evangile de la pauvreté, l'Evangile de la médiocrité, qui détruit chaque jour les rêves, les aspirations et la vie de milliers de chrétiens car ils n'ont pas de quoi pour s'en sortir. 

Dans plusieurs de nos lettres de nouvelles, nous encourageons ceux qui nous lisent à « semer » dans notre ministère. Nous avons précisé aussi que si ce n'est pas dans notre ministère, parce qu'ils n'en sentent pas la direction, qu'ils sèment dans un autre ministère.
Bref, qu'ils ne passent pas à côté de cette vérité biblique incontournable : semer dans un ministère.

Il y a toujours quelques personnes pour penser : « Cause toujours ! » ou encore « Je ne vois pas ce qu'il y a de si biblique à cela » ou encore « Je me suis déjà fait avoir ».

Je sais qu'il y a beaucoup d'abus dans ce domaine et que « chat échaudé craint l'offrande », mais l'abus est une distorsion de la vérité qui ne doit pas devenir un prétexte pour éclipser cette vérité biblique de nos vies.

Néanmoins j'aimerais développer ici, sous un autre angle, ce sujet du don et nous aider à comprendre combien il peut être délicat pour des serviteurs de Dieu d'enseigner sur ce sujet et la responsabilité qu'ils ont devant Dieu à le faire.

Rappel

Jésus a dit : « Donnez ET il vous sera donné. » (Luc 6 : 36) En d'autres termes, c'est parce que l'on fait quelque chose que quelque chose est fait pour nous !

Paul dit aux Galates « Ne vous y trompez pas (Ne soyez pas séduits : version Darby) : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi. » (Galates 6 : 7)

Il existe donc bien, dans le monde spirituel, une loi de la semence et de la récolte.
La Parole de Dieu nous enseigne que notre univers est régi par certaines lois. Une de ces lois est la loi de la semence et de la récolte.
Il n'est pas possible de pouvoir prospérer dans le domaine matériel - comme dans tous les domaines d'ailleurs - aussi longtemps que l'on n'a pas appris à mettre cette loi en pratique dans la vie de tous les jours.

Beaucoup de gens veulent récolter là où ils n'ont pas semé, ils veulent gagner sans rien avoir à perdre. Nous ne devons pas nous tromper sur la manière dont on produit une récolte, ce qui équivaudrait à se moquer de Dieu.

Paul dit : « Sachez-le » par rapport au fait de récolter en fonction de la quantité semée (2 Corinthiens 9 : 6). Nous devons, nous sommes supposés... SAVOIR ces choses ! Beaucoup de chrétiens ne semblent pas savoir CE QU'ILS SONT SUPPOSES SAVOIR.
Ensuite, NOUS DEVONS APPRENDRE A DONNER, MAIS AUSSI A RECEVOIR afin que ceux qui ont semé reçoivent en retour la multiplication de leur offrande !

Allons plus loin. Par exemple : lorsque quelqu'un, inspiré par l'Esprit, nous fait un don et que nous le refusons, cela paraît louable au premier abord, mais en lui rendant sa semence, nous le privons de sa récolte.
C'est un autre angle – pas du tout religieux - sous lequel il faut voir les choses si la loi de la semence a vraiment un sens.

Les abus

Une bonne doctrine peut être utilisée à de mauvaises fins, mais cela ne remet pas en question son bon fondement biblique.
Il est vrai que certaines des personnes qui sont toujours en train de demander aux gens de donner sont, consciemment ou inconsciemment, des escrocs. Malheureusement, ceux qui cherchent à remplir leur propre ventre ne manquent pas !

Mais ce n'est pas le principe qu'il faut remettre en question, c'est l'état d'esprit dans lequel il est enseigné et mis en pratique.
Ce qui va donc différencier une exhortation sur l'offrande d'une autre, ou un don d'un autre, c'est la motivation qui est derrière. Celui qui enseigne doit être motivé par le désir que ceux qui donnent honorent ainsi Dieu et soient bénis en retour, et non par l'envie de se remplir les poches. Nous sommes d'accord là dessus !!!

La Bible nous dit, en effet : « Ne te tourmente pas pour t'enrichir, n'y applique pas ton intelligence. » (Proverbes 23 : 4)
Mais elle nous précise aussi que : « ...c'est l'homme intègre qui a l'argent en partage. » (Job 27 : 17)
On peut donc rester intègre tout en ayant de l'argent et, plus précisément d'après ce verset toujours, on peut en recevoir en conséquence même de notre intégrité.

Ce processus se doit d'être la conséquence d'un comportement sain, exprimé par le don, qui n'est lui-même rien d'autre que l'expression de notre amour ; et non la recherche avide des biens matériels.

La position délicate des serviteurs de Dieu (honnêtes) sur ce sujet

Un prédicateur peut arriver sur l'estrade et vous dire : « Si vous voulez être bénis, il faut que vous donniez ». Et tout le monde de s'écrier : « Escroc ! ». Or, selon la Bible, il a raison.

La réalité est même qu'il vous fera du tort s'il ne vous enseigne pas cette vérité.
En essayant, par sentimentalisme, de vous éviter de perdre momentanément, je peux gagner votre sympathie, mais je vous prive de la bénédiction. En vous cachant le message de la semence, je vous empêche de recevoir un jour une récolte. Logique !
Si, par souci de préserver son image et de ne pas être critiqué, un prédicateur n'enseigne pas à son troupeau les vérités de la semence, il l'empêche d'être béni et de parvenir à la vérité qui doit l'affranchir :

32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.

La foi qui permet de saisir les promesses vient de ce que l'on entend et non de ce que l'on n'entend pas, de ce qui nous est prêché et non de ce qui nous est caché :

17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.

Il faut donc changer notre manière de raisonner.
Voyez-vous, en tant que serviteur de Dieu, on peut pécher par cupidité, mais aussi en refusant de bénéficier de ce qui nous revient de droit PAR DECRET DIVIN, alors que c'est le moment pour cela.

Comme m'a dit un ami à cette période : « L'Ecriture nous dit de ne pas museler le boeuf lorsqu'il foule le grain (1 Corinthiens 9 : 9, 10). Maintenant, il ne faut pas que le boeuf se muselle lui-même ».
Si la cupidité nous pousse à prendre ce qui ne nous revient pas, l'orgueil ou l'esprit d'indépendance nous amène à refuser ce qui nous est dû. Plusieurs pasteurs et églises se retrouveront certainement dans les choses exposées dans ces lignes.

A cause d'une forme de pensée qui veut que toute action associant l'argent et « la religion » soit regardée comme malhonnête, nous avons souvent, en tant que serviteurs de Dieu, peur d'être trop directs et précis sur le sujet des finances.
Oui, Dieu est puissant pour pourvoir à nos besoins en faisant des miracles. Mais souvent, c'est à dessein qu'Il n'en fait pas car Il veut que Son peuple prenne ses responsabilités en apprenant à faire du soutien de Ses serviteurs une priorité.
Il veut aussi que les serviteurs prennent les leurs en enseignant le peuple correctement.

C'est une recherche de facilité, pour un pasteur, de désirer que toutes les affaires de finances se règlent par le miracle. Cela nous évite d'enseigner le peuple sur la semence, d'insister sur ce sujet et de passer pour ce que nous ne sommes pas auprès des critiqueurs.
C'est en réalisant ces choses que j'ai décidé, à une époque, d'enseigner plus clairement et d'être plus insistant sur le sujet des finances (sans trop non plus), quoi que cela coûte à mon ego.

Le fait que des serviteurs peu scrupuleux utilisent l'enseignement sur la semence pour abuser des autres doit-il nous empêcher d'agir dans un esprit de vérité ? Par peur des critiques des hommes, ne nous mettons-nous pas alors en porte-à-faux avec Dieu ?
Ayant compris cela, après plusieurs années, je préfère aujourd'hui être en porte-à-faux avec mes lecteurs qu'avec Dieu.

Expérience personnelle

J'ai personnellement été repris par le Seigneur à ce sujet, il y a plusieurs années, alors que j'étais en train de me préparer à envoyer un livre à l'imprimerie et de le financer par mes propres moyens.

Le Seigneur m'a expliqué qu'Il ne m'avait pas demandé de porter cela tout seul.
Et que si je voulais le faire, c'était en partie parce que j'étais prêt à tout donner pour Lui, certes, mais que j'étais aussi motivé par un esprit d'indépendance trop prononcé et par ma peur d'être critiqué en appelant d'autres à l'aide.

J'avais fait à certains moments quelques appels timides, mais devant le peu de réactions, je n'avais pas insisté. Je m'étais dit alors : « Je vais faire les choses moi-même et ce sera moins compliqué ». Mais Dieu n'honora pas cette tactique ni ces motivations.
Pourtant Dieu me demandait de persévérer dans ce sens plutôt que de choisir la solution de facilité.

En ce qui concernait le financement de l'impression du dit livre, je compris que je ne devais pas m'en occuper personnellement. Alors que je me trouvais quelque part pour le ministère, j'ai entendu le Saint-Esprit me dire quelque chose comme : « Tu ne vas pas financer toi-même ce livre, mais tu vas donner l'occasion aux frères et soeurs de différentes églises d'y participer et d'être bénis ».
Et j'ai clairement senti que le Seigneur disait qu'Il allait bénir financièrement tous ceux qui, dans un bon état d'esprit, investiraient dans la fabrication de ce livre car ce qu'un homme sème, il le récolte.

Cette récolte ne doit pas être la motivation première, évidemment, mais la conséquence de participer à un projet qui permettra à l'oeuvre de Dieu d'aller de l'avant. Je fis donc une lettre en français et en anglais, que nous fîmes parvenir à l'ensemble de nos contacts, expliquant les choses que je viens de partager avec vous.
Croyez-moi, c'est gênant lorsque l'on a pris l'habitude de fonctionner seul dans ce domaine, et encore plus gênant de dire que Dieu vous a dit qu'Il bénirait ceux qui donneront.

Vous imaginez déjà ceux qui vont penser : « Mon vieux, si tu crois que l'on va te prendre au sérieux », et ceux qui vont vous identifier à une catégorie de serviteurs qui font continuellement ce genre d'appel dans le seul but de « plumer » leurs auditeurs (ce qui est aussi une réalité).
Le jour même où j'envoyais cette lettre par internet, je reçus une réponse qui, à elle seule, pourvoyait à la moitié des frais d'impression de ce livre. Le reste de l'argent parvint dans les semaines qui suivirent.

En obéissant à l'injonction du Saint-Esprit de ne pas toujours faire seul, je permis à la fois au Corps de Christ de bouger dans un même projet, à plusieurs d'être bénis en retour et au problème de financement du livre d'être résolu.

Extérieurement, je respectais la loi de la semence dans son état « brut », si je puis dire, mais d'un autre côté je l'enfreignais car j'empêchais le Corps de Christ de fonctionner et à d'autres personnes d'être bénies. En rectifiant le tir, je rouvrais les écluses de ma propre bénédiction.
Le seul point triste est que la personne qui avait donné à elle seule la moitié du prix de l'impression du bouquin était des USA (décoincée sur le sujet). J'ai prié que des Français se lèvent avec le même zèle.

Et ça vient ; tranquillement, mais ça vient. Déjà plusieurs partenaires s'engagent à nos côtés et nous permettent d'aller de l'avant, alléluia ; la brochure de Julia a été totalement financée par une Française. Il y a encore du boulot, mais j'ai la foi !
Cette sorte de message a pour but de faire évoluer les mentalités.

Elie et la veuve

Quelqu'un pensera peut-être : « Donner, c'est pour les riches, pas pour les pauvres », ou encore : « C'est un prétexte pour que les serviteurs de Dieu nous plument », etc.

Dans un 1 Rois 17 : 8 à 16, il est question du miracle que reçut une pauvre veuve et de la manière dont elle le reçut.

8 Alors la parole de l'Eternel lui fut adressée en ces mots : 9 Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir. Lire la suite

Dieu dit qu'Il a ordonné à une veuve de nourrir Elie ! Or la veuve n'est pas, selon la logique humaine, en état de le nourrir convenablement. Il ne lui reste qu'un peu de farine et d'huile, et elle ne sait pas comment elle va pouvoir survivre après.
Pourquoi Dieu n'a-t-Il pas envoyé Elie chez un homme qui tenait un hôtel quatre étoiles ? Savez-vous pourquoi ?
Car Il voulait bénir cette veuve ! Mais elle n'aurait pas été bénie sans avoir été éprouvée, sans avoir été rendue digne d'être bénie. Comment cela ?
En étant mise au défi de faire passer le représentant de Dieu, le prophète Elie, en priorité. Dès qu'il la voit, Elie commence par lui demander :
« Va me chercher, je te prie, un peu d'eau dans un vase afin que je boive. »
Elle alla lui chercher l'eau. Ensuite...
« Il l'appela de nouveau, et dit : Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main. »
Elle lui répondit :
« L'Eternel, ton Dieu, est vivant ! Je n'ai rien de cuit, je n'ai qu'une poignée de farine dans un pot et un peu d'huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils ; nous mangerons, après quoi nous mourrons. »
Elie continue sur sa lancée, il lui dit de ne pas craindre mais...
« Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras ; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils. »
Lui promettant un miracle EN RETOUR !
« Car ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël : La farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu'au jour où l'Eternel fera tomber de la pluie sur la face du sol. »
La veuve ne reçut donc pas un miracle sans rien faire, mais en honorant le serviteur de Dieu avec sa propre subsistance, elle honora Dieu Lui-même.
« Elle alla, et elle fit selon la parole d'Elie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Elie. »
Il est dit que pendant longtemps - PENDANT LONGTEMPS ! - elle eut de quoi manger, elle, sa famille et Elie ! Elle n'a rien perdu, elle a tout gagné !
Elle a passé le test de Dieu. Certaines personnes auraient envoyé promener Elie, dès la première demande d'aller lui chercher de l'eau. D'autres encore, ne comprenant pas les lois de Dieu, auraient crié à l'abus, à l'injustice, à l'escroquerie.
Imaginez les gros titres des journaux : « Un prophète mange la moitié du gâteau qui restait à une pauvre veuve ».
Ne pas comprendre les lois, les priorités et les principes de bénédiction de Dieu, c'est se soustraire à cette bénédiction !

Elisée et la veuve

On peut penser aussi que ces principes ne sont pas pour ceux qui sont couverts de dettes et qui ont trop de soucis pour s'intéresser aux autres, en priorité, plutôt qu'à eux.
Dans 2 Rois 4 : 1 à 7, la Bible relate l'histoire d'une autre veuve qui était couverte de dettes. Le prophète Elisée lui donna des directives qui lui ont permis de passer du manque à l'abondance. Elle reçut un miracle qui lui permit de payer toutes ses dettes et d'avoir encore plus que ce qu'il lui fallait pour continuer à vivre.
Ce passage de l'Ecriture nous montre que le Seigneur va utiliser Ses serviteurs pour nous bénir si nous les respectons, les honorons et les écoutons.
Cette femme, qui a été sortie de ses dettes, n'était pas n'importe quelle sorte de femme, mais une femme respectueuse des serviteurs de Dieu : elle a suivi les directives d'Elisée qui, une fois qu'elle a rempli les vases, lui a dit alors de vendre l'huile afin de payer ses dettes.
Beaucoup de gens veulent des miracles, mais n'en font qu'à leur tête : vous leur dites des choses pour les aider, ils le prennent mal ou font tout le contraire !

Facteur d'onction

Je me suis rendu compte que lorsque je prêchais sur ce sujet, au moment où l'on priait pour les gens, l'onction était plus forte que la normale.
Cela s'explique aisément : derrière cette affaire d'offrande, il y a bien plus qu'une question d'argent. Nous l'avons dit, il y a le fait d'honorer Dieu Lui-même !
Et Dieu honore alors ceux qui L'honorent !
Le Seigneur fait mention, dans Sa Parole, de bénédictions particulières en retour de notre obéissance à assurer la nourriture des serviteurs dans Sa maison :
« Et la vigne ne sera pas stérile dans vos campagnes, dit l'Eternel des armées. »
La vigne est liée au vin nouveau qui symbolise la puissance de l'Esprit. On peut littéralement dire que donner débloque la puissance de Dieu.
Dieu dit à Aaron :
« L'Eternel dit à Aaron : Voici, de toutes les choses que consacrent les enfants d'Israël, Je te donne celles qui me sont offertes par élévation ; Je te les donne, à toi et à tes fils, comme droit d'onction, par une loi perpétuelle. » (Nombres 18 : 8)
Ces choses, ces offrandes, sont données comme « droit d'onction », « à cause de l'onction » selon une autre traduction.
Le fait de donner aux serviteurs est lié à l'onction ! Quoi d'étonnant que l'onction augmente lorsque l'on donne aux serviteurs en priorité ? Plus on honore un serviteur de Dieu, plus l'onction grandit et plus on prospère.
Le manque de respect des serviteurs de Dieu, qu'ont tant de chrétiens et d'églises aujourd'hui, cause la perte d'onction et précipite leur faillite sans qu'ils s'en rendent compte.

Changeons donc notre mentalité, si besoin est, sur ce point si biblique du don, de la semence et de la récolte... et du soutien des serviteurs de Dieu
Lorsque nous entendons prêcher sur le sujet, n'ayons pas ou plus (tout en restant prudent, on est d'accord) comme premier réflexe de nous braquer.
Et lorsque l'occasion nous est donnée de participer, aux côtés d'un ministère, à faire avancer l'oeuvre de Dieu, prenons-le comme UN HONNEUR et non comme un fardeau, comme un moyen de libérer le processus de... notre propre bénédiction ! Yes !
 

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