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David s'exclama : Je m'étais bien douté, l'autre jour, que Doëg l'Edomite, qui était aussi à Nob, ne manquerait pas d'informer Saül de tout ce qui s'est passé. C'est donc moi qui suis la cause de la mort de toutes les personnes de ton groupe familial.
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Esaü prit Jacob en haine à cause de la bénédiction qu'il avait reçue de son père et il se dit en lui-même : La mort de mon père n'est pas loin, alors je tuerai Jacob mon frère.
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Par la foi, Abel a offert à Dieu un sacrifice meilleur que celui de Caïn. Grâce à elle, il a été déclaré juste par Dieu qui a témoigné lui-même qu'il approuvait ses dons, et grâce à elle Abel parle encore, bien que mort.
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Tu leur fixeras des limites autour de la montagne et tu leur donneras cet avertissement : « Gardez-vous bien de gravir cette montagne et même de vous en approcher ; quiconque s'en approchera sera puni de mort.
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Voilà pourquoi il est le médiateur d'une alliance nouvelle, afin que ceux qui sont appelés reçoivent l'héritage éternel que Dieu leur avait promis. Car une mort est intervenue pour libérer de leur culpabilité les hommes qui avaient péché sous la première alliance.
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Mais Abichaï, fils de Tserouya, vint au secours de David, et mit à mort le Philistin. Alors les hommes de David adjurèrent le roi de ne plus venir avec eux au combat, pour ne pas risquer de mettre le guide d'Israël en péril.
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Et il commença à leur enseigner que le Fils de l'homme devait beaucoup souffrir, être rejeté par les responsables du peuple, les chefs des prêtres et les spécialistes de la Loi ; il devait être mis à mort et ressusciter trois jours après.
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Aucun d'eux ne touchera le corps d'un homme mort pour ne pas se rendre impur, sauf lorsqu'il s'agira de leur père ou de leur mère, de leur fils ou de leur fille, de leur frère ou de leur soeur non mariée.
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Puisque tu t'es lié à moi, ton serviteur, par un pacte d'amitié au nom de l'Eternel, agis envers moi avec bienveillance. Et si je suis coupable de quoi que ce soit, ce n'est pas la peine de me livrer à ton père : mets-moi toi-même à mort.
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Ils sont serviteurs du Christ ? C'est une folie que je vais dire : je le suis plus qu'eux. Car j'ai travaillé davantage, j'ai été plus souvent en prison, j'ai essuyé infiniment plus de coups ; plus souvent, j'ai vu la mort de près.
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Mais Asaël refusa de le lâcher. Alors Abner lui enfonça la pointe de sa lance dans le ventre et l'arme ressortit par le dos. Asaël s'affaissa sur place et mourut là. Tous ceux qui arrivèrent à l'endroit où Asaël était mort, s'arrêtèrent là.
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C'est pourquoi ne nous attardons pas aux notions élémentaires de l'enseignement relatif au Christ. Tournons-nous plutôt vers ce qui correspond au stade adulte, sans nous remettre à poser les fondements, c'est-à-dire : l'abandon des actes qui mènent à la mort et la foi en Dieu,
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Puis l'Eternel frappa très sévèrement les Asdodiens et fit des ravages parmi eux en les frappant de tumeurs ; [des rats apparurent dans le pays, semant la mort et la destruction] dans la ville et les territoires qui en dépendaient.
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Il s'installa et fit déboucher les puits qu'on avait creusés du temps de son père Abraham et que les Philistins avaient comblés après la mort d'Abraham, et il leur donna les mêmes noms que son père.
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Mais si l'on savait que le boeuf qui en a tué un autre avait l'habitude de donner des coups de corne et si son maître ne l'a pas surveillé, celui-ci devra remplacer le boeuf qui a été tué et l'animal mort lui appartiendra.
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Car nous lui devons notre paix. Il a, en effet, instauré l'unité entre les Juifs et les non-Juifs et abattu le mur qui les séparait : en livrant son corps à la mort, il a annulé les effets de ce qui faisait d'eux des ennemis,
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Savez-vous qui vous devez craindre ? Je vais vous le dire : c'est celui qui, après la mort, a le pouvoir de vous jeter en enfer. Oui, je vous l'assure, c'est lui que vous devez craindre.
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Si je suis coupable et si j'ai commis un crime passible de la peine de mort, je ne refuse pas de mourir. Mais si les accusations de ces gens-là sont sans aucun fondement, nul n'a le droit de me livrer entre leurs mains. J'en appelle à l'empereur !
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Saül se déguisa en endossant d'autres vêtements, puis il se mit en route avec deux hommes. Ils arrivèrent de nuit chez la femme, et Saül lui dit : Je désire que tu me prédises l'avenir en faisant apparaître l'esprit d'un mort, celui que je te désignerai.
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Car ce n'est pas pour baptiser que le Christ m'a envoyé, c'est pour proclamer la Bonne Nouvelle. Et cela, sans recourir aux arguments de la sagesse humaine, afin de ne pas vider de son sens la mort du Christ sur la croix.