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Personne n'est maître de son souffle de vie, personne ne peut le retenir, personne n'a de pouvoir sur le jour de sa mort : il n'y a pas de trêve dans la lutte pour survivre et ce n'est pas la méchanceté qui sauvera celui qui s'y livre.
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Mais il m'a annoncé que je vais être enceinte et que je mettrai un fils au monde. Il m'a dit de ne boire ni vin, ni boisson alcoolisée et de ne rien manger d'impur, car l'enfant sera consacré à Dieu dès le sein maternel et jusqu'à sa mort.
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L'un de ses aides de camp nommé Péqah, fils de Remaliahou, conspira contre lui. Il l'assassina dans la forteresse intérieure du palais royal avec l'aide d'Argob et d'Arié et avec le concours de cinquante hommes de Galaad. Après l'avoir mis à mort, il lui succéda sur le trône.
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Car tous les membres de la famille de mon grand-père Saül n'avaient rien d'autre à attendre de mon seigneur le roi que la mort ; malgré cela, tu as accueilli ton serviteur parmi ceux qui mangent à ta table. Quel droit aurais-je encore d'implorer d'autres faveurs de la part du roi ?
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Puis il dit : Que je meure avec les Philistins ! Puis il poussa de toutes ses forces, et le bâtiment s'écroula sur les princes et sur toute la foule qui s'y trouvait. Ainsi il fit périr plus de monde par sa mort que de son vivant.
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Car si, par la faute commise par un seul homme, la mort a régné à cause de ce seul homme, à bien plus forte raison ceux qui reçoivent les trésors surabondants de la grâce et le don de la justification régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ, lui seul.
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A ce moment-là, Yonadab, fils de Chimea, le frère de David, prit la parole et déclara : Que mon seigneur ne pense pas que tous les fils du roi ont été tués ; Amnôn seul est mort. Depuis le jour où il a violé sa soeur Tamar, Absalom parlait de le tuer.
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Il restera dans cette ville jusqu'à ce qu'il comparaisse devant l'assemblée pour être jugé, et jusqu'à la mort du grand-prêtre en fonction à cette époque-là. Après cela, il pourra retourner dans sa maison, dans sa ville d'origine, celle dont il s'était enfui.
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Regarde, ô Eternel, je suis dans la détresse ; tout mon être intérieur est en bouillonnement. Mon coeur chavire en moi parce que je me suis gravement révoltée. Tandis qu'à l'extérieur l'épée me prive de mes enfants, dans la maison c'est comme chez la mort.
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Alors ils crièrent à l'Eternel et dirent : O Eternel, nous t'en prions, ne nous fais pas périr à cause de cet homme et ne nous tiens pas responsables de la mort d'un innocent. Car toi, ô Eternel, tu as fait ce que tu as voulu.
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Ce n'est plus moi qui vis, c'est le Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu'homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s'est livré à la mort à ma place.
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J'ai découvert quelque chose de plus amer que la mort : c'est une femme dont le coeur est un guet-apens et un piège, et dont les bras sont des chaînes. Celui qui jouit de la faveur de Dieu échappera à ses griffes, mais le pécheur s'y laissera prendre.
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Il battit aussi les Moabites. Il fit coucher les prisonniers par terre et les mesura au cordeau. Il fit mettre à mort deux longueurs de cordeau d'hommes sur trois et accorda la vie sauve aux autres. Ainsi, les Moabites furent assujettis à David et lui payèrent un tribut.
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Et je vis venir un cheval blême. Son cavalier s'appelle « La Mort » et il était suivi du séjour des morts. Il leur fut donné le pouvoir sur le quart de la terre de faire périr les hommes par l'épée, la famine, les épidémies et les bêtes féroces.
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Vous m'avez profané devant mon peuple pour quelques poignées d'orge et des morceaux de pain, en donnant la mort à des gens qui n'ont pas à mourir, et en laissant vivre d'autres qui ne devraient pas vivre, en mentant à mon peuple qui croit à ces mensonges.
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Il lui dit : Dis à ton frère Aaron de ne pas entrer à tout moment dans le sanctuaire au-delà du voile, devant le propitiatoire qui repose sur le coffre sacré afin qu'il n'encoure pas la mort ; car j'apparais dans la nuée au-dessus du propitiatoire.
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Ne savez-vous pas qu'en vous mettant au service de quelqu'un comme des esclaves pour lui obéir, vous êtes effectivement les esclaves du maître à qui vous obéissez : ou bien du péché qui entraîne la mort, ou bien de l'obéissance qui conduit à une vie juste ?
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En effet, la richesse décevra le guerrier orgueilleux, et il ne réussira pas, lui qui, tel le séjour des morts, ouvre une large bouche et qui, comme la mort, n'est jamais rassasié. Car il ajoute à ses conquêtes nation après nation, et il rassemble tous les peuples sous sa domination.
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Je prends aujourd'hui le ciel et la terre à témoins : je vous offre le choix entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisissez donc la vie, afin que vous viviez, vous et vos descendants.
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Alors le prêtre Yehoyada ordonna aux chefs de « centaines » qui commandaient l'armée : Faites-la sortir de l'enceinte du Temple entre les rangs ! Et si quelqu'un la suit, vous le mettrez à mort. Car, avait dit le prêtre : « Qu'elle ne meure pas dans l'enceinte du Temple de l'Eternel. »