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Dis-leur : « Aussi vrai que je suis vivant, le Seigneur, l'Eternel, le déclare, je ne prends aucun plaisir à la mort du méchant, je désire qu'il abandonne sa conduite et qu'il vive. Détournez-vous, détournez-vous donc de votre mauvaise conduite ! Pourquoi devriez-vous mourir, gens d'Israël ? »
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David se dit : « Je veux témoigner de la bonté au jeune roi comme son père m'en a témoigné. » David lui envoya donc certains de ses hauts fonctionnaires pour lui présenter ses condoléances à l'occasion de la mort de son père. Lorsque ceux-ci arrivèrent au pays des Ammonites,
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Et ils chantaient un cantique nouveau : Oui, tu es digne de recevoir le livre, et d'en briser les sceaux car tu as été mis à mort et tu as racheté pour Dieu, par ton sang répandu, des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, de toutes les nations.
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Ne pleurez pas sur le roi qui est mort, ne vous lamentez pas sur lui ! Pleurez, pleurez plutôt sur celui qui s'en va parce qu'il ne reviendra pas : il ne reverra plus la terre où il est né.
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A peine se furent-ils retirés de chez lui, en le laissant dans de grandes souffrances, que ses ministres conspirèrent contre lui, à cause du meurtre des fils du prêtre Yehoyada ; ils l'assassinèrent dans son lit. Une fois mort, on l'enterra dans la cité de David, mais pas dans les tombeaux des rois.
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Joab lui répondit : Si tu y vas, tu ne seras pas porteur d'une bonne nouvelle aujourd'hui. Tu pourras être une autre fois porteur de bonnes nouvelles. Mais aujourd'hui, ce ne sera pas une bonne nouvelle puisque le fils du roi est mort.
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Alors le roi frémit ; il monta dans la chambre supérieure au-dessus de la porte et pleura. Tout en marchant et sanglotant, il ne cessait de répéter : Mon fils Absalom ! Mon fils, mon fils Absalom ! Si seulement j'étais mort à ta place ! Absalom, mon fils, mon fils !
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Mais David dit : De quoi vous mêlez-vous, fils de Tserouya, pour vous comporter aujourd'hui comme mes adversaires ? Est-ce vraiment un jour pour mettre quelqu'un à mort en Israël ? Est-ce que je n'ai pas aujourd'hui l'assurance de régner sur Israël ?
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Mais il y a une différence entre la faute d'Adam et le don gratuit de Dieu ! En effet, si la faute d'un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu accordée gratuitement par un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup.
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Et à cause de la grandeur qu'il lui avait accordée, les gens de tous peuples, de toutes nations et de toutes langues tremblaient de peur devant lui. La vie et la mort de chacun dépendaient de son bon vouloir ; il élevait et abaissait qui il lui plaisait.
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C'est lui qui nous a rendus capables d'être les serviteurs d'une nouvelle alliance qui ne dépend pas de la Loi, avec ses commandements écrits, mais de l'Esprit. Car la Loi, avec ses commandements écrits, inflige la mort. L'Esprit, lui, communique la vie.
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Un des plus grands maux parmi tout ce qui se passe sous le soleil, c'est que tous les hommes connaissent un sort identique. Voilà pourquoi les hommes sont remplis de méchanceté, et la déraison règne sur leur coeur tout au long de leur vie. C'est qu'après cela, il y a la mort !
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A-t-il été mis à mort pour cela par Ezéchias, roi de Juda, ou par le peuple de Juda ? N'ont-ils pas plutôt respecté l'Eternel ? Ils l'ont imploré, si bien que l'Eternel a renoncé au malheur dont il les avait menacés. Et nous, nous nous rendrions responsables d'un si grand crime ?
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Voici ce que vous dites : « Nous avons fait alliance avec la mort et, avec le séjour des morts, nous avons fait un pacte : quand le flot débordant déferlera, il ne viendra pas jusqu'à nous, car nous nous sommes fait du mensonge un abri, et la duplicité sera notre refuge. »
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Toutefois si, depuis quelque temps, ce boeuf avait l'habitude d'attaquer les gens à coups de corne et que son propriétaire en a été formellement averti mais ne l'a pas surveillé, et si ce boeuf tue quelqu'un, il sera abattu à coups de pierres et son propriétaire sera puni de mort.
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Voilà pourquoi je lui donnerai une part avec ces gens nombreux : il partagera le butin avec la multitude, car il s'est dépouillé lui-même jusqu'à la mort et s'est laissé compter parmi les malfaiteurs, car il a pris sur lui les fautes d'un grand nombre, il est intervenu en faveur des coupables.
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Booz lui répondit : On m'a bien raconté tout ce que tu as fait pour ta belle-mère après la mort de ton mari. Je sais que tu as quitté ton père et ta mère et ton pays natal pour venir vivre chez un peuple que tu ne connaissais pas auparavant.
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Le ministère de Moïse, au service de la Loi, dont les lettres ont été gravées sur des pierres, a conduit à la mort. Cependant, ce ministère a été glorieux, au point que les Israélites n'ont pas pu regarder Moïse en face, à cause de la gloire, pourtant passagère, dont rayonnait son visage.
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Je sais, en effet, qu'après ma mort vous ne manquerez pas de vous corrompre et de vous détourner du chemin que je vous ai prescrit. Alors le malheur fondra sur vous dans l'avenir, parce que vous aurez fait ce que l'Eternel considère comme mal et que vous aurez provoqué sa colère par vos actes.
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En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde du péché a été crucifié pour moi, de même que moi je l'ai été pour ce monde.