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Voici : tu prétends être plus sage que Daniel, pensant qu'aucun mystère ne t'est impénétrable.
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pendant que tu étais couché, ô roi, tu t'es mis à penser à l'avenir. Alors celui qui révèle les secrets t'a fait connaître ce qui doit arriver.
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Une nuit, j'ai fait un rêve qui m'a rempli d'effroi ; les pensées qui m'ont hanté sur mon lit et les visions de mon esprit m'ont épouvanté.
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Alors Daniel, nommé aussi Beltchatsar, demeura un moment interloqué : ses pensées l'effrayaient. Le roi reprit et dit : Beltchatsar, que le songe et son explication ne te troublent pas ! Mon Seigneur, répondit Beltchatsar, je souhaiterais que ce songe s'applique à tes ennemis, et sa signification à tes adversaires !
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Alors son visage devint blême, des pensées terrifiantes l'assaillirent, il se mit à trembler de tout son être et ses genoux s'entrechoquèrent.
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Quand la reine-mère fut informée de ce qui troublait le roi et ses hauts dignitaires, elle pénétra dans la salle du festin. Elle prit la parole et dit : Que le roi vive éternellement ! Ne te laisse pas terrifier par tes pensées et que ton visage ne pâlisse pas ainsi !
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Ici prend fin le récit. Quant à moi, Daniel, je fus très effrayé par mes pensées et j'en devins blême. Je gardai ces choses en mémoire.
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Car attention : c'est lui qui a fait les montagnes, qui a créé le vent. C'est lui qui fait connaître à l'homme sa pensée, lui qui des ténèbres fait naître l'aube, lui qui marche sur les sommets, les hauteurs de la terre. Son nom est l'Eternel, Dieu des armées célestes.
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Car le jour du malheur, vous pensez l'éloigner, mais vous vous attirez un règne de violence.
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Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Si ce qui reste de ce peuple pense que c'est trop extraordinaire pour ces jours-là, dois-je, moi aussi, l'estimer impossible ? le Seigneur des armées célestes le demande.
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Là-dessus, quelques spécialistes de la Loi pensèrent en eux-mêmes : « Cet homme blasphème ! »
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Mais Jésus connaissait leurs pensées. Il leur dit : Pourquoi avez-vous ces mauvaises pensées en vous-mêmes ?
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Le Fils de l'homme est venu, il mange et boit, et l'on dit : « Cet homme ne pense qu'à faire bonne chère et à boire du vin, il est l'ami des collecteurs d'impôts et des pécheurs notoires. » Et cependant, la sagesse de Dieu se fait reconnaître comme telle par les oeuvres qu'elle accomplit.
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Mais Jésus, connaissant leurs pensées, leur dit : Un pays déchiré par la guerre civile est dévasté. Aucune ville, aucune famille divisée ne peut subsister.
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Car, c'est du coeur que proviennent les mauvaises pensées qui mènent au meurtre, à l'adultère, à l'immoralité, au vol, aux faux témoignages, aux blasphèmes.
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Mais Jésus, se retournant, lui dit : Arrière, « Satan » ! Eloigne-toi de moi ! Tu es un obstacle à ma mission, car tes pensées ne sont pas celles de Dieu ; ce sont des pensées tout humaines.
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Mais si, répondit-il, il le paie. Quand Pierre fut entré dans la maison, Jésus, prenant les devants, lui demanda : Qu'en penses-tu, Simon ? Qui est-ce qui paie les taxes et les impôts aux rois de la terre ? Les fils ou les étrangers ?
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Qu'en pensez-vous ? Si un homme a cent brebis, et que l'une d'elles s'égare, ne laissera-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne, pour aller à la recherche de celle qui s'est égarée ?
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Que pensez-vous de l'histoire que voici ? ajouta Jésus. Un homme avait deux fils. Il alla trouver le premier et lui dit : « Mon fils, va aujourd'hui travailler dans notre vigne. »
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Dis-nous donc ce que tu penses de ceci : A-t-on, oui ou non, le droit de payer des impôts à César ?