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Là-dessus, Isaac conduisit Rébecca dans la tente de Sara, sa mère ; il la prit pour femme et il l'aima. C'est ainsi qu'il fut consolé de la mort de sa mère.
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Un jeune homme nommé Eutychus s'était assis sur le rebord de la fenêtre et, comme Paul prolongeait encore l'entretien, il s'endormit profondément. Soudain, dans son sommeil, il perdit l'équilibre et tomba du troisième étage. Quand on le releva, il était mort.
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Puis les Israélites se demandèrent les uns aux autres quel groupe, parmi toutes les tribus d'Israël, n'était pas venu à l'assemblée tenue devant l'Eternel. Car on s'était solennellement engagé par serment à mettre à mort quiconque ne viendrait pas à Mitspa devant l'Eternel.
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Sur ces entrefaites survint Baraq poursuivant Sisera. Yaël sortit au-devant de lui et lui dit : Viens, je te montrerai l'homme que tu cherches. Il la suivit et vit Sisera mort, étendu sur le sol, la tempe transpercée du piquet.
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Mardochée avait élevé sa cousine Hadassa c'est-à-dire Esther orpheline de père et de mère. Cette jeune fille était bien faite et d'une grande beauté. A la mort de ses parents, Mardochée l'avait adoptée comme sa fille.
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Puis il fit crever les yeux à Sédécias et le fit lier avec une double chaîne de bronze. Après cela, le roi de Babylone le déporta à Babylone où il l'enferma en prison. Sédécias y resta jusqu'à sa mort.
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L'Eternel frappa le roi de lèpre ; il resta lépreux jusqu'au jour de sa mort et vécut dans une maison d'isolement. Yotam, le fils du roi, avait la charge du palais royal et gouvernait le peuple du pays.
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Ainsi, au cours de sa vie sur terre, Jésus, avec de grands cris et des larmes, a présenté des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et il a été exaucé, à cause de sa soumission à Dieu.
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Je sais que là où tu habites, Satan a son trône. Mais tu me restes fermement attaché, tu n'as pas renié ta foi en moi, même aux jours où Antipas, mon témoin fidèle, a été mis à mort chez vous, là où habite Satan.
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Entre temps, Samuel était mort et tout Israël avait pris le deuil à cause de lui. On l'avait enterré à Rama, dans sa ville. D'autre part, Saül avait fait disparaître du pays tous ceux qui évoquaient les morts et ceux qui pratiquaient la divination.
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L'Eternel lui-même m'a fait siéger sur le trône de mon père David, il a affermi mon autorité et a fondé pour moi une dynastie, comme il l'avait promis. Aussi vrai qu'il est vivant, je jure qu'aujourd'hui même Adoniya sera mis à mort.
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Le roi Ozias resta lépreux jusqu'au jour de sa mort et vécut dans une maison d'isolement comme lépreux, tenu à l'écart du Temple de l'Eternel. Son fils Yotam avait la charge du palais royal et gouvernait le peuple du pays.
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A l'ange de l'Eglise de Sardes, écris : « Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais ta conduite, je sais que tu passes pour être vivant, mais tu es mort.
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Mais Jacob répliqua : Non, mon fils ne partira pas avec vous, car son frère est mort et c'est le seul qui me reste. S'il lui arrivait malheur au cours de votre voyage, vous me feriez mourir de douleur à mon grand âge.
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Quand celui-ci, qui l'avait fait revenir en arrière, l'apprit, il s'écria : C'est certainement l'homme de Dieu qui a désobéi à l'ordre de l'Eternel. C'est pourquoi l'Eternel l'a livré au lion qui l'a déchiré et mis à mort, comme l'Eternel le lui avait prédit.
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Ils disent à leurs mères : « Où y a-t-il du pain ? Où y a-t-il du vin ? » Les voilà qui défaillent comme blessés à mort dans les rues de la ville, perdant leur dernier souffle sur le sein de leurs mères.
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Jérémie répondit à Sédécias : Si je te révèle ce que tu me demandes, ne vas-tu pas me faire mettre à mort ? Et si je te donne un conseil, tu ne m'écouteras pas !
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Par la foi, Hénoc a été enlevé auprès de Dieu pour échapper à la mort et on ne le trouva plus, parce que Dieu l'avait enlevé. En effet, avant de nous parler de son enlèvement, l'Ecriture lui rend ce témoignage : il était agréable à Dieu.
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Nous vous avions formellement interdit d'enseigner au nom de cet homme. Et voilà que vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez nous rendre responsables de la mort de cet homme.
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Mais enfin, leur demanda-t-il pour la troisième fois, qu'a-t-il fait de mal ? Je n'ai trouvé en lui aucune raison de le condamner à mort. Je vais donc lui faire donner le fouet puis le remettre en liberté.