-
Que la mort les surprenne ! Que, vivants, ils descendent dans le séjour des morts ! Car la méchanceté habite leur demeure, et elle est dans leur coeur !
-
Puis, tu diras à ce peuple : Voici ce que déclare l'Eternel : Je vous donne le choix entre le chemin de la vie et celui de la mort.
-
Si les gens du pays se bouchent résolument les yeux pour ne pas voir que cet homme livre l'un de ses enfants à Molok, et s'ils ne le mettent pas à mort,
-
« L'alliance avec la mort que vous avez conclue sera anéantie, et votre pacte fait avec le séjour des morts ne subsistera pas. Quand le flot débordant déferlera, il vous écrasera.
-
Tous ceux de ce peuple mauvais qui subsisteront dans les divers lieux où je les aurai dispersés, préféreront la mort à la vie, l'Eternel le déclare, le Seigneur des armées célestes.
-
Tous s'attendaient à le voir enfler ou bien tomber subitement raide mort. Après une longue attente, voyant qu'il ne lui arrivait rien de fâcheux, ils ont changé d'avis et se sont mis à dire : C'est un dieu.
-
Là où tu mourras, je mourrai aussi et j'y serai enterrée. Que l'Eternel me punisse avec la plus grande sévérité, si autre chose que la mort me sépare de toi !
-
Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n'y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu.
-
« Oh ! la mort a surgi, grimpant par nos fenêtres, pour pénétrer dans nos belles maisons et faire disparaître les enfants de la rue et les jeunes des places. »
-
Il ne s'agissait que de discussions au sujet de leur propre religion et d'un certain Jésus qui est mort et dont Paul dit qu'il est vivant.
-
La mer avait rendu ses naufragés, la mort et le royaume des morts avaient rendu ceux qu'ils détenaient. Et tous furent jugés, chacun conformément à ses actes.
-
Ah ! Jonathan, mon frère, je suis dans la détresse à cause de ta mort, toi, mon meilleur ami, qui m'as été si cher ! Ton affection pour moi m'a été plus précieuse que l'amour d'une femme !
-
Alors les prêtres et les prophètes dirent aux ministres et à toute la foule : Cet homme mérite d'être condamné à mort, car il a prophétisé contre cette ville, comme vous l'avez entendu de vos propres oreilles.
-
comme pour un ami ou pour un frère. J'allais, courbé sous la tristesse, comme en menant le deuil pour la mort d'une mère.
-
Car ce à quoi tend l'homme livré à lui-même mène à la mort, tandis que ce à quoi tend l'Esprit conduit à la vie et à la paix.
-
Mais si un prophète a l'audace de prononcer en mon nom un message dont je ne l'ai pas chargé, ou s'il se met à parler au nom d'autres divinités, il sera mis à mort.
-
Maintenant, ne le considère pas comme innocent ; tu es un homme avisé et tu sauras comment tu dois le traiter : tu veilleras à ce qu'il soit mis à mort malgré son grand âge.
-
Leur langue est une flèche semant la mort, ils ont le mensonge à la bouche, et l'on parle de paix à son prochain, alors que, dans le coeur, on lui prépare un piège.
-
Or, en ce qui me concerne, je n'ai rien trouvé dans son cas qui puisse mériter une condamnation à mort. Cependant, puisqu'il en a appelé à l'empereur, j'ai décidé de le lui envoyer.
-
mais maintenant, Dieu vous a réconciliés avec lui par le sacrifice de son Fils qui a livré à la mort son corps humain, pour vous faire paraître saints, irréprochables et sans faute devant lui.