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Car c'est un jour de trouble, de catastrophe, de destruction que l'Eternel envoie, le Seigneur des armées célestes, dans la vallée de la vision. Un mur est abattu, et des cris de détresse s'élèvent vers les monts.
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Israël franchira la mer de la détresse. L'Eternel frappera les vagues de la mer, et il mettra à sec le Nil jusqu'en ses profondeurs. L'orgueil de l'Assyrie sera brisé, le sceptre de l'Egypte lui sera enlevé.
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Je plongerai les hommes dans la détresse, et, comme des aveugles, ils marcheront en tâtonnant parce qu'ils ont péché contre moi, l'Eternel. Leur sang sera versé comme de la poussière et, comme des ordures, leurs corps seront jetés.
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N'aie pas peur des souffrances qui t'attendent. Voici, le diable va jeter plusieurs d'entre vous en prison, pour vous tenter, et vous connaîtrez dix jours de détresse. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la vie comme prix de ta victoire.
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Moi, Jean, votre frère, qui partage avec vous la détresse, le royaume et la persévérance dans l'union avec Jésus, j'étais dans l'île de Patmos parce que j'avais proclamé la Parole de Dieu et le témoignage rendu par Jésus.
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Eternel, toi ma force, mon rempart, toi, mon refuge, au temps de la détresse, les nations accourront vers toi des confins de la terre en proclamant : « Nos pères n'ont eu en partage que des idoles mensongères, des divinités inutiles qui ne servent à rien.
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Et tous les gens qui étaient dans la détresse, tous ceux qui avaient des dettes et tous les mécontents se rallièrent à lui, et il devint leur chef. Il y eut ainsi quelques quatre cents hommes qui se regroupèrent autour de lui.
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Dans toutes leurs détresses, il a été lui-même dans la détresse, et l'ange qui se tient en sa présence les a sauvés. Dans son amour et dans sa compassion, il les a libérés, il les a soutenus et il les a portés tous les jours d'autrefois.
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Regarde, ô Eternel, je suis dans la détresse ; tout mon être intérieur est en bouillonnement. Mon coeur chavire en moi parce que je me suis gravement révoltée. Tandis qu'à l'extérieur l'épée me prive de mes enfants, dans la maison c'est comme chez la mort.
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Si donc nous passons par la détresse, c'est pour votre réconfort et votre salut. Et si nous sommes réconfortés, c'est pour que vous receviez, vous aussi, du réconfort afin de pouvoir supporter les mêmes souffrances que nous endurons.
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Que mes persécuteurs soient dans la confusion, et que je ne sois pas confus ! Qu'ils soient saisis de peur, et que je n'aie pas peur ! Fais arriver sur eux le jour de la détresse, et brise-les par un double désastre !
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« Si un malheur s'abat sur nous : une guerre, un châtiment, une épidémie ou la famine, nous viendrons nous tenir devant ce Temple, devant toi, puisque ta présence est établie dans ce sanctuaire, et du fond de notre détresse, nous implorerons ton secours ; alors tu écouteras et tu sauveras ! »
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Voici donc ce que tu dois savoir et comprendre : Depuis le moment où le décret ordonnant de restaurer et de rebâtir Jérusalem a été promulgué jusqu'à l'avènement d'un chef ayant reçu l'onction, il s'écoulera sept septaines et soixante-deux septaines. La ville sera rebâtie et rétablie avec ses places et ses remparts, en des temps de détresse.
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En effet, ce jour-là est un jour de colère, c'est un jour de détresse et de malheur, un jour de destruction et de désolation, un jour d'obscurité et d'épaisses ténèbres, c'est un jour de nuages et de brouillards épais,
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En ce temps-là, se lèvera Michel, le grand chef qui a pour mission d'aider ton peuple. Ce sera un temps de détresse tel qu'il n'y en a jamais eu depuis que des nations existent jusqu'à ce moment-là. En ce temps-là seront sauvés ceux de ton peuple dont le nom est inscrit dans le livre.
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Car tu es un refuge pour celui qui est pauvre et une forteresse pour l'indigent dans sa détresse. Tu es un sûr abri contre la pluie d'orage et tu es notre ombrage au temps de la chaleur. Car la colère ardente des tyrans ressemble à une pluie d'orage qui bat une muraille
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Pourquoi troubles-tu mon repos ? lui demanda Samuel. Pourquoi m'as-tu fait revenir ? Je suis dans une grande détresse, lui dit Saül. Les Philistins m'ont déclaré la guerre et Dieu s'est détourné de moi, il ne me répond plus ni par les prophètes ni par des rêves. Alors je t'ai fait appeler pour que tu m'indiques ce que je dois faire.
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Non, tu n'aurais pas dû te complaire au spectacle au jour du malheur de ton frère, au jour de sa détresse. Non, tu n'aurais pas dû te réjouir au détriment des Judéens au jour de leur désastre, ni ouvrir grand la bouche pour insulter et te moquer au jour de leur angoisse.
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Or, c'est la nation d'Israël qui est la vigne de l'Eternel, du Seigneur des armées célestes. Le plant qui faisait ses délices ce sont les habitants du pays de Juda. Il attendait d'eux la droiture, et ce n'est qu'injustice ; il attendait d'eux la justice, et ce sont des cris de détresse.
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Alors tu les as livrés au pouvoir de leurs ennemis qui les ont attaqués. Mais une fois dans la détresse, ils ont imploré ton secours ; et toi, tu les as entendus du haut du ciel et, dans ton immense compassion, tu leur as envoyé des libérateurs qui les ont délivrés de leurs ennemis.