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Tes paroles ont relevé ceux qui chancelaient, Tu as affermi les genoux qui pliaient.
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Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer; Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu'à la folie !
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Que les paroles vraies sont persuasives ! Mais que prouvent vos remontrances ?
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Jusqu'à quand veux-tu discourir de la sorte, Et les paroles de ta bouche seront-elles un vent impétueux ?
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Et moi, comment lui répondre ? Quelles paroles choisir ?
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Cette multitude de paroles ne trouvera-t-elle point de réponse, Et suffira-t-il d'être un discoureur pour avoir raison ?
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L'oreille ne discerne-t-elle pas les paroles, Comme le palais savoure les aliments ?
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Ecoutez, écoutez mes paroles, Prêtez l'oreille à ce que je vais dire.
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Tiens-tu pour peu de chose les consolations de Dieu, Et les paroles qui doucement se font entendre à toi?...
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Moi aussi, je pourrais parler comme vous, Si vous étiez à ma place: Je vous accablerais de paroles, Je secouerais sur vous la tête,
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Oh ! je voudrais que mes paroles fussent écrites, Qu'elles fussent écrites dans un livre;
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Ecoutez, écoutez mes paroles, Donnez-moi seulement cette consolation.
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Reçois de sa bouche l'instruction, Et mets dans ton coeur ses paroles.
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Je n'ai pas abandonné les commandements de ses lèvres; J'ai fait plier ma volonté aux paroles de sa bouche.
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S'il n'en est pas ainsi, qui me démentira, Qui réduira mes paroles à néant ?
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A qui s'adressent tes paroles ? Et qui est-ce qui t'inspire ?
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Qu'il y croisse des épines au lieu de froment, Et de l'ivraie au lieu d'orge ! Fin des paroles de Job.
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J'ai attendu la fin de vos discours, J'ai suivi vos raisonnements, Votre examen des paroles de Job.
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Je vous ai donné toute mon attention; Et voici, aucun de vous ne l'a convaincu, Aucun n'a réfuté ses paroles.
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Car je suis plein de paroles, L'esprit me presse au dedans de moi;